Passé inaperçu dans les médias (la faute à Cécile Duflot qui réitère être pour la légalisation du cannabis ou à l’arrestation à Berlin du dépeceur canadien présumé ??? -sujets visiblement bien plus croustillants malheureusement pour toute la presse française- ) , le 38e Prix France Inter mérite d’être mis en avant pour deux raisons :
- c’est un des rares jurés littéraires dont la composition est non seulement entièrement populaire mais encore paritaire
- par respect pour l’auteur primé (et les livres sélectionnés)
Je ne l’ai pas (encore) lu, mais voilà, je tenais à en parler… Et ce n’est pas parce que je n’ai été retenue en tant que jurée qu’il fallait y renoncer…