Une biographie fictive des plus incroyablement réalistes sur la vie d’une femme peintre.
Une « Chick Lit artistique », dans laquelle je suis délicieusement tombée , un soir d’été…
Belle lecture à tous !
Editions J’ai Lu
Blog littéraire et créatif
Une biographie fictive des plus incroyablement réalistes sur la vie d’une femme peintre.
Une « Chick Lit artistique », dans laquelle je suis délicieusement tombée , un soir d’été…
Belle lecture à tous !
Editions J’ai Lu
Servie par une jolie écriture, cette recherche d’une identité sur fond de lettre trouvée à la mort d’un vieil homme crée une atmosphère « policière » efficace sur un siècle et trois continents…
Une agréable lecture !
« Une vie, ce n’est pas seulement la somme des choix que l’on a faits. Elle est cette somme, multipliée par le regard des autres, et divisée par le coefficient imprescriptible du hasard »
Editions Gallimard
Claire Castillon a visiblement le don d’appuyer là où ça fait mal : la réalité.
La réalité du couple, des enfants, des courses, de l’appartement en commun, du devoir conjugal, de la vaisselle, les week-ends, du passé, des concessions, du reproche, de la rupture, etc… etc…
Une écriture comme un couperet, une claque en pleine poire !
Non pas que ce qu’elle couche sur le papier est faux, mais faut-il à ce point décortiquer toutes ces mécaniques quotidiennes pour en faire des conséquences malheureuses durant 203 pages ?
C’est dramatique stricto sensu, alors que cela aurait pu être drolatiquement affreux.
Il manque donc une dose d’humour bien placée et j’aurais pu être conquise…
Editions Grasset
Peut-on être qualifié « d’être normal » quand on se délecte à ce point des livres d’Amélie ?
Humour ravageur (toujours), amour passionné indissociable de la perversité, écriture aux petits oignons… le tout dans une atmosphère de roman policier à deux fins (cette fille est GE NIA LE !) qui nous rend totalement dingo…
C’est grave Docteur ?
Belle lecture à tous !
Editions Le Livre de Poche
Un livre qui commence à devenir légèrement intéressant au bout de 250 pages (il en comporte 282).
Jean Teulé a du mal à m’enthousiasmer comme il avait si bien réussi à le faire à ses débuts.
Une nouvelle déception !
Editions Julliard