« De là, on voit la mer » de Philippe Besson…

Un joli parcours de femme, la fin d’un amour, le début d’un autre, L’Italie, et une très belle réflexion sur le métier d’écrivain…

« On ne fait que projeter autour de soi son petit cinéma intime » (Les choses de la vie)

« Il faudrait probablement s’interroger sur l’enchaînement des circonstances, sur cette fatalité étrange qui fait qu’un accident en entraîne un autre, ou sur ces trajectoires qui bifurquent considérablement juste après qu’elles ont frôlé un obstacle minuscule »

« Puisqu’au fond ce pourrait être ça, l’harmonie : accepter sa solitude »

Belle lecture à tous !

De là on voit la mer Philippe Besson

Editions Julliard

« Collaboration »…

Deux hommes qui s’admiraient : d’un côté Richard Strauss, musicien; de l’autre Stefan Zweig, écrivain.
La période : 1931-1945.

La légèreté du début de la pièce fait peu à peu place à une pesanteur de l’indicible, de l’horrible, que le jeu de lumières et la mise en scène accentuent parfaitement bien.

J’y allais au départ pour voir Michel Aumont sur scène.
Didier Sandre y est magnifique !

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NDLR. Merci une nouvelle fois à Xavier, qui se reconnaîtra…

« Les combustibles » de Amélie Nothomb..

Quel livre, quelle phrase de quel livre vaut qu’on lui sacrifie un instant, un seul instant de chaleur physique ?

Humour, ironie, désespoir.
Ou comment jouer avec la littérature comme on jouerait avec le feu.

Un nouvel assassinat littéraire à huit clos, sans aucune condamnation :
je la laisse vivre à chaque fois, pour avoir le plaisir d’en lire un nouveau.

Belle lecture à tous !

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Editions Le Livre de Poche