Note de l’éditeur :
« C’est le retour d’un émigré irlandais au pays.
Après des années passées à New York, Barnabas Kane retrouve le Donegal en 1945 et s’installe sur une ferme avec sa femme et son fils. Mais l’incendie, accidentel ou criminel, qui ravage son étable, tuant un ouvrier et décimant son bétail, met un frein à ce nouveau départ. Confronté à l’hostilité et à la rancoeur d’une communauté qui l’accuse d’avoir tué l’un des leurs, confiné sur cette terre ingrate où l’inflexibilité des hommes le dispute à celle de la nature, Barnabas Kane va devoir choisir à quel monde il appartient »
La lecture de ce roman n’est pas facile. Avis aux amateurs !
Dès les premières pages, vous êtes immergé(e)(s) dans une Irlande bien loin des clichés touristiques. Une Irlande noire, âpre, brute, triste, métale, ultra communautaire, aux esprits étroits et peu engageants !
Si les descriptions sont assez remarquables et les personnages étouffants à souhait, j’avoue m’être quelque peu ennuyée…
Editions Albin Michel