À travers Gaspard, un photographe talentueux débutant, Marie-Diane Meissirel se lance dans l’écriture.
Et dans son regard le sien, forcément…
Un premier roman qui fleure bon la Grèce si chère à son coeur, qui nous propose une étude de personnages des plus intéressantes à travers une série de portraits et en filigrane une réflexion sur la réussite à tout prix, la vie, la quête de soi, le regard que l’on peut porter sur les autres…
Le tout dans une temporalité insulaire, estivale et théâtrale.
On ferme le livre à regret.
Le lecteur aimerait en effet bien connaître le destin de toutes celles et ceux découverts et appréciés au fil des pages…
Belle lecture à tous !
Note de l’éditeur (Fereniki) :
« Gaspard est photographe, débutant. Un galeriste célèbre, séduit par son travail, lui commande un reportage sur Patmos et l’invite dans sa villa. Gaspard va immédiatement tomber sous le charme de cette île lointaine et mystique, mais aussi découvrir qu’elle est le lieu de villégiature d’une certaine élite. Il y multiplie les rencontres avec des personnalités qui le fascinent et lui inspirent une série de portraits. La plus marquante est celle d’Antinéa, une femme ravissante que la vie a malmenée. Aux côtés de Gaspard, elle redécouvre le goût de l’insouciance. Cette métamorphose, dans ce huis clos estival, n’est pas sans provoquer des tensions. »
Autres livres de l’écrivain : « Un héritage grec » et « Huit mois pour te perdre » , que je vous recommande également vivement !