Une contre-basse, objet de désir et de haine.
Une réflexion des plus intéressantes sur le « métier » d’Artiste.
Un très beau décor « vivant ».
Un Clovis Cornillac habité.
A voir !
Blog félin, artistique, littéraire et gourmand
Les levers de rideaux auxquels j’assiste…
C’est Salomé Lelouch qui me l’a préalablement fait découvrir (et déjà aimer dans sa façon d’en parler) dans une de ses chroniques chez Field…
Cette « fille de la balle » a décidément un flair théâtral hors pair ! (cf. D.A.F Marquis de Sade)
Cinq comédiens, qui endossent au fur et à mesure les costumes de personnages en tout genre…
Une très jolie mise en scène qui sert admirablement le texte…
Un moment hors du temps…
Un feuilleton littéraire imaginaire qui s’offre à nous et que l’on rêverait de poursuivre…
Laissez-vous porter… emporter !
Jusqu’au 30 juin 2013, mais reprise parisienne prévue à compter du 7 septembre 2013 !
« Le silence comme mode d’expression et la créativité comme langage » : cela peut effectivement se résumer ainsi.
Avec poésie, fantaisie, enchantement, imagination et humour, chaque mouvement devient une émotion, comme par magie…
Public : petits et grands (qui ont gardé leur âme d’enfant, mais pas seulement)
Langue : universelle
Soyez contemplatifs, laissez-vous charmer !
!!! JUSQU’AU 26 mai SEULEMENT !!!
NDLR. Merci beaucoup BEAUCOUP à Xavier, qui se reconnaîtra…
Deux hommes qui s’admiraient : d’un côté Richard Strauss, musicien; de l’autre Stefan Zweig, écrivain.
La période : 1931-1945.
La légèreté du début de la pièce fait peu à peu place à une pesanteur de l’indicible, de l’horrible, que le jeu de lumières et la mise en scène accentuent parfaitement bien.
J’y allais au départ pour voir Michel Aumont sur scène.
Didier Sandre y est magnifique !
NDLR. Merci une nouvelle fois à Xavier, qui se reconnaîtra…