« Comme c’est étrange ce que la vie nous fait,
où elle nous emporte et nous dépose,
perdus quelque part entre l’irréparable et l’insaisissable »
L’écrivain signe son deuxième roman (très attendu !) après le talentueux « Buvard » dont je vous ai parlé il y a peu.
Une nouvelle fois il est question de rencontre (Attila Kiss, 51 ans, travailleur de nuit hongrois et Theodora Babbenberg, 25 ans, riche héritière viennoise) et d’amour, deux thèmes visiblement chers à l’auteur.
Julia Kerninon a décidément le chic pour nous conter des histoires, ici sur fond (musical) de dualité historique et sociale qui participe subtilement au cheminement amoureux…
La plume est toujours aussi éclatante.
Belle lecture à tous !
Editions La brune au rouergue