Après « Catherine d’Aragon » puis « Anne Boleyn », ce nouvel opus de la saga des Reines Maudites nous propose de suivre la troisième épouse d’Henri VIII : la timide Jeanne Seymour, qui a eu à supporter bien des attentes et des pressions dans une Angleterre chahutée…
Pour rappel si besoin en est : Alison Weir ne nous propose pas des biographies mais des romans historiques, passionnants et extrêmement bien documentés, qui collent au plus près de la réalité.
Même si je connaissais déjà cette reine, j’en ai encore appris, pour mon plus grand plaisir !
Bref comme les deux premiers, j’ai beaucoup aimé !
Belle lecture à tous !
NDLR. Le prochain, « Anne de Clèves », m’attend déjà en librairie…
©Céline Huet-Amchin
Note de l’éditeur (Hauteville) :
Jeanne n’avait aucun désir d’être mariée. Son souhait était de devenir religieuse. Chacun la taquinait à ce sujet, nul ne la prenant au sérieux. À leur guise. Bientôt, ils s’apercevraient que sa détermination n’avait rien à envier à celle de son frère quand il s’agissait d’obtenir ce qu’elle voulait.
Onze jours après l’exécution d’Anne Boleyn, Jeanne Seymour devient la nouvelle épouse du roi Henri VIII. Entraînée contre son gré dans ce dangereux jeu politique, elle sait qu’elle devra donner naissance à un fils ou subir le même destin funeste que les deux reines qui l’ont précédée. Malgré l’affection sincère que semble lui porter le roi, celle qui se prédestinait à une vie de nonne s’expose à une mort brutale en s’accrochant à l’ancienne foi, dans une Angleterre en pleine révolution religieuse. Alors qu’elle doit chaque jour lutter pour sa survie, au-delà des murs de la Cour, la peste fait rage et la rébellion gronde. Le danger est partout, peut-être même là où Jeanne l’attend le moins.