La couverture est déjà un teasing comme je les aime à elle toute seule :
« Un corps.
Six victimes.
Aucun suspect. »
Ce livre, j’ai failli ne jamais me plonger dedans, plus par agacement que par non envie.
Je vous explique…
Je devais rencontrer l’auteur grâce à Babelio. Je ne l’ai jamais reçu à temps ! (…) C’est typiquement le genre de choses qui, bien qu’anodines je le reconnais, m’exaspèrent. Du coup, je ne suis pas allée à l’évènement. Il m’est parvenu des semaines plus tard, et j’ai attendu que mon énervement retombe afin de pouvoir l’apprécier comme il se doit.
C’est une course contre la montre que l’on a du mal à lâcher une fois l’histoire commencée (et elle démarre sur les chapeaux de roues !).
Le lecteur est confronté à une double enquête : une judiciaire, l’autre journalistique; toutes les deux palpitantes.
Les personnages sont nous seulement bien choisis mais encore brillamment travaillés.
L’intrigue est ficelée aux p’tits oignons.
J’ai relevé une chose particulière qui a attiré mon attention et qui m’a donc plu : ce thriller sort des sentiers battus mais à vous de découvrir pourquoi.
Je ne vous en dirai pas plus pour ne rien dévoiler…
Belle lecture à tous !
Note de l’éditeur (Pocket) :
« Un « cadavre » recomposé à partir de six victimes démembrées et assemblées par des points de suture a été découvert par la police. La presse l’a aussitôt baptisé Ragdoll, la Poupée de Chiffon. Tout juste réintégré au Metropolitan Police Service de Londres, l’inspecteur « Wolf » Fawkes dirige l’enquête sur cette effroyable affaire, assisté par son ancienne coéquipière, l’inspectrice Baxter. Chaque minute compte, car ce nouveau serial killer vient de communiquer, par voie de presse, une liste de six noms. Son programme de meurtres pour les jours à venir. Avec le meilleur pour la fin : Wolf lui-même… »
NDLR : Je lirai bien évidemment la suite, « L’Appât » .