Note de l’éditeur :
Cinq histoires dont le point commun est une odeur de figuier sauvage, une senteur d’été, d’enfance, de nostalgie, un parfum de délicieuse mélancolie, comme une chanson qui ramènerait à une époque oubliée. Et cette odeur, suspendue sur la vie des personnages, est là pour leur rappeler que la joie est admissible et recevable, qu’elle est tout près, qu’il faut la respirer, y croire, la laisser planer et s’en envelopper.
« La plus française des italiennes » est loin de m’avoir convaincu, excepté dans sa maîtrise des descriptions…
Editions Le Livre de Poche