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  • « La bibliothécaire » de Gudule…

    « La bibliothécaire » de Gudule…

    Embarquez pour un voyage fantastique au pays des livres et de l’écriture avec Guillaume !

    Un chouette roman jeunesse qui m’attendait depuis un moment…

    Chiné chez un bouquiniste, les pages fleurent bon le « papier ancien qui a vécu » pour un plaisir décuplé de lecture !

    ©Céline Huet-Amchin

     Note de l’éditeur (Le Livre de Poche) : 

    Pourquoi la vielle dame qui habite en face de chez Guillaume écrit-elle très tard la nuit? Quelle est cette jeune fille qui ne sort de chez elle qu’à le nuit tombée? Pour résoudre ces mystères, Guillaume se lance dans un fantastique voyage au pays des livres et de l’écriture.

  • « Cette maudite race humaine » de Mark Twain…

    « Cette maudite race humaine » de Mark Twain…

    Beaucoup aimé cet essai satirique de Mark Twain mais je suis restée sur ma faim avec les seulement 73 pages !

    Écrits à la fin de sa vie et édités à titre posthume, ces cinq textes sont plus que jamais d’actualité !

    “L’homme est l’animal qui rougit. C’est le seul animal qui fasse
    cela ou qui ait des raisons de le faire.”

    “De tous les animaux, l’homme est le seul à être cruel.”

    “Le sens moral permet à l’homme de faire le mal.
    Il lui permet de faire le mal de mille façons.”

    “À l’état sauvage – un état naturel-, les animaux supérieurs souffrent de
    quelques maladies, affections sans conséquence, la principale étant la vieillesse.

    L’homme, au contraire, s’y précipite dès l’enfance et s’y maintient jusqu’à la fin,
    faisant des maladies son régime ordinaire.”

    Belle lecture à tous ! 

    ©Céline Huet-Amchin

    Note de l’éditeur (Babel) : 

    «Cette maudite race humaine» regroupe cinq textes d’un recueil de courts essais de Mark Twain, écrits à la fin de sa vie, publiés de manière posthume. Tendre satire sur « le complexe de supériorité » de l’homme, cette volée de flèches désopilante sur la tendance anthropo-centrée de celui-ci, révèle – s’il en était encore besoin – la causticité irrévérencieuse de cet auteur culte. Avec une préface de Nancy Huston.

  • « Le vieil homme et son chat » de Nekomaki…

    « Le vieil homme et son chat » de Nekomaki…

    Je prends toujours autant de plaisir à me plonger dans les histoires du Vieil homme et son chat…

    J’avais découvert le tout premier tome grâce à la librairie Le Renard doré (merci Mickaël qui se reconnaîtra s’il passe par là) et depuis je retourne me les offrir et compléter ma collection là-bas (il est hors de question de les prendre ailleurs !).

    Alors si vous aimez le Japon et les chats (mais pas que), cette lecture est pour vous !

    ©Céline Huet-Amchin

    Note de l’éditeur (Casterman ) : 

    Daikichi, instituteur à la retraite et veuf, vit avec Tama, un chat de 10 ans. Ou bien est-ce Tama qui veille sur son vieux maître pour honorer une promesse faite à son épouse disparue ?
    Au fil des saisons et d’un quotidien fait de promenades paisibles, de repas partagés entre voisins de toujours et d’évocations des années passées, Daikichi et son chat s’entraident, se chamaillent, et s’adorent.

  • « Anatomie comparée des espèces imaginaires » de Jean-Sébastien Steyer…

    « Anatomie comparée des espèces imaginaires » de Jean-Sébastien Steyer…

    Un sacré cabinet de curiosités répertoriées par le paléontologue Jean-Sébastien Steyer !

    Laissez-vous captiver par cette nouvelle édition revue et augmentée parue en septembre dernier.

    Totoro, le Dragon, les Gremlins, Chewbacca et tant d’autres n’auront (presque) plus de secret pour vous…

    Un bestiaire des animaux imaginaires à la lumière de la Science, original et passionnant !

    Les illustrations (“à l’ancienne”) d’ Arnaud Rafaelian sont sublimes.

    Belle lecture à tous ! 

    ©Céline Huet-Amchin

    Note de l’éditeur (Le cavalier bleu) : 

    Créatures de films, BD, comics…, les univers fictionnels passionnent et regorgent d’espèces ­imaginaires ­qui ­empruntent leurs caractéristiques fantastiques aux espèces bien réelles.
    Illustré à la manière des ­planches anatomiques d’antan, cet ouvrage rassemble les figures parmi les plus emblématiques de la culture geek. Il en analyse les spécificités avec la mé­­thode scientifique, en s’appuyant sur les apports des sciences naturelles. On découvre, dans leurs anatomies, habitudes, environnements, un bestiaire riche d’enseignements, permettant d’éveiller notre curio­sité et de forger de façon ludique notre sens ­critique.
    D’Alien à Totoro, en passant par Spider-Man ou le Loup-garou, mélangeant les genres et les époques, chacun retrouve ses personnages favoris. Une véritable invitation à découvrir la science autrement !

    Jean-Sébastien Steyer est paléontologue au CNRS et au Muséum de Paris, auteur et conférencier. Spécialiste de l’évolution des faunes d’avant les dinosaures, il est également connu pour ses ouvrages sur les sciences dans la culture des mondes imaginaires.

    Arnaud Rafaelian est illustrateur et graphiste indépendant. Il collabore depuis sa création à la revue Espèces.

    Nouvelle édition revue et augmentée

  • « Sitka » de Gabrielle Filteau-Chiba…

    « Sitka » de Gabrielle Filteau-Chiba…

    Après “Encabanée”, “Sauvagines” et en attendant la parution de “Bivouac” en janvier prochain, pouvoir se replonger dans l’écriture, les petits dessins et l’atmosphère tant appréciés de Gabrielle Filteau Chiba a été un grand bonheur !

    “Le plus difficile, quand on aime un être,
    c’est de le laisser nous quitter.”

    ©Céline Huet-Amchin

    Notre de l’éditeur (XYZ éditions) : 

    « Sous ce toit, la douceur envers plus petit que soi est la règle d’or. Inversement, au sein de la meute qu’elle a quittée, les coups de crocs bien sentis étaient de mise. Les louveteaux mangeaient après le couple et les chasseurs, question de logique, question de survie. »

    Le cœur de Sitka bat fort, fait pulser dans ses veines un sang infusé de tourbe et de conifères, du souvenir d’un océan, d’une reine fragile à protéger. Sinueux est le chemin qui la mènera de l’autre côté de la peur, de l’autre côté du continent.

  • « Le Printemps de Sakura » de Marie Jaffredo…

    « Le Printemps de Sakura » de Marie Jaffredo…

    Une pépite comme je les apprécie !

    À la faveur d’un déplacement professionnel de son papa (français) Sakura est confiée à sa grand-mère (japonaise)…

    Ce merveilleux roman graphique aborde de la plus jolie et de la plus juste des manières le deuil maternel, la transmission, le partage, les souvenirs, l’importance de la nature, l’acceptation, la résilience, etc.

    N’hésitez pas un instant et plongez dans cette délicieuse lecture !

    ©Céline Huet-Amchin

    Note de l’éditeur (Vent d’Ouest) : 

    Sakura, 8 ans vit à Tokyo. Depuis le décès accidentel de sa maman quelques années auparavant, la fillette n’arrive pas à surmonter son chagrin. Obligé de s’absenter quelques semaines pour raisons professionnelles, son papa, français d’origine, décide de la confier à sa grand-mère japonaise. Mais les premiers moments avec cette aïeule vivant de façon traditionnelle au rythme de la nature, plongent l’enfant dans un désarroi encore plus grand ! Pourtant, contre toute attente, ce séjour va profondément transformer Sakura… Le temps d’un printemps auprès de Masumi, aussi douce que joyeuse, la fillette découvrira en elle des ressources insoupçonnées, lui permettant de dépasser le drame, et de s’ouvrir de nouveau à la vie. Cette résurrection passera par l’éveil de ses sens et la découverte de plaisirs simples : la pêche aux coquillages, la saveur des dorayakis, la sensation du sable chaud, le chant des roseaux, les senteurs du jardin, l’air de la mer, les rencontres avec les villageois ou encore la compagnie affectueuse d’un chat l’aideront à passer le cap de la résilience…
    Émouvant et sensible, ce roman graphique d’une immense poésie nous invite à revenir à l’essentiel pour trouver l’authenticité. À travers le parcours de Sakura, le lecteur effleure le raffinement japonais et la richesse de la culture asiatique. Certainement un des plus beaux albums de Marie Jaffredo, empreint de sagesse où le choix de l’aquarelle contribue pleinement à l’harmonie générale.

  • « Contes des cinq coins du monde » de Paul Thiès…

    « Contes des cinq coins du monde » de Paul Thiès…

    Un tour du monde avec un chat pour compagnon !

    Une lecture jeunesse qui fait voyager et qui apprend le courage, la générosité, la fraternité, l’amitié, etc.

    Irrésistible forcément !

    Notre Coon Nabuchodonosor est prêt à partir lui… 

    Belle lecture à tous ! 

    ©Céline Huet-Amchin

  • « Le chant des écrevisses » de Delia Owens…

    « Le chant des écrevisses » de Delia Owens…

    Dans un marais une petite fille, Kya, se retrouve seule. Elle va apprendre à survivre, à vivre…

    Que celle ou celui qui ne l’a pas encore lu file en librairie ou le sorte immédiatement de sa PAL !

    Un GRAND, un TRÈS BEAU roman aux multiples thèmes abordés.

    L’intrigue est captivante (je l’ai lu pratiquement d’un trait en une journée), les personnages sont inoubliables et la nature tient une place essentielle.

    Il fait désormais assurément partie de mes livres préférés !

    Belle lecture à tous ! 

    ©Céline Huet-Amchin

    Note de l’éditeur (Points) : 

    Les rumeurs les plus folles courent sur « la Fille des marais » de Barkley Cove, en Caroline du Nord. Pourtant Kya n’est pas cette créature sauvage et analphabète que tous imaginent et craignent. Abandonnée à l’âge de dix ans par sa famille, c’est grâce au jeune Tate qu’elle apprend à lire et à écrire, découvre la science et la poésie. Mais Tate, appelé par ses études, doit partir à son tour. Et lorsque l’irréparable se produit, elle ne peut plus compter que sur elle-même…

    Delia Owens est née en 1949 en Géorgie, aux États-Unis. Diplômée en zoologie et biologie, elle a vécu plus de vingt ans en Afrique. Véritable phénomène d’édition vendu à des millions d’exemplaires dans le monde entier, Là où chantent les écrevisses est son premier roman.

    Traduit de l’anglais (États-Unis) par Marc Amfreville

  • « Blanc » de Sylvain Tesson…

    « Blanc » de Sylvain Tesson…

    Quatre ascensions aux doux noms de liberté, temps, beauté et oubli…

    Avec « Blanc » Sylvain Tesson est arrivé à me faire adorer les montagnes moi une normande, fille de la mer !

    Je déteste skier mais j’adore me balader. Et j’éprouve toujours une joie enfantine lorsqu’il y a de la neige…

    À l’émotion idéaliste voire romantique d’une nuit dans un refuge loin des tumultes du monde se confronte la réalité de ce qu’il faut endurer pour y arriver.

    Comme toujours avec Sylvain Tesson on ressent, on vit les mots qu’il couche sur le papier.
    Et on flirte comme souvent avec le sublime…

    Une merveilleuse lecture ! 

    « On grimpe, on s’enfuit, et peu importe ce qui se passera au retour.»

    « Le séjour dans les paysages de neige est une saignée de l’âme. On respire le Blanc,
    on trace dans la lumière. Le monde éclate. On se gorge d’espace.
    Alors s’opère l’éclaircie de l’être par le lavement du regard. »

    « La blancheur pardonne à l’inutile – en le masquant. »

    « L’alpiniste est ce type qui ne trouvera jamais là-haut ce dont il
    manque en bas mais sera toujours prêt à y retourner. »

    « Le Blanc était la couleur du temps retrouvé. »

    « Immobiles, calmes et droits, nous étions enfin capables de comprendre pourquoi il émanait des chats au carreau cette gravité des êtres parvenus au contentement intégral, synonyme de la vie réussie, antipode de l’inquiétude humaine. »

    « La vie se resserrait autour de plaisirs proportionnés à leur nécessité absolue. »

    « En bref, on se lève, on se casse et on absorbe tout ce qu’on peut . »

    ©Céline Huet-Amchin

    Note de l’éditeur (Gallimard) :

    Avec mon ami le guide de haute montagne Daniel du Lac, je suis parti de Menton au bord de la Méditerranée pour traverser les Alpes à ski, jusqu’à Trieste, en passant par l’Italie, la Suisse, l’Autriche et la Slovénie. De 2018 à 2021, à la fin de l’hiver, nous nous élevions dans la neige. Le ciel était vierge, le monde sans contours, seul l’effort décomptait les jours. Je croyais m’aventurer dans la beauté, je me diluais dans une substance. Dans le Blanc tout s’annule — espoirs et regrets. Pourquoi ai-je tant aimé errer dans la pureté ?
    S. T.