« Dans les angles morts » d’Elizabeth Brundage…

Des personnages fouillés, une histoire intrigante, passionnante et une superbe plume (il est effectivement à noter l’excellente traduction de Cécile Arnaud !) sur fond de critique sociale américaine.

Dans cette histoire à la multiplicité des contours, le passé vient flirter avec le présent avec brio et l’intensité augmente de pages en pages jusqu’au dénouement final.

Une réussite totale donc qui fait de ce livre un excellent roman digne d’un prix.
Enfin moi je dis ça… je dis rien…

Belle lecture à tous !

Note de l’éditeur (Quai Voltaire) :

En rentrant chez lui un soir de tempête de neige, George Clare trouve sa femme assassinée, et leur fille de trois ans seule dans sa chambre – depuis combien de temps?
Huit mois plus tôt, engagé à l’université de Chosen, il avait acheté pour une bouchée de pain une ancienne ferme laitière, et emménagé avec sa famille dans cette petite ville étriquée et appauvrie, en passe d’être repeuplée par de riches New-Yorkais. Ce qu’il a omis de dire à sa femme, c’est que les anciens propriétaires, acculés par les dettes, s y étaient suicidés, en laissant trois orphelins, Eddy, Wade et Cole. Dans les angles morts est aussi l’histoire des frères Hale, et celle de la maison de leur enfance. Pour le shérif Travis Lawton, George est le premier suspect. Mais les secrets sont tenaces dans cette enquête où la culpabilité règne en maître.

Livre lu dans le cadre du Jury du Grand Prix des Lectrices ELLE 2018 dont je fais partie !

2 réponses sur “« Dans les angles morts » d’Elizabeth Brundage…”

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