La période était forcément pour moi sur le papier.
Comme un aimant, irrésistible.
Toujours, et à jamais.
Un jour, je comprendrai peut-être pourquoi…
Note de l’éditeur :
« 1944, pendant l’occupation. (…) Maximilien von Wreden, Officier du Renseignement allemand, est en poste à Paris depuis quelques mois quand il rencontre Marianne, une étudiante en philosophie. (…) Ce que Maximilien ne sait pas, c’est que la jeune femme travaille en réalité pour un réseau de résistants. (…) »
Malgré le contexte, c’est vraiment une très belle histoire romanesque (fort bien documentée) que nous propose ici Carole Declercq.
L’atmosphère est admirablement décrite, l’écriture est plus que prometteuse, les thèmes principaux abordés sont non seulement importants mais intéressants (le sacrifice des femmes pendant la guerre, le renoncement de soi au nom d’une cause) et les personnages sont terriblement attachants.
« Il peut parfois se passer de belles choses dans une période comme celle-ci.
La guerre n’empêche pas d’être sérieux »
Les 68 premiers romans de cette rentrée littéraire sont très éclectiques.
Ne boudez pas ce plaisir de lecture et plongez-vous dans « Ce qui ne nous tue pas… » !
Editions Terra nova
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