« Étés anglais » d’Elizabeth Jane Howard…

En 1937 Home Place, résidence secondaire du Sussex non loin de la mer, s’apprête à recevoir les trois fils accompagnés de femmes et enfants ainsi que la fille des Cazalet. Cuisinières, femmes de chambre, bonnes, chauffeurs, jardiniers, garçon d’écurie s’activent pour que tout se déroule comme il se doit, que ce soit à Londres puis à la campagne. Entre relations enfantines, conjugales, familiales et domestiques, intrigues, évolution de la société britannique et condition féminine, l’Histoire avec la menace d’une nouvelle guerre gronde… 
 
Après « Une saison à Hydra », Elizabeth Jane Howard propose de plonger le lecteur dans une saga ! 
 
« Downton Abbey » vous manque ? Les Cazalet (qui a fait l’objet d’une adaptation à succès sous la forme d’une série à la BBC) va vous immerger dans les boires et les déboires d’une famille anglaise sur trois générations. Tout est fait pour que nous nous attachions aux personnages (petits et grands) au point d’attendre le second tome avec beaucoup d’impatience une fois la dernière page tournée. Soyez rassurés vous n’aurez pas longtemps à patienter : ce dernier est annoncé en octobre prochain… 
 
Succombez avec délice à « Etés anglais », confortablement installé avec le plus excellent des Earl Grey : so british!
 
Belle lecture à tous ! 
 

©Céline Huet-Amchin

Note de l’éditeur (éditions La Table Ronde collection Quai Voltaire) : 

« Juillet 1937. À Home Place, au cœur du Sussex, jardiniers, femmes de chambre et cuisinière sont sur le pont. La Duche orchestre le ballet des domestiques avant l’arrivée de ses trois fils, Hugh, Edward et Rupert Cazalet, en chemin depuis Londres avec épouses, enfants et gouvernantes. Où dormira Clary, adolescente mal dans sa peau en plein conflit avec sa belle-mère? Quelle robe portera Villy, ancienne ballerine désormais mère au foyer? Polly, terrorisée à l’idée qu’une guerre éclate, s’entendra-t-elle avec sa cousine Louise qui rêve de devenir actrice? Rachel, la seule fille de la Duche, trouvera-t-elle un moment pour ouvrir la précieuse lettre de son amie Sid?
Non-dits, chamailleries, profonds chagrins… Aux préoccupations des adultes font écho les inquiétudes des enfants, et à la résilience des femmes, qu’elles soient épouses, fillettes ou domestiques, répond la toute-puissance – ou l’impuissance – des hommes. L’été regorge d’incertitudes mais, sans l’ombre d’un doute, une nouvelle guerre approche : entre pique-niques sur la plage et soirées auprès du gramophone, il faudra inventorier lits de camp et masques à gaz. »

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