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  • « L’énigme de la chambre 622 » de Joël Dicker…

    « L’énigme de la chambre 622 » de Joël Dicker…

    Suite à une rupture amoureuse et au décès de son éditeur mentor et ami, un écrivain à succès part se reposer au Palace de Verbier dans les Alpes suisses.  La Direction l’installe dans la chambre 623, qui fait suite aux chambres 621 et 621 bis. Mais pourquoi la chambre 622 n’existe-t-elle pas ?!

    Toute l’énigme part de là, sur fond d’enjeux financiers, d’espionnage et en filigrane ce que j’avais beaucoup apprécié à l’époque de « La vérité sur l’affaire Harry Québert » : une réflexion sur l’écriture avec, en prime, une ode à la relation que peuvent entretenir un écrivain et son éditeur.

    Difficile de résister à l’histoire  qui nous tient en haleine. Vous dévorerez les 569 pages d’un trait, les fins de chapitre étant d’irrésistibles cliffhangers… 😉 

    Quoi que nous puissions penser du succès de l’auteur (mérité ou non tel n’est pas le sujet ici), pour moi Joël Dicker fait le job : personnages principaux et secondaires bien brossés, intrigue aux différentes temporalités qui tient la route, lecteur qui est baladé comme il se doit jusqu’au dénouement final.
    Il a le don de savoir efficacement nous captiver et ça, personne ne peut lui retirer. 

    Belle lecture à tous ! 

     

    ©Céline Huet-Amchin

    Note de l’éditeur (Editions de Fallois) : 

    « Une nuit de décembre, un meurtre a lieu au Palace de Verbier, dans les Alpes suisses. L’enquête de police n’aboutira jamais.

    Des années plus tard, au début de l’été 2018, lorsqu’un écrivain se rend dans ce même hôtel pour y passer des vacances, il est loin d’imaginer qu’il va se retrouver plongé dans cette affaire.

    Que s’est-il passé dans la chambre 622 du Palace de Verbier?

    Avec la précision d’un maître horloger suisse, Joël Dicker nous emmène enfin au cœur de sa ville natale au fil de ce roman diabolique et époustouflant, sur fond de triangle amoureux, jeux de pouvoir, coups bas, trahisons et jalousies, dans une Suisse pas si tranquille que ça. »

  • « Agatha Raisin » de M.C. Beaton…

    « Agatha Raisin » de M.C. Beaton…

    La quiche fatale

    Et voilà : je me suis ENFIN plongée dans un Agatha Raisin ! 
    Nous le vendons très souvent à la librairie et cela faisait longtemps que je voulais me faire mon propre avis sur ce cosy mystery tant apprécié des lecteurs du genre. 

    « La quiche fatale » est le premier des 30 tomes à succès écrits sous pseudo par la romancière écossaise Marion Chesney Gibbons. 

    Qui est Agatha Raisin ? 
    Cette quinqua, ancienne RP qui a vendu sa société londonnienne, part vivre dans son cottage acheté dans les Cotswolds (Midlands), à Carsely plus précisément.
    Elle n’aime pas cuisiner, peut vite s’emporter et lève souvent le coude… 

    Que se passe-t-il dans cette toute première enquête ? 
    Fraîchement arrivée dans le village, Agatha souhaite tout faire pour s’intégrer. A l’occasion d’un concours de la meilleure quiche, une personne meurt après avoir mangé une part de celle d’Agatha… 

    Dès les premières lignes lues, les 13 chapitres se dévorent à la vitesse de l’éclair ! 
    Ce n’est certes pas de la grande Littérature au sens strict du terme, mais nous nous attachons vite aux personnages et l’histoire est efficace. Après tout, l’essentiel n’est-il pas le plaisir que l’on prend à le lire ?
    Véritable page turner so british, vous passerez franchement un bon moment accompagné d’une tasse de thé et des ronrons de vos poilus si vous en avez. 

    Belle lecture à tous ! 

    NDLR. Si comme moi vous aimez aller « sur les traces de… », sachez que les Cotswolds existent bel et bien mais Carsely, lui, est un lieu fictif ! 😉

    ©Céline Huet-Amchin

    Livre lu dans le cadre du mois anglais 2020

    Note de l’éditeur (Albin Michel) : 

    « Sur un coup de tête, Agatha Raisin décide de quitter Londres pour goûter aux délices d’une retraite anticipée dans un paisible village des Costwolds, où elle ne tarde pas à s’ennuyer ferme. Afficher ses talents de cordon-bleu au concours de cuisine de la paroisse devrait forcément la rendre populaire. Mais à la première bouchée de sa superbe quiche, l’arbitre de la compétition s’effondre et Agatha doit révéler l’amère vérité : elle a acheté la quiche fatale chez un traiteur. Pour se disculper, une seule solution : mettre la main à la pâte et démasquer elle-même l’assassin.

    Agatha Raisin, c’est une Miss Marple d’aujourd’hui. Une quinqua qui n’a pas froid aux yeux, fume comme un pompier et boit sec. Sans scrupule, pugnace, à la fois exaspérante et attendrissante, elle vous fera mourir de rire ! »

    « L’Agatha Raisin de M.C. Beaton est un véritable trésor national. »

    The Times
  • « Rêver » de Franck Thilliez…

    « Rêver » de Franck Thilliez…

    J’ai toujours trouvé compliqué de parler d’un thriller ou d’un policier sans spoiler (règle à laquelle je m’astreins) mais alors chroniquer ce livre relève du défi ! 

    Je vais donc faire simple :

    Une psychologue et criminologue narcoleptique…
    Des rêves vs la réalité… 
    Un accident nocturne tragique… 
    Des rêves vs la réalité…
    Un kidnappeur d’enfants…
    Des rêves vs la réalité…
    Un tatouage chat… 
    Des rêves vs la réalité…
    Une peluche… 
    Des rêves vs la réalité…
    Une équipe de gendarmerie… 
    Des rêves vs la réalité…
    Un Institut médico légal… 
    Des rêves vs la réalité…
    Un code… 
    Des rêves vs la réalité…
    Un chapitre manquant…
    Des rêves vs la réalité…

    Mélangez le tout et vous obtiendrez une histoire terriblement psychologique et complètement dingue qui vous tient en haleine jusqu’au bout ! 

    Vous voulez en savoir plus ?
    Ne comptez pas sur moi et plongez-vous dans les 631 pages que vous tournerez très vite étant donné la terrible addiction que vous ressentirez à la lecture.

    A la lueur du personnage d’Abigaël j’en ai appris beaucoup sur la narcolepsie, sujet que j’ai trouvé passionnant. Cette maladie engendre une construction originale qui participe à l’intrigue et qui m’a emballée. 

    Franck Thilliez sait balader celles et ceux qui aiment essayer de retrouver le(s) coupable(s) et j’ai beaucoup apprécié. Trouver facilement a en effet le don de m’horripiler…  

    Mon seul regret ? Que les éditions Pocket n’aient pas laissé le titre tel que mentionné en grand format (éditions Fleuve noir).
    REVER…
    Regardez-bien le mot…
    Le terme « palindrome » vous parle-t-il ? 😉

    Belle lecture (attentive) à tous ! 

    NDLR. Ce livre a fait l’objet d’une lecture commune avec mes amies « speedy gonzales » Cécile (alias goodbooks_goodfriends) qui s’est bien énervée sur le fameux code (ah ah ah) et Martine (alias Plaisir à cultiver) avec qui j’ai joué au lièvre et à la tortue, sur les bons conseils de notre laonnoise adorée Manon (alias manonlitaussi). 

     

     ©Céline Huet-Amchin

    Note de l’éditeur (Pocket) : 

    « Psychologue réputée pour son expertise dans les affaires criminelles, Abigaël souffre d’une narcolepsie sévère qui lui fait confondre le rêve avec la réalité. De nombreux mystères planent autour de la jeune femme, notamment concernant l’accident qui a coûté la vie à son père et à sa fille, et dont elle est miraculeusement sortie indemne.
    L’affaire de disparition d’enfants sur laquelle elle travaille brouille ses derniers repères et fait bientôt basculer sa vie dans un cauchemar éveillé… Dans cette enquête, il y a une proie et un prédateur : elle-même. »

  • « Étés anglais » d’Elizabeth Jane Howard…

    « Étés anglais » d’Elizabeth Jane Howard…

    En 1937 Home Place, résidence secondaire du Sussex non loin de la mer, s’apprête à recevoir les trois fils accompagnés de femmes et enfants ainsi que la fille des Cazalet. Cuisinières, femmes de chambre, bonnes, chauffeurs, jardiniers, garçon d’écurie s’activent pour que tout se déroule comme il se doit, que ce soit à Londres puis à la campagne. Entre relations enfantines, conjugales, familiales et domestiques, intrigues, évolution de la société britannique et condition féminine, l’Histoire avec la menace d’une nouvelle guerre gronde… 
     
    Après « Une saison à Hydra », Elizabeth Jane Howard propose de plonger le lecteur dans une saga ! 
     
    « Downton Abbey » vous manque ? Les Cazalet (qui a fait l’objet d’une adaptation à succès sous la forme d’une série à la BBC) va vous immerger dans les boires et les déboires d’une famille anglaise sur trois générations. Tout est fait pour que nous nous attachions aux personnages (petits et grands) au point d’attendre le second tome avec beaucoup d’impatience une fois la dernière page tournée. Soyez rassurés vous n’aurez pas longtemps à patienter : ce dernier est annoncé en octobre prochain… 
     
    Succombez avec délice à « Etés anglais », confortablement installé avec le plus excellent des Earl Grey : so british!
     
    Belle lecture à tous ! 
     

    ©Céline Huet-Amchin

    Note de l’éditeur (éditions La Table Ronde collection Quai Voltaire) : 

    « Juillet 1937. À Home Place, au cœur du Sussex, jardiniers, femmes de chambre et cuisinière sont sur le pont. La Duche orchestre le ballet des domestiques avant l’arrivée de ses trois fils, Hugh, Edward et Rupert Cazalet, en chemin depuis Londres avec épouses, enfants et gouvernantes. Où dormira Clary, adolescente mal dans sa peau en plein conflit avec sa belle-mère? Quelle robe portera Villy, ancienne ballerine désormais mère au foyer? Polly, terrorisée à l’idée qu’une guerre éclate, s’entendra-t-elle avec sa cousine Louise qui rêve de devenir actrice? Rachel, la seule fille de la Duche, trouvera-t-elle un moment pour ouvrir la précieuse lettre de son amie Sid?
    Non-dits, chamailleries, profonds chagrins… Aux préoccupations des adultes font écho les inquiétudes des enfants, et à la résilience des femmes, qu’elles soient épouses, fillettes ou domestiques, répond la toute-puissance – ou l’impuissance – des hommes. L’été regorge d’incertitudes mais, sans l’ombre d’un doute, une nouvelle guerre approche : entre pique-niques sur la plage et soirées auprès du gramophone, il faudra inventorier lits de camp et masques à gaz. »

  • « Dans la tête d’un chat  » de Jessica Serra…

    « Dans la tête d’un chat  » de Jessica Serra…

    Dans le cadre de mes activités félines et de mes lectures (je suis comportementaliste félin, cat sitter professionnelle et libraire pour rappel 😉 ), je vous recommande vivement le livre de Jessica Serra « Dans la tête d’un chat » dont je vous parle sur mon site professionnel Mon chat ronronne

    Belle lecture à tous ! 

    ©Céline Huet-Amchin

    Note de l’éditeur (HumenSciences) : 

    « Que se passe-t-il dans la tête de votre chat ? Comment perçoit-il le monde ? Quel est son degré d’intelligence ? D’ailleurs est-il plus intelligent qu’un chien ? Quelles émotions ressent-il ? Est-il doué de conscience ? A-t-il une morale ?

    Les progrès en éthologie ont révolutionné notre regard sur l’animal. En nous projetant pour la première fois dans la façon de penser et de ressentir du chat, ce livre nous offre une meilleure compréhension de notre félin préféré.

    Nourri des dernières avancées scientifiques, il nous éclaire sur la manière dont notre compagnon apprend, perçoit le temps ou noue des liens avec l’humain. Il nous dévoile ses facultés insoupçonnées : le chat maîtrise une certaine forme de mathématiques, apprécie la musique (mais pas n’importe laquelle), possède des talents de thérapeute…

    Enfin, il nous apprend à décrypter son langage corporel et à mieux communiquer avec lui. « 

  • « L’homme qui aimait les livres » d’Allison Hoover Bartlett…

    « L’homme qui aimait les livres » d’Allison Hoover Bartlett…

    John Charles Gilkey vous dit-il quelque chose ? 
    Ken Sanders peut-être ?

    Le premier est un voleur de livres rares (donc coûteux).
    Il a à ses trousses le deuxième, libraire qui veut tout entreprendre pour qu’il soit arrêté et qui s’improvise de fait détective.
    Ça vous tente ? 

    Ce pourrait être seulement des personnages de fiction.
    Allison Hoover Bartlett, journaliste, va se documenter (beaucoup) et enquêter sur ces deux personnages hors normes… qui existent ! 

    Le lecteur se voit proposer un livre passionnant qui n’est ni un vrai polar, ni une vraie biographie, ni un vrai essai… mais un mélange d’un peu tout ça.
    Il dissèque les thèmes de l’obsession, de la mystification, de la passion et va vous donner assurément envie de relire certains auteurs américains dépoussiérés (et parfois d’autres nationalités). 

    Un seul mot : jubilatoire ! 

    Et vous, de quoi seriez-vous capables pour vous procurer les livres que vous souhaitez en cette période de confinement où les librairies indépendantes sont fermées ? 😉

    Belle lecture à tous ! 

    ©Céline Huet-Amchin

    Note de l’éditeur (Pocket) : 

    « Un voleur de livres rares, un libraire obstiné, l’histoire d’une traque haletante entre deux amoureux du livre.

    Jusqu’où iriez-vous pour mettre la main sur le livre de vos rêves ? Mieux encore, jusqu’où iriez-vous pour avoir une bibliothèque remplie de vos livres préférés ?
    L’Américain John Gilkey a dérobé pour 200 000 dollars de livres anciens. Son but, réunir une collection à son image. C’était compter sans la ténacité de Ken Sanders, libraire irascible, qui s’improvise détective et mène l’enquête.
    À travers le récit de cette traque, l’auteur nous plonge dans l’univers fascinant du livre ancien en se posant toujours cette question : de quoi serions-nous capables par amour des livres ? »

  • « Cinq méditations sur la beauté » de François Cheng…

    « Cinq méditations sur la beauté » de François Cheng…

    Vous êtes atteints d’une envie irrésistible de lire depuis le début du confinement et vous n’y arrivez pas ?
    François Cheng est sans aucun doute un des meilleurs remèdes littéraires que je connaisse…

    Avec sa poésie, sa double culture, ses mots sans fard, l’écrivain dissèque toute cette beauté qui se trouve bien souvent à côté de nous sans que nous nous en rendions forcément compte. 

    Il vous propose cinq petites méditations, cinq petites réflexions si vous préférez qui (ré)enchanteront votre quotidien.
    Lisez-les à votre guise, au grè de vos envies. Je vous promets que vous oublierez l’espace d’un instant tout le négatif qui vous entoure…
    Un paquet de pâtes et un de PQ si cela n’a pas fonctionné.

    Belle lecture à tous ! 

    ©Céline Huet-Amchin

    Note de l’éditeur (Le Livre de Poche) : 

    « L’auteur livre ses réflexions sur la beauté et les questions existentielles ainsi que ses considérations littéraires, esthétiques, poétiques, philosophiques et spirituelles. L’occasion de faire revisiter les moments phares de la culture de l’Orient et de l’Occident. »

  • « Pimp my breakfast » de Lili Barbery-Coulon…

    « Pimp my breakfast » de Lili Barbery-Coulon…

    Ma chère collègue Camille à la librairie m’a fait découvrir « La réconciliation » que j’ai lu il y a peu et que j’ai beaucoup aimé (je vous en parle prochainement). 
    Du coup je n’ai pas résisté à commander « Pimp my breakfast » avant le confinement et à me plonger dedans avec délice : bien m’en a pris ! 😇

    Et si nous profitions d’être chez nous pour prendre le temps de faire plaisir à nos yeux et à nos papilles pour apprécier le moment présent et ce dès le réveil ? 

    Avec ce nouveau livre inspirant qui comporte trois parties, Lili Barbery-Coulon nous propose de rendre beaucoup plus fun le premier repas de la journée, celui qu’elle préfère : le petit déjeuner ! 
    Qu’il soit salé, sucré, vegan ou non en fonction de nos goûts, les recettes sont faciles à réaliser (youpiiiiii). 

    Nous voici donc parés d’excellentes idées d’embellissements matinaux dans nos assiettes pendant cette période si particulière que nous traversons tous.
    Cela étant dit, ne pas oublier ce que nous pouvons lire entre les lignes : une philosophie à faire perdurer après nos retrouvailles dans une vie un peu plus « normale » et sans doute bien mieux réfléchie…  

    Comme vous le savez les librairies sont fermées.
    Je vous offre donc avec plaisir une des recettes du livre (que vous pourrez agrémenter à votre sauce en fonction de ce que vous trouverez dans votre magasin d’alimentation) afin d’éviter toute frustration ! 

    PRENEZ BIEN SOIN DE VOUS et belles recettes et dégustations à tous ! 

    ©Céline Huet-Amchin

    Note de l’éditeur (Marabout) : 

    « L’éloge du petit-déjeuner ! Lili explique pourquoi cette obsession du petit-déjeuner ! De quoi elle se nourrit et surtout ce que cela lui a permis de découvrir: la pleine conscience, la méditation, la perte de poids etc… Elle y explique ses choix nutritionnels, la variété indispensable au quotidien, pourquoi les recettes sont gluten full ou gluten free, son côté fléxitarienne mais plutôt en quête de moins de calories quand c’est possible (pas beaucoup de sucre dans les recettes…), les vertus des super aliments qu’elle ajoute… Y compris quelques conseils de stylisme, l’attention qu’il faut porter aux fleurs, à la céramique… Les recettes : le coeur du livre avec une cinquantaine de recettes, avec une alternance de photo/page de texte et des doubles d’ambiance, d’ingrédients en gros plan, de gestes… »

  • « Le petit garçon qui voulait être Mary Poppins » d’Alejandro Palomas…

    « Le petit garçon qui voulait être Mary Poppins » d’Alejandro Palomas…

    « Quand je serai grand, je veux être… »
    Quant à la faveur d’un devoir à l’école Guillermo répond « Mary Poppins » l’institutrice commence à s’affoler ! La sensibilité du jeune garçon se heurte dès lors au monde des adultes. Mais pourquoi donc a-t-il répondu ça ?! L’enfant qui vit seul avec son père est vite envoyé chez la psychologue scolaire…

    Les personnages terriblement attachants vous cueillent dès la première page. Si nous devinons très vite ce qu’il s’est passé au sein du cocon familial cela n’enlève en rien la beauté qui se dégage des lignes.

    Alejandro Palomas a le don de parler dans ce roman de choses tristes de manière pudique, poétique et d’une justesse folle !

    Une couverture à tomber doublée d’une magnifique histoire que vous ne serez pas prêts d’oublier. 

    Belle lecture à tous ! 

    ©Céline Huet-Amchin

    Note de l’éditeur (Cherche Midi) : 

    « C’est l’histoire de Guille… C’est l’histoire d’un petit garçon débordant d’imagination qui voue un amour sans bornes à Mary Poppins. L’histoire d’un père un peu bougon, qui vit seul avec ce fils sensible et rêveur dont il a du mal à accepter le caractère. D’une institutrice qui s’inquiète confusément pour l’un de ses élèves qui vit un peu trop dans ses rêves. D’une psychologue scolaire à qui on envoie un petit garçon qui a l’air d’aller beaucoup trop bien. Quel mystère se cache derrière cette apparence si tranquille, et pourtant si fragile ?

    Un roman choral aussi tendre que bouleversant, qui emprunte à l’enfance toute sa sincérité désarmante pour dire l’amour, le vide, le rêve et la puissance de l’imaginaire.
    Après Une mère et Tout sur mon chien, Alejandro Palomas nous surprend encore avec cette histoire qui peut faire penser à Extrêmement fort et incroyablement près de Jonathan Safran Foer, tant elle est hors norme. »