Je me suis rendue à cette exposition le 1er janvier dernier.
Il m’a fallu un moment pour digérer ce que j’y ai vu.
Et je ne suis pas certaine de pouvoir en parler comme il se doit.
J’en suis ressortie très marquée.
De telles beautés détruites au nom d’une cause que je ne cautionnerai jamais, cela ne peut que soulever le coeur.
L’exposition permet de montrer à celles et ceux qui ne s’y sont jamais rendus Mossoul, Alep, Palmyre et Leptis Magna, les trésors d’Architecture et de Culture qu’étaient ces villes d’Irak, de Syrie et de Libye avant que de terribles conflits ne provoquent de telles horreurs destructrices.
Avant en noir et blanc.
Aujourd’hui en couleurs, en 3D et en réalité augmentée avec les voix d’archéologues, de conservateurs et d’habitants qui se mobilisent pour sauver ce qui peut encore l’être.
Entre révolte, sauvegarde du Patrimoine et espoir, un voyage numérique particulier qui ne peut pas laisser indifférent.
L’exposition a une date de fin : le 17 février prochain.
La guerre quant à elle…