Reprise !

Un peu plus de sept jours se sont écoulés depuis notre retour d’Asie du Sud-Est et quelle semaine vient de s’écouler !

Tout d’abord et l’information est primordiale : LES POILUS SONT DE RETOUR après un aller-retour à Rennes samedi et dimanche derniers !
Avouez qu’ils vous avaient manqués…

Mise à part cela,  j’ai commencé lundi matin ma formation « Comportementaliste félin, spécialiste du chat » qui me fait retourner pour la bonne cause en salle de classe jusqu’en septembre dans le XIIIe arrondissement de Paris (et qui m’évite par la même occasion la « déprime post voyage »).
Cours et cas pratiques des plus intéressants avec huit autres personnes d’horizons divers mais animées d’une passion commune pour les greffiers : un vrai bonheur depuis mes études de Droit !
Je réfléchis déjà à mon sujet de mémoire, à rendre au plus tard fin août et emprunter la ligne 5 du métro me ravit pour l’instant quotidiennement (oui, oui, vous avez bien lu !)…

Un jet lag et une perte de voix plus tard (qui ont un chouille perturbé Sacré Jayavarman et Coon Nabuchodonosor), j’ai tout de même pu profiter de mon week-end comme il se doit et ainsi pu découvrir avec mon amie K (qui se reconnaîtra) le bien joli Sohan Café dans le XVIIIe où nous avons dégusté un bon brunch franco-iranien…

Puis après une chouette p’tite balade digestive le long du Canal Saint-Martin, retour à mes cours histoire de réviser ce que j’ai appris ces cinq premiers jours et avant de visiter un refuge pour chats en banlieue parisienne demain matin…

Belle fin de dimanche à tous !

© photographies (que j’ai oublié de mentionner) : Céline Huet-Amchin. 

« L’extraordinaire voyage du chat de Mossoul raconté par lui-même » d’Elise Fontenaille & Sandrine Thommen…

Voilà.
C’était LE livre qu’il me fallait.
Là, maintenant, tout de suite.

L’incroyable (et pourtant vraie !) histoire d’un chat qui a entrepris un long périple entre Mossoul en Irak, ville tombée entre les mains de Daesh, et Bergen en Norvège où sa maîtresse et ses quatre filles ont dû se réfugier. 

Parler autrement des migrants, de façon plus positive que d’habitude, c’est bien là le formidable message transmis par cet album jeunesse que tout le monde devrait lire.

Texte et illustrations m’ont fichue les poils (ainsi qu’à Sacré Jayavarman comme vous pouvez le constater ), de la plus jolie des manières.

Belle lecture à tous ! 

Un GRAND MERCI renouvelé à mon amie K. qui se reconnaîtra. 🙏🏼❤️

Note de l’éditeur (Gallimard Jeunesse Giboulées) :

(à partir de 6 ans)

Concours pour fêter la première bougie de Miaou la revue !

Sacré Jayavarman et Coon Nabuchodonosor vous proposent de gagner Miaou la revue n°5 à l’occasion de sa première bougie ! 😻

Pour jouer :
1/ abonnez-vous à la page Miaou la revue sur Instagram et/ou facebook
2/ abonnez-vous à mon site et/ou à ma page Charthémiss sur Instagram et/ou facebook
3/ invitez deux ami(e)s en mettant un p’tit commentaire rigolo

Concours ouvert sur mon blog, Instagram et facebook.

Le partager en story sur les réseaux sociaux, c’est une chance de plus de gagner…

Tirage au sort ce dimanche par d’innocentes pattounes ! 🐾

Bonne chance à tous 🙏🏼

Miaou la revue n° 5 1 an

« Quitte à tuer, autant le faire dans l’ordre » de Virginie Lloyd…

Je suis depuis quelque temps Virginie Lloyd sur Instagram.

C’est le titre tout d’abord « Quitte à tuer autant le faire dans l’ordre » qui m’a intriguée.
Je l’ai tout simplement trouvé excellent !

Le truc, c’est qu’il était hors de question que j’achète le livre sur Amazon (beurk).
J’ai donc demandé à l’auteur si je pouvais lui acheter en direct.
48h plus tard (comme quoi parfois La Poste fonctionne bien), il m’attendait dans notre boîte aux lettres…

Je me suis plongée dedans hier et je l’ai lu d’un trait (il fait tellement froid dehors que j’hiberne en ce moment), sans jamais soupirer d’ennui à la lecture ni le refermer, ce qui est plutôt bon signe.

Eh oui, oui oui OUI : l’auto-édition offre parfois des p’tites pépites bien agréables !
A bons entendeurs… 

Ce roman complètement déjanté à l’écriture très contemporaine fait un bien de dingue !
Une bonne dose d’humour (noir), beaucoup d’émotions, de tendresse (sans jamais être gnan-gnan) et des thèmes profonds traités en filigrane (le bonheur, le deuil…).
Certes il y a quelques imperfections dues au fait de ne pas être passé entre des « mains professionnelles » mais soyons honnête cela ne gêne en rien la qualité de l’histoire et cela lui donne même un charme particulier.

J’ai fait confiance à mon nez, et j’ai bien fait.
Virginie Lloyd mérite une place dans le milieu littéraire. Dans un monde parallèle, elle pourrait être la fille naturelle d’Amélie Poulain et de Forrest Gump…

Alors si vous voulez vous faire du bien, n’hésitez pas un instant.
S’offrir son livre, en parler, c’est la soutenir et lui donner de la visibilité.

Belle lecture à tous !

Résumé de l’auteur :

« Lily Brooks est rédactrice de modes d’emploi. Elle mène une vie tranquille jusqu’au jour où, par hasard, elle découvre le développement personnel. Chouette ! Une notice du bonheur ! Pas vraiment. Entre crimes et bienveillance, Lily va devoir affronter les effets secondaires de sa nouvelle vie. »

« Sommeil blanc » d’Emelie Schepp…

Le 23 mars 2017 je vous parlais de son premier thriller « Marquée à vie » que j’avais beaucoup aimé.

J’attendais le deuxième avec impatience.
Peut-être un peu trop…

J’ai été effectivement quelque peu déçue par ce nouvel opus en terme d’enquête qui ne m’a pas autant tenue en haleine que la première et en terme de personnage, à savoir la procureure Jana Berzelius dont le mystère sur sa personnalité ne s’épaissit pas forcément.

J’espère que le troisième (que j’attends tout de même) ne manquera pas d’intérêt…

Note de l’éditeur (Harper Collins) :

« Une deuxième enquête de Jana Berzelius.

Quand une jeune Thaïlandaise utilisée pour faire passer de la drogue est retrouvée morte des suites d’une overdose, tous les indices tendent à prouver qu’un certain « Danilo » est lié à l’affaire. Un ennemi personnel que Jana Berzelius a bien l’intention de faire disparaitre. Ancien frère d’armes, il en sait trop sur son enfance sordide. En parallèle, l’équipe de Jana se concentre sur la recherche d’un magnat de la drogue qu’on dit d’une intelligence hors du commun. Tout en brûlant de connaitre son identité, Berzelius doit aussi veiller à ce que Danilo ne dévoile pas… la sienne. »