Ils sont allumés ces canadiens !
Pour les amoureux du genre… dont je ne suis pas.
Blog littéraire et artistique
363 pages d’erreur littéraire, de véritable ennui !
Rien de plus à ajouter, si ce n’est que que je vous évite ainsi de le lire : il y en a tant d’autres à dévorer…
Editions Seuil
Un joli parcours de femme, la fin d’un amour, le début d’un autre, L’Italie, et une très belle réflexion sur le métier d’écrivain…
« On ne fait que projeter autour de soi son petit cinéma intime » (Les choses de la vie)
« Il faudrait probablement s’interroger sur l’enchaînement des circonstances, sur cette fatalité étrange qui fait qu’un accident en entraîne un autre, ou sur ces trajectoires qui bifurquent considérablement juste après qu’elles ont frôlé un obstacle minuscule »
« Puisqu’au fond ce pourrait être ça, l’harmonie : accepter sa solitude »
Belle lecture à tous !
Editions Julliard
Deux hommes qui s’admiraient : d’un côté Richard Strauss, musicien; de l’autre Stefan Zweig, écrivain.
La période : 1931-1945.
La légèreté du début de la pièce fait peu à peu place à une pesanteur de l’indicible, de l’horrible, que le jeu de lumières et la mise en scène accentuent parfaitement bien.
J’y allais au départ pour voir Michel Aumont sur scène.
Didier Sandre y est magnifique !
NDLR. Merci une nouvelle fois à Xavier, qui se reconnaîtra…
Quel livre, quelle phrase de quel livre vaut qu’on lui sacrifie un instant, un seul instant de chaleur physique ?
Humour, ironie, désespoir.
Ou comment jouer avec la littérature comme on jouerait avec le feu.
Un nouvel assassinat littéraire à huit clos, sans aucune condamnation :
je la laisse vivre à chaque fois, pour avoir le plaisir d’en lire un nouveau.
Belle lecture à tous !
Editions Le Livre de Poche