Du couloir de ma chambre, dans l’aile gauche qu’offre la montée de l’escalier, le crépitement somme toute et proche et lointain d’un feu qui s’éteint, plein de promesses braisées pour le magret de demain midi…
Et la douce pensée d’un automne gersois accueillant qui m’enveloppe…
Comme j’ aime pour la vivre souvent cette atmosphère d’un soir qui s’ éteint…:-))