Miaou (la revue) 2 !

Ce matin, j’étais conviée au petit déjeuner Presse de la revue Miaou organisé pour le lancement du n° 2 qui paraitra le 6 juin prochain.
Rappelez-vous, je vous ai parlé du n° 1 il y a peu ( « Miaou (la revue) » ).

Non loin du Trocadéro, la nouvelle couverture dévoilée et affichée au numéro de la rue du rendez-vous, une grille entrouverte, des p’tits chevalets avec de belles photos, un accueil souriant dès la porte passée, des gourmandises dans le jardin du sublime hôtel particulier qui nous recevait…
Une chose est sûre : les invités étaient chaTleureusement attendus !

Pendant un peu plus de deux heures, mes vibrisses ont frisé de plaisir !
J’ai pu converser avec la plupart des personnes qui composent les équipes avenantes, humaines et bienveillantes qui ronronnent autour du magazine, Direction comprise.

Je me souviens que j’étais dans le Gers quand un certain Chevalier Libraire m’en a parlé. 
« Céline, c’est pour toi ça ! ».
Je la voulais, tout de suite, sans attendre. 
J’ai sauté dans la voiture et Mon Brun m’a emmenée dans la première toute petite ville non loin de chez mes parents. 
Une maison de la presse. Une seule. Elle a le mérite d’exister mais aura-t’elle ce type de revue ? (je pensais vraiment devoir attendre notre retour à Paris pour pouvoir me plonger dedans)
La grâce de l’espoir a fait qu’elle en avait, un seul mais elle en avait. Il était pour moi.
J’ai pu raconter cette anecdote aux personnes concernées mais encore BRAVO à celles et ceux qui s’occupent de la Distribution et qui se démènent pour rendre heureuses des personnes comme moi, où qu’elles se trouvent !

C’est vraiment une jolie aventure féline qui a commencé le 28 mars dernier et je souhaite sincèrement une longue vie à cette revue au contenu de qualité qui traite du chat, source inépuisable de sujets les plus variés (culture, voyages, reportages, conseils, enquêtes, p’tits cadeaux et j’en passe), dans tous ses états.
Qui plus est, c’est vraiment un bel objet que l’on garde dans sa bibliothèque et dont la lecture se laisse infuser (vous avez trois mois entre chaque numéro).

Alors filez chez votre libraire, à votre kiosque ou abonnez-vous !
Il faut soutenir ce type de concept « couillu » qui est né sur un coup de tête lors d’une pause café et qui a fédéré toute une bande de passionnés qui oeuvrent pour nous faire du bien.

(mrou mrou)

Vous souhaitez connaître son contenu ?
Ne comptez pas sur Coon Nabuchodonosor pour spoiler le n° 2. Ni sur moi. Ce n’est pas mon genre. Vous savez très bien que je ne le ferai pas pour ceux qui me suivent.
Offrez-vous le, et offrez-le aussi : le bien-être, ça se partage !

Miaou (la revue)

Dans la droite lignée de flow que j’adore toujours autant, je ne pouvais forcément que ronronner de plaisir avec ce nouveau concept feel good…
Alors lorsque qu’un certain Chevalier Libraire m’en a parlé, ni une ni deux je me la suis procurée.

Miaou est une revue (trimestrielle) qui parle de chats (évidemment), sous toutes ses formes.
Les sujets sont suffisamment éclectiques pour que chacun s’y retrouve.
Les photos sont belles, les textes intéressants, les anecdotes amusantes, les attentions bien ciblées.

Il s’adresse à tous les amoureux de ces poilus que j’aime tant et du papier léché comme il se doit.

Longue vie donc à ce très réussi « Mook » (magazine/book) !

Le n° 2 parait le 6 juin prochain.
A vos kiosques…

NDLR : le chocolat noir « Equateur » d’Yves Thuriès vaut le détour également…

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Et depuis le n° 1…

Retrouvailles & bol d’air gersois…

Il y a presque un mois désormais (oui déjà et ouiiiiiiii, je sais, je suis complètement à la bourre encore une fois ! Je ne veux même pas parler du retard abyssal de mes brèves littéraires… ), je retrouvais nos chers poilus en vacances dans le Gers deux jours après notre retour d’Asie.

L’occasion pour moi de vous (re)dire que les chats sont vraiment mieux « chez eux » ou dans des endroits qu’ils connaissent et qu’ils apprécient vraiment pendant les vacances de leurs humains.
Au passage j’en profite aussi pour remercier une nouvelle fois mes parents, cat-sitters formidables mais ça je le savais…

Pas de « j’t’ai pas vue pendant trois semaines, j’te fais la gueule ».
Je ne sais pas si pour vous c’est pareil dans ce cas là mais pour ma part ils ont été comme d’habitude et comme si de rien n’était dès qu’ils m’ont revue.

Ce week-end en semaine (merci la grève SNCF ) court mais des plus agréables a été pour moi l’opportunité :

1/ de profiter de ma Maman et de mon Papou que je ne vois pas assez à mon goût…
A noter que le trajet Paris-Bordeaux ne dure plus que 2h maintenant. Il y aura certainement plus de descentes je pense du coup,  en tout cas dès que cela sera possible…

2/ de déjeuner à La Table des Cordeliers qui est toujours aussi bonne…

3/ d’admirer le jardin de mes parents qui est toujours aussi beau !

4/ de déguster les fraises succulentes du marché…

C’est toujours ça d’pris parce que je n’ai pas fait grand chose de plus (j’étais bien crevée par le jet lag).

J’avoue que je serais bien restée mais je ne pouvais malheureusement pas (boulot oblige).

Le retour en TGV s’est très bien déroulé.
Les poilus ont été sages comme des images dans leurs sacs de transport Ibiyaya et j’ai pu tester au passage la résistance des tablettes ! >^.^< >^.^<

A notre arrivée, nous étions attendus comme il se doit sur le quai par Mon Brun…

A très vite mon p’tit coin de Gascogne adoré !

« L’Ile des Esclaves » de Marivaux…

J’ai adoré retrouver une langue merveilleuse.
Cela faisait bien trop longtemps…

J’adore le théâtre, et ce depuis très longtemps, ayant baigné dedans très petite (Tante attachée de presse et Oncle comédien, metteur en scène et acteur). 

Cette pièce de théâtre que je n’avais jamais lue est certes très courte mais des plus percutantes et d’une modernité folle !

Ce Marivaux est une succulente mise en bouche qui mériterait a minima un dîner complet sur un sujet qui se prête à un plus long développement mais après tout, à nous de continuer la réflexion entamée… ;)

Belle lecture à tous !

Note de l’éditeur (Folio) :

Des naufragés jetés par la tempête dans l’île des Esclaves sont obligés, selon la loi de cette république, d’échanger leurs conditions : de maître, Iphicrate devient l’esclave de son esclave Arlequin, et Euphrosine, de maîtresse, devient l’esclave de son esclave Cléanthis. Mais cet échange ne fait que remplacer une oppression d’usage et de tradition par une oppression de rancune et de vengeance. Seule la transformation des cœurs peut rendre l’inégalité des rangs acceptable et juste en faisant reconnaître par tous l’égalité des âmes. Cette transformation est l’œuvre d’Arlequin, qui pardonne à son maître, lui rend son pouvoir, et dont la générosité est contagieuse. L’Île des Esclaves, comédie rapide et intense, où triomphe Arlequin, réunit, comme souvent chez Marivaux, la bouffonnerie et le sublime.

Protection pour chats

Vous avez des poilus et vous les aimez par-dessus tout ?
Les beaux jours arrivent et eux aussi méritent d’en profiter… mais en toute sécurité !

Trop de chats à Paris passent par les fenêtres et se font très mal.
Voire pire.

N’hésitez donc pas à faire appel à Protection pour chats.
Bruno et « Oncle » Teddy sont non seulement très pros mais aussi super sympas.

Devis sur mesure, pose impeccable.
Aucune perte en terme de visibilité et de luminosité et le côté amovible de tous les filets est ultra pratique.
Rien à redire si ce n’est que c’est parfait.

Fenêtres, terrasses, balcons…
Offrez à vos poilus une certaine liberté et à vous la tranquillité d’esprit.

Chatpprouvé par Sacré Jayavarman et Coon Nabuchodonosor qui peuvent enfin respirer l’air frais sans stress pour leurs humains, JE RECOMMANDE VIVEMENT !