Deux hommes qui s’admiraient : d’un côté Richard Strauss, musicien; de l’autre Stefan Zweig, écrivain.
La période : 1931-1945.
La légèreté du début de la pièce fait peu à peu place à une pesanteur de l’indicible, de l’horrible, que le jeu de lumières et la mise en scène accentuent parfaitement bien.
J’y allais au départ pour voir Michel Aumont sur scène.
Didier Sandre y est magnifique !
NDLR. Merci une nouvelle fois à Xavier, qui se reconnaîtra…