470 pages d’une saga familiale en Cornouailles dont un secret tiendra les lecteurs en haleine jusqu’à la dernière page, un souffle romanesque rythmé par une double temporalité, des personnages attachants…
Une histoire à la fois intrigante, intense, envoûtante et émouvante…
Voici ce que nous offre l’écrivain Sarah Vaughan dans son deuxième roman que j’ai littéralement dévoré et qui ponctue Le mois anglais même si j’écris cette brève ce lundi 1er juillet.
N’hésitez pas un instant à vous plonger dedans.
Vous aurez du mal à résister à Maggie, Will, Alice, Lucy…
Belle lecture à tous !
Note de l’éditeur (Le livre de poche) :
« Cornouailles, une ferme isolée au sommet d’une falaise. Battus par les vents de la lande et les embruns, ses murs abritent depuis trois générations une famille… et ses secrets.1939. Will et Alice trouvent refuge auprès de Maggie, la fille du fermier. Ils vivent une enfance protégée des ravages de la guerre. Jusqu’à cet été 1943 qui bouleverse leur destin. Été 2014. La jeune Lucy, trompée par son mari, rejoint la ferme de sa grand-mère Maggie. Mais rien ne l’a préparée à ce qu’elle y découvrira. Deux étés, séparés par un drame inavouable. Peut-on tout réparer soixante-dix ans plus tard ?
Après le succès de La Meilleure d’entre nous, Sarah Vaughan revient avec un roman vibrant.
Destinées prises dans les tourments de la Seconde Guerre mondiale, enfant disparu, paysages envoûtants de la Cornouailles, La Ferme du bout du monde a tout pour séduire les lecteurs de L’Île des oubliés, d’Une vie entre deux océans et de La Mémoire des embruns. »
Sarah Vaughan est également l’auteur d’ « Anatomie d’un scandale » dont je vous ai parlé en janvier dernier.