Mon premier livre (paru ce jour) du challenge #68premieresfois !
Ce premier roman ne peut pas laisser indifférent.
Tout d’abord par son style : Christophe Manon nous propose une description d’un seul tenant, avec des blancs (qui ne sont pas des défauts d’impressions ), très pauvre en ponctuation donc assez déroutant au départ. Il a fallu que je me mette dans un autre mode de lecture pour finir par l’accepter.
Ensuite par l’histoire : c’est une succession d’annotations des plus étranges au dos de photographies jaunies par le temps.
Je lui reconnais une écriture des plus intéressantes et plutôt belle, mais l’histoire tirée des photographies m’a parfois un peu lassée. Je n’ai pas réussi à être complètement émue par « l’exploration de la mémoire, l’histoire d’amour et l’enquête familiale ».
L’accueil final que je lui fais est donc en demi-teinte…
Editions Verdier
Le chat (superbe!) aussi affiche un sentiment en demi-teinte… Je l’ai lu jusqu’à la fin, consciente de sa qualité littéraire mais je suis incapable d’en parler. Un drôle d’objet que je suis quand même contente d’avoir eu entre les mains…