Pour éviter la ligne à laquelle j’avais pensé (à juste titre), j’avais anticipé et pris mon billet d’entrée pour midi…
En arrivant, à ma grande surprise (exposition organisée par la RMN tout de même !), une complète désorganisation (files mélangées à l’extérieur et à l’intérieur -comme si cela ne suffisait pas- : billets du jour à horaire précis avec les billets du jour tout court, entrée des sans ticket en priorité, et j’en passe…) et du personnel non seulement incompétent (totalement incapable de répondre à la moindre de vos questions -légitimes-) mais encore non managé (le Responsable devait sans doute courir les 20 km de Paris, en évitant -soigneusement- de longer le Quai des Tuileries pour éviter de devoir travailler).
Ah franchement, sur ce point, je ne dis pas merci au Musée de l’Orangerie !
Et l’exposition en elle-même me demanderez-vous ?
SUPERBE ! (même si, de fait, il y avait beaucoup trop de monde en terme de flux -puisque non maîtrisé-)
J’ai enfin eu ce bonheur artistique infini de voir les toiles en vrai.
Les oeuvres de Frida ont cette force -dérangeante- qui vous met les poils en érection, à nulle autre pareille.
Et cela, il faut l’avouer, ça n’a pas de prix (quitte à devoir subir tout le premier paragraphe de cet article).