La 9e édition du Festival America (20-23 septembre 2018, Vincennes)

Je faisais partie des 40 000 visiteurs recensés cette année.
Le Festival America s’est achevé hier au soir et il était FOR.MI.DA.BLE !
Vincennes ne m’aura jamais autant vue…

Tout d’abord je tiens à remercier le Picabo River Book Club dans lequel je me sens bien parce que ses membres les plus actifs ne se la pètent pas en ayant des egos démesurés et sont merveilleusement bienveillants.
Ce sont des passionnés de la littérature nord américaine. Ils vous font part de leurs lectures (aimées ou pas), ils vous donnent d’excellents conseils, et il est formidablement chapeauté par Léa Mainguet du blog Léa Touch Book qui l’a créé.
J’ai vraiment été ravie de rencontrer et de revoir certains pour l’occasion (ils se reconnaîtront).

Ensuite je tiens à remercier le Service Presse du Festival (et plus particulièrement Shanaz avec qui j’ai échangé et que j’ai rencontrée le jour de la récupération du graal) qui a accepté que je sois accréditée grâce à mon blog.
J’ai donc pu en profiter à mon rythme et comme il se doit sur deux jours (+ vendredi soir dès la fin de mon travail).

Outre les échanges des plus agréables avec les éditeurs qui étaient sur place et leurs équipes (mention spéciale aux Editions Gallmeister et à la revue America -bon d’accord j’avoue, ce sont mes chouchous-) , les dédicaces des auteurs sympathiquement accessibles, les rencontres / petits déjeuners auxquelles j’ai pu assister (merci une fois encore à Léa, Albin Michel et Belfond), les conférences de qualité (la soirée avec les Pulitzer -seule chose qui m’a chiffonnée pour celle-ci : les questions trop portées sur Trump posées par Bruno Corty, journaliste littéraire au Figaro, qui en a quelque peu oublié la Littérature à proprement parler à mon goût-, celles avec John Irving et America animées par François Busnel -sans oublier Julien Bisson, le rédacteur en chef pour la deuxième-), un staff aux petits oignons, une organisation au top, des traducteurs de dingue (l’exceptionnelle Dominique Chevallier, « The voice » Michel Zlotowski et Marie Furthner), les magnifiques expositions photos (mention particulière à celle de Yoan Malka que j’ai vivement appréciée), l’atmosphère bonne enfant malgré la pluie…

J’ai sans doute oublié des personnes et/ou des choses qui ont fait de cet évènement une réussite totale mais tout est dans mon coeur et je suis dans une bulle que je n’ai pas envie de quitter (comme un p’tit air de vacances, pour dire !).

Le prochain Festival est dans deux ans.
Deux longues années à attendre…
Je peux vous dire qu’il me tarde déjà.
Du coup, faites comme moi ce matin et SAVE THE DATE dans vos agendas : rendez-vous en septembre 2020 !

NDLR. Seul hic : j’ai eu du mal à trouver des cafés et/ou brasseries où l’accueil était digne de ce nom (sans parler du miam). Impression très étrange sur ce plan. Après plusieurs tests assez terribles, je vous recommande vivement « La Place » (52 Rue de Montreuil). 

Je n’oublierai pas non plus la mine consternée de nos poilus suite à tous mes allers-retours pendant le week-end…

et je partage avec vous mon précieux butin, évidemment !

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