Une histoire qui part dans tous les sens, bien compliquée à suivre et tirée par les cheveux…
Beaucoup de personnages (trop ?)…
Bref, l’auteur m’a littéralement perdue !
Je connais la qualité des parutions au Fleuve Noir mais là, ce thriller est malheureusement une déception à mes yeux !
Le sujet avait pourtant tout pour me plaire.
Je ne souhaite pas enfoncer le clou mais je pense que ce livre souffre d’un vrai problème de traduction…
Editions Fleuve Noir
Zakopane, chaîne des Tatras, 26 décembre 1944.
Un résistant serre contre lui un étui métallique. À ses oreilles résonnent encore les dernières instructions de l’officier nazi qui lui a confié « le plus grand secret de cette guerre »… Alors qu’il est pris dans une tempête de neige, sa formation d’alpiniste pourrait se révéler cruciale. Non loin de là, dans une auberge, un homme contemple par l’une des fenêtres la même bourrasque déchaînée. Après une ultime hésitation, il croque sa capsule de cyanure.
Une matinée d’automne, de nos jours, à Varsovie.
Chef du département de recouvrement de biens culturels rattaché au ministère des Affaires étrangères, le docteur Zofia Lorentz est convoquée par le Premier ministre : le Portrait de jeune homme du peintre Raphaël, tableau le plus précieux jamais perdu et recherché depuis la Seconde Guerre mondiale, vient d’être localisé. Accompagnée d’un marchand d’art cynique, d’un officier des services secrets à la retraite et d’une voleuse légendaire, Zofia s’envole pour New York, étape d’une quête contrariée qui pourrait inverser la lecture de l’Histoire et la politique internationale moderne…
Livre lu dans le cadre du Jury du Grand Prix des Lectrices ELLE 2018 dont je fais partie !