« Peines de coeur d’une chatte anglaise » de Balzac…

31 juillet : sur le fil du rasoir… (1/2)

Premier choix du mois de juillet (qui s’achève ce soir) du Reading Classics Challenge 2018 : Balzac !

Ces cinq nouvelles m’ont tendues les bras, ne serait-ce qu’à cause du titre…

Bien qu’inégal sur le fond en terme d’intérêt à proprement parler, j’ai tout de même passé un bon moment de lecture.

La première chose qui m’a interpelée ?
Les titres… très évocateurs!
Jugez-en par vous même :

  1. « Peines de coeur d’une chatte anglaise » qui a donné son nom au recueil.
  2. « Guide-âne à l’usage des animaux qui veulent parvenir aux honneurs ».
  3. « Voyage d’un moineau à Paris, à la recherche du meilleur gouvernement ! ».
  4. « Voyage d’un lion d’Afrique à Paris et ce qui s’ensuivit ».
  5. « Les amours de deux bêtes offerts en exemple aux gens d’esprit ».

Je vous conseille vivement au passage de lire les notices avant les textes.
Ils mettent très bien en perspective ce qu’a souhaité l’écrivain et expliquent le contexte.

Au final, c’est une étude zoologique doublée bien évidemment d’une formidable satire sociale ET humaine, d’une modernité folle !

A (re)découvrir comme il se doit donc…
Personnellement je suis ravie de l’avoir lu. J’étais passée complètement à côté jusqu’ici.

A noter les beaux dessins à l’ancienne de Grandville.

Note de l’éditeur (GF Flammarion) :

« En 1840, l’éditeur Hetzel eut l’idée d’un grand livre collectif illustré par le célèbre caricaturiste Grandville : Scènes de la vie privée et publique des animaux. À cette occasion, plusieurs écrivains de renom, parmi lesquels Charles Nodier, Alfred de Musset et George Sand, entreprirent de donner la parole aux bêtes, pour dévoiler des travers tout humains. Balzac, dans ce projet, s’imposa comme le collaborateur le plus fécond : il écrivit, en marge de La Comédie humaine, cinq nouvelles pleines d’humour et d’esprit, réunies dans le présent volume. Le premier de ces récits, Peines de cœur d’une chatte anglaise, relate les amours interdites d’une aristocratique féline et d’un matou sans le sou : on dit que, sous ce masque, Balzac aurait mis en scène sa liaison secrète avec la comtesse Guidoboni-Visconti… »

Arthémiss devient Charthémiss !

Depuis la création de mon blog j’ai pu (malheureusement) maintes fois constater que l’on m’avait chipé, piqué, « volé » l’appellation.
Ce qui a eu le don de m’agacer (légèrement beaucoup) vous en conviendrez et comprendrez (aisément) !

Alors, au lieu de continuer de m’énerver (mauvais pour les rides) et/ou de tout envoyer valser (c’eût été dommage non ?) et après avoir constaté que ce nouveau nom était à ce jour unique (COPYCATS, PASSEZ VOTRE CHEMIN et faites preuve d’originalité pour une fois s’il vous plaît !) le blog vient de connaître un p’tit rafraîchissement dans les règles de l’art.

Il était devenu franchement évident de donner à nos poilus la place qu’ils méritaient depuis un moment.
Du coup, Charthémiss débarque ! 

L’univers et les sujets abordés n’ont pas changé mais Mon Brun ainsi que des avis amicaux éclairés m’ont fait prendre conscience que quelques modifications s’imposaient.
Ils ont réussi à me convaincre. Oui oui oui. Comme quoi tout arrive…

Les catégories sont mieux organisées, plus lisibles et les tags toujours présents mais plus cohérents également.

L’illustration a eu elle aussi sa cure de jouvence.
Je l’ai retravaillée en intégrant un peu plus de détails et surtout des couleurs mais sans enlever ma patte qui est celle de l’inachevé…
Pour celles et ceux qui veulent s’amuser en jouant, trouvez donc les différences et faites-m’en part ! Y’aura p’t’être une surprise en retour pour qui aura relevé le défi avec brio…

Enfin, l’habillage a subi un léger lifting assez subtil.

Bref, c’est toujours mon univers.
Ce n’est pas une révolution mais j’espère que tout ceci vous plaira autant qu’à moi au final.

A tous ceux qui avaient référencé Arthémiss ( ), n’oubliez pas de faire pointer vos liens sur charthemiss.com ( et ma reconnaissance éternelle).

Côté échanges, Charthémiss est présent sur les réseaux sociaux. Mis à part ici, vous me croiserez plus souvent sur Instagram.
J’avoue que face de bouc me gonfle de plus en plus et twitter n’arrive toujours pas à me séduire mais je suis également présente sur ces deux réseaux.

Merci à tous pour votre fidélité, bien le meow aux nouveaux de plus en plus nombreux au fil du temps et @ très bientôt pour la suite de l’aventure !

Céline (Sacré Jayavarman & Coon Nabuchodonosor)

Si vous voulez rire (un peu), voici ce à quoi vous n’allez pas échapper (Mon Brun  était très en forme en voiture lorsque nous avons évoqué la nouvelle appellation du blog) : 

Charthémiss débarque !
Déterrez la H de guerre…

C.H.Arthémiss
Le centre hospitalier décalé fait sa rentrée !

arthemiss.com devient arthemiss.ch comme la Suisse ?
Non, comme mes initiales. CH ç’eût été idéal dans la dilution de l’information.
Au final j’ai mis Ch devant.

Le CENTRE HOSPITALIER Arthémiss vous accueille 24h/24 7j/7.
Direction internet, prendre le 2e tuyau à gauche.
PS. Les chats sont maintenant admis !

Arthémiss manquait de Chabadabada.
Pour les badabadas, si vous pouviez vous débrouiller tous seuls…

Charivari.
Qui vivra verra.
Charthémiss vaincra !

Chat foin.
Pourquoi pas Âne croquettes aussi ?!

Every chat la la la…

Chatllucinant !
Charthémiss.
Vous reprendrez bien un peu de ces champignons challucinogènes ?

Réordonnons le désordre :
Jamais sans un livre, un thé, mes carnets/crayons/pinceaux, et Mon Brun, mon chatbite et pourquoi pas mon couteau !

C’est la fête du chat !
Vous imaginez si on avait choisit slip ?

Chatpeau poin-tu, turlututu.
Chatpeau point Arts, quel bazar.
Chatpeau point thé, zéro pointé (elles sont riches mes rimes).
Chatpeau point miss, planquez vos vibrisses !

Chastethé.
Rien à ajouter.

T’habites chez tes chats ?
Ca veut dire que t’es chatcsée ?

Chateau d’eau.
Pique nique douille.
C’est toi l’andouille !

Ohé ohé chatpitaine abandonné.

(…)

« Comment rendre mon chat heureux ? » d’Isabelle Pasquet…

Une vétérinaire formidable (que je connais depuis plusieurs années désormais et que je continue de vivement recommander), à savoir Isabelle Pasquet, Fondatrice de Vetinparis (où nos poilus ont leurs habitudes et où toute l’équipe est fantastique), gage de la qualité du contenu ainsi que des illustrations bien sympathiques by Sobigraphie.

Ce guide, je l’ai trouvé super agréable côté papier et très ludique à lire.
Je l’ai donc beaucoup apprécié : un p’tit historique (digeste) du chat et de l’homme, des conseils pour embellir le quotidien avec nos félins (tout est évoqué, rien n’est oublié), des DIY à faire avec vos compagnons, des questions / réponses, des citations, des documents utiles…

Les pages fleurent bon la passion pour un métier de appliqué à l’animal de compagnie le plus apprécié en France et ailleurs dans le monde.

En prime ? Un carnet de santé et de bien-être.

Au final, un concept original et un design des plus réussis.

« ALLEZ CHEZ VOTRE LIBRAIRE. »
Ceci est un ordre de Sacré Jayavarman et Coon Nabuchodonosor (qui ont la chance d’avoir des humains qui font tout pour leur bonheur)…  :P

Belle lecture à tous !

Miaou (la revue) 2 !

Ce matin, j’étais conviée au petit déjeuner Presse de la revue Miaou organisé pour le lancement du n° 2 qui paraitra le 6 juin prochain.
Rappelez-vous, je vous ai parlé du n° 1 il y a peu ( « Miaou (la revue) » ).

Non loin du Trocadéro, la nouvelle couverture dévoilée et affichée au numéro de la rue du rendez-vous, une grille entrouverte, des p’tits chevalets avec de belles photos, un accueil souriant dès la porte passée, des gourmandises dans le jardin du sublime hôtel particulier qui nous recevait…
Une chose est sûre : les invités étaient chaTleureusement attendus !

Pendant un peu plus de deux heures, mes vibrisses ont frisé de plaisir !
J’ai pu converser avec la plupart des personnes qui composent les équipes avenantes, humaines et bienveillantes qui ronronnent autour du magazine, Direction comprise.

Je me souviens que j’étais dans le Gers quand un certain Chevalier Libraire m’en a parlé. 
« Céline, c’est pour toi ça ! ».
Je la voulais, tout de suite, sans attendre. 
J’ai sauté dans la voiture et Mon Brun m’a emmenée dans la première toute petite ville non loin de chez mes parents. 
Une maison de la presse. Une seule. Elle a le mérite d’exister mais aura-t’elle ce type de revue ? (je pensais vraiment devoir attendre notre retour à Paris pour pouvoir me plonger dedans)
La grâce de l’espoir a fait qu’elle en avait, un seul mais elle en avait. Il était pour moi.
J’ai pu raconter cette anecdote aux personnes concernées mais encore BRAVO à celles et ceux qui s’occupent de la Distribution et qui se démènent pour rendre heureuses des personnes comme moi, où qu’elles se trouvent !

C’est vraiment une jolie aventure féline qui a commencé le 28 mars dernier et je souhaite sincèrement une longue vie à cette revue au contenu de qualité qui traite du chat, source inépuisable de sujets les plus variés (culture, voyages, reportages, conseils, enquêtes, p’tits cadeaux et j’en passe), dans tous ses états.
Qui plus est, c’est vraiment un bel objet que l’on garde dans sa bibliothèque et dont la lecture se laisse infuser (vous avez trois mois entre chaque numéro).

Alors filez chez votre libraire, à votre kiosque ou abonnez-vous !
Il faut soutenir ce type de concept « couillu » qui est né sur un coup de tête lors d’une pause café et qui a fédéré toute une bande de passionnés qui oeuvrent pour nous faire du bien.

(mrou mrou)

Vous souhaitez connaître son contenu ?
Ne comptez pas sur Coon Nabuchodonosor pour spoiler le n° 2. Ni sur moi. Ce n’est pas mon genre. Vous savez très bien que je ne le ferai pas pour ceux qui me suivent.
Offrez-vous le, et offrez-le aussi : le bien-être, ça se partage !

Miaou (la revue)

Dans la droite lignée de flow que j’adore toujours autant, je ne pouvais forcément que ronronner de plaisir avec ce nouveau concept feel good…
Alors lorsque qu’un certain Chevalier Libraire m’en a parlé, ni une ni deux je me la suis procurée.

Miaou est une revue (trimestrielle) qui parle de chats (évidemment), sous toutes ses formes.
Les sujets sont suffisamment éclectiques pour que chacun s’y retrouve.
Les photos sont belles, les textes intéressants, les anecdotes amusantes, les attentions bien ciblées.

Il s’adresse à tous les amoureux de ces poilus que j’aime tant et du papier léché comme il se doit.

Longue vie donc à ce très réussi « Mook » (magazine/book) !

Le n° 2 parait le 6 juin prochain.
A vos kiosques…

NDLR : le chocolat noir « Equateur » d’Yves Thuriès vaut le détour également…

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Et depuis le n° 1…