Étiquette : Premiers romans

  • « Mon territoire » de Tess Sharpe…

    « Mon territoire » de Tess Sharpe…

    Une couverture sublime pour une histoire que vous aurez du mal à lâcher une fois commencée ! 

    Face à un monde qui a ses propres codes, à des situations décrites tels des couperets qui rythment admirablement les différentes temporalités, Harley McKenna intègre le Panthéon des héroïnes littéraires qui marquent et qui n’est pas s’en m’avoir fait penser (même si les deux intrigues n’ont rien à voir) à la Turtle de Gabriel Tallent dans « My absolute darling » par sa volonté, son courage, son cheminement psychologique, son combat intérieur sur l’autel de l’héritage paternel transmis.
    Vous ne serez pas prêts de l’oublier !

    Que la fin soit prévisible ne m’a pas dérangée. Pour moi, l’essentiel est ailleurs dans ce premier roman très réussi de cette rentrée littéraire 2019.

    A mentionner également l’excellente traduction d’Héloïse Esquié. 

    Un GRAND MERCI renouvelé à Léa via le Picabo River Book Club et aux Editions Sonatine ainsi qu’ à Manon et à Cécile pour cette lecture commune que je recommande vivement (et qui intègre non seulement le Challenge « A l’assaut des pavés » étant donné ses 551 pages 😛 mais encore Le Mois américain 😉 ).

    ©Céline Huet-Amchin

    Note de l’éditeur (Sonatine) : 

    « À 8 ans, Harley McKenna a assisté à la mort violente de sa mère. Au même âge, elle a vu son père, Duke, tuer un homme. Rien de très étonnant de la part de ce baron de la drogue, connu dans tout le nord de la Californie pour sa brutalité, qui élève sa fille pour qu’elle lui succède. Mais le jour où Harley est en passe de reprendre les rênes de l’empire familial, elle décide de faire les choses à sa manière, même si cela signifie quitter le chemin tracé par son père. »

  • « Un manoir en Cornouailles » d’Eve Chase…

    « Un manoir en Cornouailles » d’Eve Chase…

    Le titre, la couverture, l’endroit où l’intrigue se déroule avaient tout pour me plaire et je n’ai pas été déçue… 

    Le lecteur oscille classiquement entre deux temporalités, 1968 et plus de trente ans plus tard, dans un lieu unique, le Manoir de Pencraw appelé également le Manoir des Lapins noirs. 

    Comment vous parler de ce livre sans révéler quoi que ce soit ? 
    C’est compliqué… 
    Si je vous dis Cornouailles, mort et secrets de famille vous embarquez ? 

    Ce n’est pas un thriller mais une fois plongés dans ce (premier) roman vous aurez du mal à vous en détacher : vous vous attacherez assurément à tous les personnages et vous serez portés par cette histoire joliment romanesque empreinte de mystères envoûtants et captivants bien ficelés. 

    A toutes celles et tous ceux qui aiment les atmosphères so british à la Daphné du Maurier pour ne citer qu’elle, je recommande vivement.
    Le tout accompagné d’un excellent Earl Grey bien évidemment (et d’un poilu attentif). 

    Belle lecture à tous ! 

    ©Céline Huet-Amchin

    Note de l’éditeur (10/18) : 

    « Cornouailles, 1968. Pencraw, un grandiose manoir en ruine dans lequel les Alton élisent domicile l’été. Le temps semble s’y être arrêté et défile sans encombre. Jusqu’au drame qui vient bouleverser leurs vies et arrêter le temps à jamais.Cinquante ans plus tard, avec son fiancé Jon, Lorna roule à la recherche du manoir des Lapins noirs, cette maison où elle a séjourné enfant. Elle rêve d’y célébrer son mariage. Tout dans cette vieille demeure l’appelle et l’attire. Mais faut-il vraiment déterrer les sombres mystères de ce manoir en Cornouailles ? »

  • « Le libraire de Wigtown » de Shaun Bythell…

    « Le libraire de Wigtown » de Shaun Bythell…

    J’ai lu ce roman en août 2018 et je ne vous en parle que maintenant…
    Mieux vaut tard que jamais ! 

    Journal de bord d’un libraire d’une bourgade du Sud-Ouest de l’Ecosse , ces lignes sont une lecture jubilatoire où les pépites des clients vous feront rire aux éclats (si vous appréciez comme il se doit l’humour anglais of course!).  

    La vie des libraires est très bien décrite ainsi que les coulisses, l’envers du décor (non non non, ces derniers ne passent pas leurs journées à lire contrairement à ce que peuvent penser des générations de dévoreurs d’encre fraîche ou vieillie).

    L’écrivain nous convie également à réfléchir sur ce que sont les vrais lecteurs, les best-sellers, le succès et j’en passe. 

    Les pages de ce premier roman fleurent bon l’atmosphère so british que j’aime tant, la passion du papier, les mots… et nous offrent de bons conseils littéraires au passage. 

    Vous passerez un bon moment. 

    Belle lecture à tous !

    ©Céline Huet-Amchin

    « Les vrais lecteurs sont rares, même si une multitude de gens
    se considèrent comme tels. »

    « A mesure que le succès et la renommée d’un auteur s’accroissent,
    le tirage de ses ouvrages augmentent également. »

    « Les recueils de poésie sont autant de possibles qui, un jour peut-être,
    seront déterrés et soigneusement époussetés
    par des paléontologues de la Littérature »

    Note de l’éditeur (Autrement) : 

    « Bienvenue à Wigtown, charmante petite bourgade du sud-ouest de l’Écosse. Wigtown, son pub, son église… et sa librairie – la plus grande librairie de livres d’occasion du pays. De la bible reliée du XVIe siècle au dernier volume d’Harry Potter, on trouve tout sur les kilomètres d’étagères de ce paradis des amoureux des livres. Enfin, paradis, il faut le dire vite…

    Avec un humour tout britannique, Shaun Bythell, bibliophile, misanthrope et propriétaire des lieux, nous invite à découvrir les tribulations de sa vie de libraire. On y croise des clients excentriques, voire franchement désagréables, Nicky, employée fantasque qui n’en fait qu’à sa tête, mais aussi M. Deacon, délicieux octogénaire qui se refuse à commander ses livres sur Amazon.

    Entre 84, Charing Cross Road d’Helene Hanff et Quand j’étais libraire de George Orwell, Le Libraire de Wigtown invite le lecteur à découvrir l’envers du décor : si l’amour de la littérature est primordial pour exercer le métier de libraire, on y apprend qu’il faut aussi un dos en béton et une patience de saint! »

  • « À la ligne » de Joseph Ponthus…

    « À la ligne » de Joseph Ponthus…

    À mon libraire je m’entends encore demander 
    Avez-vous toujours le Ponthus 
    LE Ponthus
    Un premier roman
    Et déjà un classique 

    Les pensées d’un homme simple
    Les pensées d’un ouvrier
    Les pensées d’un sans dent
    Les pensées d’une personne du peuple
    Dans sa manière la plus circonstanciée

    Sa relation au travail
    Sa relation avec les autres
    Sa relation avec sa femme
    Sa mère aussi

    Le travail à la chaîne
    Les conversations
    Les attitudes
    Les grèves
    Le management
    La fatigue
    Le corps meurtri
    La maladie
    Les missions à la petite semaine
    L’attente des paiements

    Chers hommes politiques
    Si ce n’est pas déjà fait
    Ayez le courage et la volonté de lire ce livre
    Vous pourrez certainement enfin comprendre
    Ce qu’une grande majorité de Français vivent au quotidien
    Bien loin de toutes les dorures de la République

    Parce qu’à l’usine il ne faut pas croire
    On peut y croiser des écrivains
    Guillaume Apollinaire, Georges Perec
    Des chanteurs aussi
    Barbara, Trénet, Nougaro, Brel, Vanessa Paradis
    Et des poètes
    Léo Ferré
    Pour ne citer qu’eux

    Pas de ponctuation pour mieux comprendre ce qu’est la répétition
    Des vers libres comme un pied de nez
    Beauté tragique d’une époque devenue complètement folle
    Ou comment la Littérature peut sauver de tout

    Belle lecture à tous ! 

    ©Céline Huet-Amchin

    Note de l’éditeur (La Table Ronde) : 

    « À la ligne est le premier roman de Joseph Ponthus. C’est l’histoire d’un ouvrier intérimaire qui embauche dans les conserveries de poissons et les abattoirs bretons. Jour après jour, il inventorie avec une infinie précision les gestes du travail à la ligne, le bruit, la fatigue, les rêves confisqués dans la répétition de rituels épuisants, la souffrance du corps. Ce qui le sauve, c’est qu’il a eu une autre vie. Il connaît les auteurs latins, il a vibré avec Dumas, il sait les poèmes d’Apollinaire et les chansons de Trenet. C’est sa victoire provisoire contre tout ce qui fait mal, tout ce qui aliène. Et, en allant à la ligne, on trouvera dans les blancs du texte la femme aimée, le bonheur dominical, le chien Pok Pok, l’odeur de la mer. 
    Par la magie d’une écriture tour à tour distanciée, coléreuse, drôle, fraternelle, la vie ouvrière devient une odyssée où Ulysse combat des carcasses de bœufs et des tonnes de bulots comme autant de cyclopes. »

  • « Le quartier des petits secrets » de Sophie Horvath…

    « Le quartier des petits secrets » de Sophie Horvath…

    « Les mauvaises herbes aussi sont des fleurs,
    quand on apprend à les connaître. »
    (Winnie l’Ourson)

    Je vous avais parlé de Sophie Horvath après la lecture de son livre auto-édité « À l’ombre du grand marronnier ». 

    Avec ce premier roman paru aux Editions Flammarion, « Le quartier des petits secrets » affirme son talent de conteuse.

    Une galerie de portraits irrésistibles : une fleuriste qui aurait dû embrasser la magistrature, une vieille dame qui prend la boutique de fleurs pour son jardin, un aide soignant surnommé « Monsieur Propre », une patronne de café « qui virevolte entre les tables du Marronnier’ (joli clin d’oeil au passage) et son fils, un assureur,  une « inspectrice » avec un parapluie, un libraire mystérieux, un chat qui pue… 

    C’est un livre très bien construit, joliment écrit et les personnages se révèlent dès les toutes premières pages terriblement attachants.  

    Commencé dans un train, je l’ai terminé sur notre canapé accompagnée d’un bon Earl Grey et de nos deux poilus.

    Sophie a le don de créer une atmosphère, de s’appuyer sur un humour qui ne sont pas sans rappeler un certain style anglo-saxon que j’affectionne tout particulièrement.

    Vivement le prochain… 

    La quatrième de couverture en révélant suffisamment à mon goût et mon but depuis toujours étant de ne jamais spoiler un livre, plongez-vous donc dans ce roman.
    Vous passerez un délicieux moment !

    « La quartier des petits secrets », on aurait bien envie d’y habiter… 

    ©Céline Huet-Amchin

    Note de l’éditeur (Flammarion) : 

    « Clémentine est fleuriste à Bordeaux, dans un quartier en retrait de l’effervescence urbaine. Sa plus proche amie, Nicole, tient le café sur la place et, ensemble, elles s’amusent à observer les habitudes de chacun. De cet homme qui commande exactement les mêmes bouquets chaque semaine. De ce bouquiniste qui ne sort jamais. De « L’Inspectrice » qui passe en faisant claquer son parapluie…
    Et puis il y a Viviane, bien sûr, qui s’échappe régulièrement de sa maison de repos pour venir passer un moment dans son jardin imaginaire – la boutique de Clémentine – où elle coupe, tranche, éventre… Viviane est adorable mais ses pertes de repères ne favorisent pas le commerce.
    Pourtant, lorsque cette dernière ne se présente plus, Clémentine s’inquiète.
    Une mauvaise chute empêche la charmante massacreuse de venir ratiboiser ses bouquets. Malgré sa faiblesse, elle trouve la force de dessiner une fleur étrange… que Clémentine ne parvient pas à identifier.
    Quelle est donc cette variété qui semble tellement importante pour la dame âgée ?
    Il n’en faut pas plus pour que Clémentine commence son enquête. »

  • « Grégoire et le vieux libraire » de Marc Roger…

    « Grégoire et le vieux libraire » de Marc Roger…

    Un vieux monsieur atteint de la maladie de Parkinson va demander une faveur à la directrice de sa maison de retraite : que le jeune Grégoire, venu des cuisines, lui fasse la lecture.
    Sous l’impulsion et la bienveillance de M.Picquier, ancien libraire de son état, Grégoire rattrapera son ignorance en la matière, apprendra à choisir un livre et à en comprendre tout le sens.
    De ces échappées livresques en compagnie de Salinger, Maupassant et bien d’autres naîtra un lecteur hors pair, un merveilleux passeur de mots et d’histoires.

    Si le monde du travail dans les EPHAD est évoqué, la lectrice que je suis a surtout été sensible aux thèmes touchant à l’apprentissage, l’émancipation, la littérature, l’amitié, l’amour, la vieillesse heureuse, la mort, la transmission…

    Et vous, par qui ou d’où vous est venu le goût de la lecture ?

    « Tant que quelqu’un nous parle, mourir est impossible » 
    (Christian Bobin)

    « C’est quand l’arbre est couché qu’il découvre le ciel »

    « Tu lui dis, il oublie;
    tu lui enseignes, il écoute;
    tu lui fais vivre, il apprend. »
    (Confucius)

    « Je veux faire avec toi
    Ce que le printemps fait avec les cerisiers »

    « Cela vient de loin, ça ne doit pas s’arrêter.
    La littérature ne cesse de se reprendre
    et c’est son aventure qui doit finir par t’embarquer »

    NDLR. Aucun chat se cache entre les lignes contrairement à ce que tenterait de prouver la couverture ! 😉

    Note de l’éditeur (Albin Michel) :

    « Marc Roger, l’auteur de ce livre, est un amoureux des mots, un lecteur public qui va de librairie en bibliothèque. Dans ce premier roman émouvant et drôle, il communique son enchantement pour la lecture, cet horizon infini qui nous relie les uns aux autres.
    Grégoire et le vieux libraire, c’est la rencontre inattendue et merveilleuse entre un adolescent et un vieux libraire. L’un n’a jamais aimé lire, l’autre a pour seule richesse sa passion des livres. Ce trésor enfoui, Grégoire va peu à peu le découvrir en faisant, chaque jour, la lecture au vieil homme atteint de la maladie de Parkinson. Et tandis qu’à la musique des mots celui-ci renaît, Grégoire s’éveille à leur pouvoir mystérieux.
    Dans cet hommage à la littérature et à l’amitié, on assiste émerveillé à la naissance d’un lecteur, à l’émancipation d’un jeune homme, et au bonheur retrouvé d’un passeur d’histoires. »

  • « Sukkwan Island » de David Vann…

    « Sukkwan Island » de David Vann…

    Tout va bien.
    Enfin, à peu près bien.
    Et puis tout à coup…

    Le premier roman « nature writing » de David Vann est digne d’un uppercut.
    Le huis clos en Alaska à l’atmosphère si particulière et le nombre très restreint de personnages participent au malaise qui monte crescendo, jusqu’au dénouement final.

    Très psychologique, « Sukkwan Island » est un livre qui vous prend aux tripes et que vous ne serez pas prêt(e)(s) d’oublier.

    En dire plus serait le dévoiler donc, belle lecture à tous !

    Note de l’éditeur (Gallmeister) :

    « Une île sauvage du Sud de l’Alaska, accessible uniquement par bateau ou par hydravion, tout en forêts humides et montagnes escarpées. C’est dans ce décor que Jim décide d’emmener son fils de treize ans pour y vivre dans une cabane isolée, une année durant. Après une succession d’échecs personnels, il voit là l’occasion de prendre un nouveau départ et de renouer avec ce garçon qu’il connaît si mal. La rigueur de cette vie et les défaillances du père ne tardent pas à transformer ce séjour en cauchemar, et la situation devient vite incontrôlable. Jusqu’au drame violent et imprévisible qui scellera leur destin. Sukkwan Island est une histoire au suspense insoutenable.

    Avec ce roman qui nous entraîne au cœur des ténèbres de l’âme humaine, David Vann s’installe d’emblée parmi les jeunes auteurs américains de tout premier plan.

    Ce roman a remporté les prix Médicis étranger 2010, prix des lecteurs de L’Express, prix de la Maison du livre de Rodez, prix du Marais 2011 des lecteurs de la médiathèque L’Odyssée de Lomme. Depuis son formidable succès en France, ce roman a été traduit en dix-huit langues et est aujourd’hui disponible dans soixante pays du monde. Une adaptation cinématographique est en cours. »

  • « Quitte à tuer, autant le faire dans l’ordre » de Virginie Lloyd…

    « Quitte à tuer, autant le faire dans l’ordre » de Virginie Lloyd…

    Je suis depuis quelque temps Virginie Lloyd sur Instagram.

    C’est le titre tout d’abord « Quitte à tuer autant le faire dans l’ordre » qui m’a intriguée.
    Je l’ai tout simplement trouvé excellent !

    Le truc, c’est qu’il était hors de question que j’achète le livre sur Amazon (beurk).
    J’ai donc demandé à l’auteur si je pouvais lui acheter en direct.
    48h plus tard (comme quoi parfois La Poste fonctionne bien), il m’attendait dans notre boîte aux lettres…

    Je me suis plongée dedans hier et je l’ai lu d’un trait (il fait tellement froid dehors que j’hiberne en ce moment), sans jamais soupirer d’ennui à la lecture ni le refermer, ce qui est plutôt bon signe.

    Eh oui, oui oui OUI : l’auto-édition offre parfois des p’tites pépites bien agréables !
    À bons entendeurs…

    Ce roman complètement déjanté à l’écriture très contemporaine fait un bien de dingue !
    Une bonne dose d’humour (noir), beaucoup d’émotions, de tendresse (sans jamais être gnan-gnan) et des thèmes profonds traités en filigrane (le bonheur, le deuil…).
    Certes il y a quelques imperfections dues au fait de ne pas être passé entre des « mains professionnelles » mais soyons honnête cela ne gêne en rien la qualité de l’histoire et cela lui donne même un charme particulier.

    J’ai fait confiance à mon nez, et j’ai bien fait.
    Virginie Lloyd mérite une place dans le milieu littéraire. Dans un monde parallèle, elle pourrait être la fille naturelle d’Amélie Poulain et de Forrest Gump…

    Alors si vous voulez vous faire du bien, n’hésitez pas un instant.
    S’offrir son livre, en parler, c’est la soutenir et lui donner de la visibilité.

    Belle lecture à tous !

    Résumé de l’auteur :

    « Lily Brooks est rédactrice de modes d’emploi. Elle mène une vie tranquille jusqu’au jour où, par hasard, elle découvre le développement personnel. Chouette ! Une notice du bonheur ! Pas vraiment. Entre crimes et bienveillance, Lily va devoir affronter les effets secondaires de sa nouvelle vie. »

  • « Winterhouse Hôtel » de Ben Guterson…

    « Winterhouse Hôtel » de Ben Guterson…

    Sur les conseils de la librairie rennaise Le Failler, je me suis plongée avec toute mon âme d’enfant dans ce roman jeunesse dès les premières lignes.

    Une couverture à tomber qui n’est pas s’en rappeler celles dans lesquelles excellent les anglo-saxons…
    Des personnages mystérieux à souhait…
    Un hôtel fascinant…
    Une histoire magique…

    La fan de Wes Anderson, Jean-Pierre Jeunet et J.K. Rowling que je suis en a eu pour son compte.

    Enseignant, critique littéraire et ex-salarié de Microsoft, Ben Guterson, américain de son état, signe là son premier roman pour les lecteurs à partir de 11 ans.

    Sur la toile on parle de tome 1.
    Vivement le prochain donc et belle lecture à tous !

    Note de l’éditeur (Wiz Albin Michel) :

    « Quelques dollars dans une enveloppe, un ticket de bus et une adresse : c’est ce que trouve Elizabeth Sommers devant sa porte close en rentrant de l’école, à la veille des vacances de Noël. Son oncle et sa tante sont partis pour trois semaines, et elle doit rejoindre Winterhouse Hôtel, où une chambre l’attend.
    Surprise ! Loin de la pension miteuse qu’elle imaginait, Winterhouse Hôtel est un manoir fascinant, tout droit sorti d’un film de Wes Anderson. Cerise sur le gâteau, elle y rencontre Fred, un garçon de son âge, qui comme elle est passionné de livres, d’énigmes et de jeux de mots.
    Tant mieux, car les mystères, codes et autres bizarreries ne manquent pas à Winterhouse, et ces vacances promettent d’être palpitantes ! »

    Traduction d’Anne-Sylvie Homassel et illustrations de Chloé Bristol.