Dans un monde rêvé, idéal, nul doute que Nicky Depasse aurait une place de choix : le merveilleux, la poésie, la magie, la Littérature…
Voici une personne qui habite joliment le monde et qui sait le distiller !
Sa plume, ce sont des p’tites paillettes à préserver. Précieusement.
Je n’ai pas été surprise par le contenu qui lui ressemble (je dis cela malgré le fait que je la connaisse uniquement via les réseaux sociaux).
Elle convie pour mon plus grand bonheur des auteurs qui lui sont chers et que nous avons en commun dans nos bibliothèques : Lewis Carroll, Shakespeare, Jane Austen…
Dans cette nouvelle, genre que j’apprécie particulièrement, l’amitié naissante entre une petite fille et une vieille dame n’aura pas eu le temps de grandir comme je l’aurais souhaité en tant que lectrice. Mais le reste est là, plein de promesses à venir…
J’étais tellement bien dans ses mots et cette atmosphère romanesque à souhait qu’il me tarde de lire un texte plus long de cette femme profondément attachante, journaliste littéraire et cinéma de son état, désormais écrivain.
Note de l’éditeur (Lamiroy) :
« Abandonnée par sa mère dans une pension religieuse stricte sans aucun réconfort, Rose est une petite fille perdue entre la réalité et l’imaginaire. Mais au cours de deux étés passés chez une vieille dame sévère et distante, Rose va ouvrir les portes de l’inconnu : le monde merveilleux de la littérature. »
© photographie (que j’ai oublié de mentionner) : Céline Huet-Amchin.