Vouloir écrire une suite à un livre non préalablement écrit par soi-même est un exercice périlleux fort risqué.
Cela avait été tenté à l’époque par Alexandra Ripley qui avait voulu se prendre pour Margaret Mitchell : un désastre !
Phyllis Dorothy James fait la même erreur.
Ne s’improvise pas Jane Austen qui veut !
C’est fade (Elizabeth a perdu toute sa verve originelle) et l’intrigue policière est des plus ridicules.
Totalement inutile.
Editions Fayard
Dommage ! J’aurais aimé… 😉