« La Vénus à la fourrure » (Théâtre Tristan Bernard, Paris)

La pièce est l’adaptation théâtrale d’un roman érotique allemand de Léopold Von Sacher-Masoch paru en 1870.
Roman Polanski en avait fait une adapatation cinématographique (que je n’ai pas -encore- vue) avec Emmanuelle Seigner et Mathieu Amalric en 2013.

Dans un décor très bien trouvé et un jeu de lumières des plus réussis, Marie Gillain est exceptionnelle dans le rôle de Vanda ! (bluffante, troublante, belle, admirablement libérée…).
Le duo formé avec Nicolas Briançon est à souligner.

« Thomas Novachek, metteur en scène new yorkais à la carrière peu florissante, vient d’adapter La Vénus à la fourrure tirée du livre de Sacher-Masoch. Il termine une journée de casting pour le rôle principal féminin qui s’est avérée être une véritable catastrophe. Complètement désespéré, il est sur le point de quitter son bureau lorsque Vanda Jordan, une ultime candidate, se présente. Très récalcitrant à accorder sa chance à cette jeune femme à la dégaine plutôt vulgaire, Thomas va être incroyablement subjugué par les multiples interprétations proposées par la comédienne sortie de nulle part. L’envoûtante Vanda sèmera un sérieux doute entre le rôle de la pièce et sa véritable personnalité. »

Au jeu de la domination, lequel des deux gagnera ?
Eh bien pour le savoir, prenez vos places !

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