Chiang Rai (Mae Chan) 21-23 mars 2019

Deux routes possibles pour se rendre dans la Province de Chiang Rai : celle du Sud (la plus rapide) et celle du Nord, dixit Mon Brun.
Nous avons opté pour la première (un peu plus de 3h) à l’aller et nous emprunterons l’autre à notre retour (un peu plus de 4h).

Ce qu’il y a de bien lorsque l’on y va par ses propres moyens, c’est que l’on peut s’arrêter où on en a envie, et le hasard fait parfois bien les choses.
Comme ce temple abandonné par exemple au bord de la Highway que nous avons empruntée…

Après avoir visité White Temple (très, trop touristique pour nous mais un incontournable) puis Blue Temple qui fût une jolie surprise, nous sommes arrivés à Mae Chan dans l’après-midi du 21.

Direction les montagnes pour découvrir notre fabuleux hôtel perché et en pleine nature !

Avantages d’une telle adresse : se réveiller avec le chant des oiseaux, admirer un jeune cerf en-dessous de sa chambre, espérer avoir un ou plusieurs gecko(s) pour s’occuper de faire l’aspirateur à araignées…
« Inconvénients » : se retrouver avec un gros steak pas vraiment identifié non loin de sa porte d’entrée et prier pour que ce ne soit qu’une simple grosse sauterelle après notre foot massage au Spa en nocturne, devoir demander à chaque fois des motors cars (sorte de voitures de golf par chez nous) pour aller petit déjeuner, dîner ou autre tellement c’est pentu !

La journée du 22 restera gravée dans ma mémoire comme étant celle où je me suis retrouvée en plein coeur des théiers de la plantation Choui Fong (altitude : 1 200m environ). Un rêve devenu réalité…

Une dégustation plus tard, direction la montagne de Doi Mae Salong (1 367m) où au final nous nous sommes retrouvés devant des portes de marchands de thé closes à une exception près. A la fin de la période dite touristique, nous étions en effet les seuls farangs (étrangers) dans la place ! Tant pis pour les accessoires que j’aurais pu m’offrir et joie de la route de montagne où nous avons connu quelques frayeurs…

En redescendant, nous sommes allés nous balader au marché de Mae Chan puis retour à l’hôtel en même temps que le coucher de soleil.
Un p’tit dîner (je me suis régalée d’un succulent Khao Soi, plat typique local) et hop, au dodo !
J’ai ENFIN commencé mon carnet de voyage papier juste avant de sombrer dans les bras de Morphée…

Aujourd’hui, après un bon petit déjeuner et les valises bouclées, retour à notre camp de base de Chiang Mai (Hang Dong) avant notre départ au Laos lundi !

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Chiang Mai (Hang Dong), 18-20 mars 2019

Dix années jour pour jour ont passé depuis ma toute toute première découverte de Chiang Mai…
Nous y avons également séjourné quelques jours une deuxième fois en 2014 ( « Elephant Nature Park » ).

Nous voici donc de retour dans le Nord de la Thaïlande jusqu’à début avril, avec une escapade au Laos la semaine prochaine.

Moins de chaleur humide qu’à Bangkok, nature luxuriante & lenteur semblent ici les maîtres mots.

Arrivés avec un peu plus de 2h de retard suite au départ tardif de notre avion lors de notre escale à Doha, nous avons fait le tour de notre nouveau camp de base à Hang Dong situé dans un écrin de verdure entouré de montagnes et dans lequel se trouvent des théiers (imaginez ma joie !!).

Résumé de notre premier jour (31°) : massage, thé et coucher de soleil.

Résumé de notre deuxième jour (36°) : route 1269, Temple Ban Pong et coucher de soleil.

Résumé de notre troisième jour (37°) : Mon Brun ayant eu beaucoup de mal à émerger, seuls des massages de 2h chacun et un coucher de soleil seront au compteur aujourd’hui.

Comme vous pouvez le constater, la vie est dure…

Demain matin, départ pour Chiang Rai en voiture de location.
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NDLR. Pour celles et ceux qui voudraient admirer quelques photos au jour le jour, rendez-vous sur mon compte Instagram. Concernant le blog, j’opte (pour profiter au mieux sur place) d’un compte-rendu en fonction de nos différents déplacements prévus.  

Stéphane Garnier & Aristide !

Hier après-midi, au n° 11 de la rue Ambroise Thomas dans le IXe arrondissement à Paris, Stéphane Garnier dédicaçait son best-seller (réédité en édition limitée) « Agir et penser comme un chat » ainsi que son dernier livre « Le chat en 500 citations« , le tout aux Editions de l’Opportun à l’hôtel pour félins urbains Aristide !

L’occasion de rencontrer l’auteur aux 60 000 exemplaires vendus (mazette !) désormais traduit dans plus de 20 pays ET de visiter ce lieu qui est bien mieux qu’une pension à mes yeux…

J’ai trouvé l’écrivain  très sympathique parce qu’hyper accessible et modeste malgré son succès en librairie et l’accueil sur place des plus agréables.

Pour les humains des poilus :
– « Agir et penser comme un chat » est une étude poussée des vibrisses sur pattes bourrée de conseils précieux et astucieux à appliquer au quotidien (à la maison, au travail, avec ses amis et j’en passe).
– « Le chat en 500 citations » est une anthologie géniale pour tous les passionnés de jolies phrases sur le sujet.
Les deux livres sont agrémentés de jolies illustrations et le format du deuxième est irrésistible.
Noël approche… N’hésitez pas une seconde à les mettre sous le sapin !

Pour les poilus :
Cet hôtel (fort joli) unique et insolite est assez bluffant !
Tout est pensé comme il se doit, que ce soit en terme d’architecture, de décoration, de conception, de personnel (assistants vétérinaires diplômés), de sécurité, d’hygiène…
A ce jour, je n’ai pas eu l’occasion de le faire tester à Sacré Jayavarman et Coon Nabuchodonosor que je préfère faire garder chez nous  eux (on dit toujours que c’est préférable) mais je n’hésiterai désormais pas si nous n’avons pas nos solutions traditionnelles de cat-sitting (amis, parents, cat-sitter professionnels).

Cerise sur le gâteau : le corner « boutique » de l’hôtel est topissime ! Je vous le recommande vivement…

Tea Time au Mandarin Oriental Paris…

Cela fait un p’tit moment que j’aurais dû vous en parler…

Après le « Winter Tea Time » cet hiver et depuis plusieurs mois, l’offre proposée par le Mandarin Oriental Paris en la matière a considérablement évolué.

Pour passer ce moment si particulier et privilégié des fins gourmets, L’Honoré (inauguré le 16 mai dernier) vous accueille.
Vous aurez le choix entre les alcôves ou les tables côté jardin.

Ce « Five O’Clock Tea » est, à ce jour (je n’ai pas encore terminé de tester tous les « Hôtels de Luxe – Palaces » de la Capitale), totalement dans mes canons et c’est celui qui m’a le plus conquise : du salé et du sucré en quantité raisonnable (merci parce que c’est loin d’être toujours le cas) et très élégamment présenté, sans parler des goûts variés à se damner qui offrent un beau voyage aux sens !
Quant à la carte des thés, tisanes et rooibos, c’est une exclusivité Jing Tea dont la qualité est indéniable. Le breuvage est servi en théière, parfaitement infusé et le personnel sait très bien vous en parler (merci une nouvelle fois parce que c’est loin d’être toujours le cas également).

J’y suis retournée plusieurs fois (pour le plaisir de retrouver dans ce lieu que j’apprécie tant les scônes aux raisins et au matcha, les sandwichs aux concombres, pastrami et saumon, et pour découvrir les douceurs gourmandes qui alternent régulièrement) et malgré les changements de Chefs Pâtissiers (Pierre Mathieu, David Landriot…), pas une déception au tableau.

C’est un de mes QG, vous commencez à le savoir…

Belles dégustations !

Tea Time au Crillon…

J’ai testé cette semaine avec mon amie Cécile le Tea Time au Crillon, qui a réouvert en juillet après plusieurs années de travaux.
D’accord, l’équipe est en rodage, mais ce n’est pas comme si c’était un tout nouvel hôtel dans la Capitale…

Plusieurs formules sont proposées : Moment détente (salé et sucré), Le Quatre Heures (« gâteaux de voyage ») et Le Goûter Glacé.

Nous avons opté pour « Le Quatre Heures », qui correspond à cinq petits gâteaux (concept très bien pour se faire une idée) visuellement pratiquement identiques (dommage) et qui nous emmènent (soit disant) dans cinq pays différents selon l’humeur du Chef – je suppose – (peu d’explications transmises, dommage aussi).
Si nous avons beaucoup apprécié la douceur au yuzu, nous n’avons pas non plus fait « waouh » aux créations du Chef pâtissier Jérôme Chaucesse.

Du côté de la carte des thés, elle est signée Lydia Gautier que l’on ne présente plus.
Quatre thés verts, sept thés noirs, six tisanes, sans oublier les « Grands Crus » : un thé blanc, trois thés verts, deux oolongs, deux Pu Er, trois thés noirs.
Si quelques créations sont mises en avant, aucun détail théiné n’est mentionné sur la carte (encore dommage) et le personnel, malgré nos différentes tentatives, a été incapable de nous renseigner lorsque nous avons posé des questions (je dis encore dommage ?). Idem, nous attendons toujours de pouvoir admirer les feuilles, petite requête restée lettre morte.
Dernière remarque : j’avais demandé un oolong (le Ali Shan). On me l’a servi en thé noir. J’ai donc dû réclamer le breuvage que j’avais choisi (avec les excuses du personnel). Quoi qu’il en soit, je n’ai pas sauté au plafond à la dégustation, mais la petite théière est à tomber !

Bref comme vous l’aurez compris, étant donné le standing du lieu, cette expérience n’a pas été concluante du tout.
Mais à vous de juger si vous le souhaitez…