Ce roman, j’aurais aimé l’aimer.
Lorsque Valentine Layet de chez Stock en a parlé sur Instagram avant sa parution, je me disais que ce livre (voyageur : fabuleux concept au passage qui m’a fait découvrir le blog Books, moods and more et Sonia que je vais rencontrer en vrai demain -trop contente je suis !-) était écrit « pour moi » : un mystère instauré par un titre prometteur , le sujet (une disparition)…
Si j’ai trouvé l’écriture intéressante à plusieurs titres, l’histoire en elle-même m’a hélas laissée complètement sur le côté.
J’avoue m’être quelque peu perdue dans les témoignages et l’espace spacio-temporel…
Même si ce n’est pas du tout mon genre dans l’absolu je retentirai certainement sa lecture.
Parce qu’un livre qui dérange autant ne peut pas laisser indifférent !
Note de l’éditeur (Stock) :
« Le premier jour d’absence il était descendu à l’heure du déjeuner pour l’attendre dans le parc, caché derrière l’arbre d’où il observait la sortie de ses subordonnés. Il avait ensuite vérifié les registres de la badgeuse. Aucune trace d’elle. » Un jour, Eva Silber disparaît volontairement. Pourquoi a-telle abandonné son métier, ses amis, son compagnon, sans aucune explication ? Tandis que, tour à tour, ses proches se souviennent, le fait divers glisse vers un récit inquiétant, un roman-enquête imprévisible à la recherche de la disparue.
C’était très intéressant d’avoir l’écho de l’auteure sur son roman, aujourd’hui. Dans la 4ème partie, je n’ai pas placé l’importance de ce que j’ai vécu en lecture, et qui m’a chamboulée, là où apparemment elle la situe. Mais on a tous notre propre interprétation d’un livre, et celui-ci est vraiment très particulier. Je ne saurais pas forcément le recommander – ou alors seulement à un lecteur curieux qui accepte de prendre le risque d’être dérangé, voire de ne pas aimer…
Bon, malgré ça, ça reste « notre » livre, chabadabada 😍😁
« Notre livre chabadabada »… J’aime !! 😀