Jules Verne, j’en garde un souvenir particulièrement ému.
Il fait écho à mon enfance parce qu’il a éveillé mon imaginaire comme personne et que j’ai enfin compris à plus de quarante ans pourquoi j’adorais Harry Potter, Le Seigneur des anneaux, Star Wars… les films de Tim Burton et de Wes Anderson… mais également l’Art !
Me replonger dans son univers et dans un des ses romans que je n’avais pas lu à l’époque m’a tout simplement ravie.
Sans parler des illustrations qui sont magnifiques !
Pour ceux qui me connaissent, mon choix final qui s’est porté sur “Les tribulations d’un chinois en Chine” dans le cadre du Reading Classics Challenge 2018 n’étonnera pas.
L’Asie, encore et toujours !
Une fois de plus la magie de cet écrivain hors norme a opéré comme il se doit.
Il m’a complètement embarquée, baladée dans son histoire incroyable.
Seule différence notable : mon expérience de lectrice m’a permis d’apprécier encore plus son écriture que j’ai trouvée fabuleuse.
C’était un conteur né, de ceux que l’on n’oublie jamais…
Belle lecture à tous !
Note de l’éditeur (Le Livre de Poche) :
“Le richissime Chinois Kin-Fo vient de se trouver soudainement ruiné. La vie, qui lui paraissait jusqu’alors insipide, lui devient insupportable. Il contracte une assurance-vie de 200 000 dollars en faveur de sa fiancée, Lé-ou, et du philosophe Wang, son mentor et ami, à qui il demande de le tuer dans un délai de deux mois, tout en lui remettant une lettre qui l’innocentera de ce meurtre.
Avant le délai imparti, Kin-Fo recouvre sa fortune, doublée. Il n’est plus question pour lui de renoncer à la vie. Mais Wang a disparu avec la lettre et il n’est pas homme à rompre une promesse ! Voilà donc Kin-Fo condamné à mort, par ses propres soins !
Une seule ressource : retrouver Wang. Et Kin-Fo de se lancer dans le plus haletant des périples au pays du Céleste Empire.
Récit alerte à l’intrigue parfaitement menée, Les Tribulations d’un Chinois en Chine est un des joyaux des « Voyages extraordinaires » du grand Jules Verne.”
Illustrations de l’édition originale Hetzel.