« Un héritage grec » de Marie-Diane Meissirel…

Note de l’éditeur :

« La famille en Grèce, c’est sacré ! Je me demande ce qui a pu pousser ta mère à couper définitivement les ponts. Tu vas sans doute découvrir des choses inattendues et pas forcément plaisantes. »

Août  2009,  Théodora  s’envole  vers  Athènes  pour  régler  la  succession  de  sa  grand-mère maternelle. Elle ne se doute pas alors que la Grèce est sur le point de plonger dans l’une des crises économiques les plus violentes de son histoire ni que sa vie va, elle-aussi, basculer. À  vingt-cinq  ans,  c’est  la  première  fois  qu’elle  se  rend  dans  le  pays  de  sa  mère  défunte et  qu’elle  rencontre  sa  famille  grecque.  Elevée  en  France,  par  son  père,  elle  n’a  jamais su  pourquoi  sa  mère  avait  tiré  un  trait  sur  son  passé.  Alors  qu’elle  n’était  partie  que  pour quelques  jours,  Théodora  va  se  laisser  happer  par  une  quête  de  ses  racines,  au  sein  d’une famille tourmentée qui se déchire au rythme où la Grèce s’effondre.

Marie-Diane Meissirel, je la lis à l’envers mais peu importe.
J’entends par là que je l’ai découverte lors de la parution de son troisième roman dont je vous ai parlé ( « Huit mois pour te perdre » ). J’ai tellement apprécié son univers que je viens de lire son deuxième livre et je ne désespère pas de trouver un jour son tout premier, pour avoir le privilège de passer encore un peu de temps avec elle en attendant avec impatience le prochain.

Je suis décidément bien dans ses histoires, ainsi que dans la délicatesse de son écriture.
Les deux sont tout simplement irrésistibles.

A travers ses personnages elle est un témoin de notre Temps.
C’est un écrivain voyageur, qui se nourrit des pays où elle réside.

Ce livre, je l’ai refermé il y a plusieurs jours désormais.
Tout comme son dernier paru, il m’habite.

Je n’aime pas dévoiler le contenu des romans dans mes billets, mais sachez que la famille Pandorakis, symbole de la fin terrible d’une civilisation, m’a littéralement envoûtée.
Je vous recommande donc de vous plonger dans ce bleu grec si tragiquement beau et aux enjeux qui nous dépassent.

J’aime voyager. Dans les pages avec des livres. Dans les couleurs avec des carnets.
Marie-Diane, c’est décidément une très belle rencontre, virtuelle pour le moment. Comme il en existe peu. Je sais qu’un jour nous pourrons échanger. En vrai. Quitte à faire un aller-retour à Hong-Kong…

Belle lecture à tous !

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Editions Daphnis et Chloé

2 réponses sur “« Un héritage grec » de Marie-Diane Meissirel…”

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