Je ne sais pas si c’est parce que je suis fondue d’Asie, mais j’apprécie particulièrement le haïku, forme poétique très codifiée d’origine japonaise.
J’ai pris connaissance de ce terme en lisant un livre d’Amélie Nothomb.
De mémoire, comme le chocolat et le champagne, elle en est très friande.
En composer n’est pas simple, mais les lire procure pour ma part un réel apaisement de l’âme.
On flirte avec l’imagination, la musique, le beau, le sublime…
Lorsque Rahmatou du blog Dis-le en livres (que j’ai rencontrée grâce à Lecteurs.com et qui est devenue une amie) m’a dit qu’elle en écrivait, c’était comme une évidence.
Ses « Trios » m’ont accompagnée en Asie en avril dernier, et depuis je le garde précieusement près de mon lit parce que j’aime me replonger dedans.
Pour moi, les haïkus sont tellement imagés que les émotions peuvent être très différentes à la relecture, aux relectures.
J’ai également pu apprécier « La lune dans les cheveux » (ouvrage collectif auquel Rahma a contribué) qu’elle m’a sympathiquement offert, et elle m’en a conseillée d’autres que je vais me procurer…
Belles lectures à tous, au sens strict du terme !
Du coup, en guise d’hommage, j’ai décidé de me lancer…
Soyez indulgents, c’est mon tout premier.
Rahma, je compte sur toi pour corriger ce qui doit l’être !
Editions L’iroli
Quelle jolie image, c’est superbe !
Peut-être pourrais-tu peaufiner un peu la L2 afin que le haïku soit plus factuel, moins poétique…
Merci pour ce très bel hommage, j’en suis honorée