Catégorie : Lectures

  • « Le quartier des petits secrets » de Sophie Horvath…

    « Le quartier des petits secrets » de Sophie Horvath…

    « Les mauvaises herbes aussi sont des fleurs,
    quand on apprend à les connaître. »
    (Winnie l’Ourson)

    Je vous avais parlé de Sophie Horvath après la lecture de son livre auto-édité « À l’ombre du grand marronnier ». 

    Avec ce premier roman paru aux Editions Flammarion, « Le quartier des petits secrets » affirme son talent de conteuse.

    Une galerie de portraits irrésistibles : une fleuriste qui aurait dû embrasser la magistrature, une vieille dame qui prend la boutique de fleurs pour son jardin, un aide soignant surnommé « Monsieur Propre », une patronne de café « qui virevolte entre les tables du Marronnier’ (joli clin d’oeil au passage) et son fils, un assureur,  une « inspectrice » avec un parapluie, un libraire mystérieux, un chat qui pue… 

    C’est un livre très bien construit, joliment écrit et les personnages se révèlent dès les toutes premières pages terriblement attachants.  

    Commencé dans un train, je l’ai terminé sur notre canapé accompagnée d’un bon Earl Grey et de nos deux poilus.

    Sophie a le don de créer une atmosphère, de s’appuyer sur un humour qui ne sont pas sans rappeler un certain style anglo-saxon que j’affectionne tout particulièrement.

    Vivement le prochain… 

    La quatrième de couverture en révélant suffisamment à mon goût et mon but depuis toujours étant de ne jamais spoiler un livre, plongez-vous donc dans ce roman.
    Vous passerez un délicieux moment !

    « La quartier des petits secrets », on aurait bien envie d’y habiter… 

    ©Céline Huet-Amchin

    Note de l’éditeur (Flammarion) : 

    « Clémentine est fleuriste à Bordeaux, dans un quartier en retrait de l’effervescence urbaine. Sa plus proche amie, Nicole, tient le café sur la place et, ensemble, elles s’amusent à observer les habitudes de chacun. De cet homme qui commande exactement les mêmes bouquets chaque semaine. De ce bouquiniste qui ne sort jamais. De « L’Inspectrice » qui passe en faisant claquer son parapluie…
    Et puis il y a Viviane, bien sûr, qui s’échappe régulièrement de sa maison de repos pour venir passer un moment dans son jardin imaginaire – la boutique de Clémentine – où elle coupe, tranche, éventre… Viviane est adorable mais ses pertes de repères ne favorisent pas le commerce.
    Pourtant, lorsque cette dernière ne se présente plus, Clémentine s’inquiète.
    Une mauvaise chute empêche la charmante massacreuse de venir ratiboiser ses bouquets. Malgré sa faiblesse, elle trouve la force de dessiner une fleur étrange… que Clémentine ne parvient pas à identifier.
    Quelle est donc cette variété qui semble tellement importante pour la dame âgée ?
    Il n’en faut pas plus pour que Clémentine commence son enquête. »

  • « Une folie passagère » de Nicolas Robin…

    « Une folie passagère » de Nicolas Robin…

    Savoir aussi bien se glisser dans la peau d’une femme relève du génie ! 

    Lu d’un trait en vol entre la Thaïlande et l’Inde, ce livre m’a permis d’oublier que j’étais dans un avion, ce qui est un comble étant donné l’histoire que je ne souhaite pas dévoiler (je vous rappelle que je ne fais pas partie des personnes qui spoilent les livres). 

    C’est le premier roman de Nicolas Robin que je lis mais je vais combler très rapidement mon retard en la matière.

    Sous la plume de l’écrivain je ressens un vrai conteur d’histoire, un baume réjouissant pour le coeur et les failles humaines. 

    Ce livre, tragico-comédie romantique, emprunt d’une fausse simplicité m’a extrêmement touchée. 

    Belle lecture à tous !

    ©Céline Huet-Amchin

    Note de l’éditeur (Anne Carrière) : 

    « Bérengère s’évertue à être une parfaite hôtesse de l’air. Elle a quarante ans, vingt ans de métier, douze mille heures de vols au compteur, une robe turquoise sans faux plis et un impeccable chignon banane. Elle fait du ciel le plus bel endroit de la terre car, ici-bas, on l’abandonne : ni mari ni enfants, quelques amants de passage sans considération pour elle. Alors, elle cache ses blessures sous son uniforme et rien ne semble pouvoir altérer son désir de maîtrise et de perfection. Jusqu’au jour où une série de contretemps vient dérégler cette mécanique bien huilée. Jusqu’au jour où, poussée à bout, elle en vient à commettre l’irréparable.
    D’une plume alerte et fantaisiste, Nicolas Robin nous embarque au septième ciel, dans une intrigue haute en couleur. Une comédie douce-amère, hommage à toutes les femmes qui enverraient bien valser les normes sociales pour trouver leur liberté. »

  • « Ainsi soit Rose » de Nicky Depasse…

    « Ainsi soit Rose » de Nicky Depasse…

    Dans un monde rêvé, idéal, nul doute que Nicky Depasse aurait une place de choix : le merveilleux, la poésie, la magie, la Littérature…
    Voici une personne qui habite joliment le monde et qui sait le distiller !

    Sa plume, ce sont des p’tites paillettes à préserver. Précieusement.

    Je n’ai pas été surprise par le contenu qui lui ressemble (je dis cela malgré le fait que je la connaisse uniquement via les réseaux sociaux).

    Elle convie pour mon plus grand bonheur des auteurs qui lui sont chers et que nous avons en commun dans nos bibliothèques : Lewis Carroll, Shakespeare, Jane Austen… 

    Dans cette nouvelle, genre que j’apprécie particulièrement, l’amitié naissante entre une petite fille et une vieille dame n’aura pas eu le temps de grandir comme je l’aurais souhaité en tant que lectrice. Mais le reste est là, plein de promesses à venir…

    J’étais tellement bien dans ses mots et cette atmosphère romanesque à souhait qu’il me tarde de lire un texte plus long de cette femme profondément attachante, journaliste littéraire et cinéma de son état, désormais écrivain.

    ©Céline Huet-Amchin

    Note de l’éditeur (Lamiroy) : 

    « Abandonnée par sa mère dans une pension religieuse stricte sans aucun réconfort, Rose est une petite fille perdue entre la réalité et l’imaginaire. Mais au cours de deux étés passés chez une vieille dame sévère et distante, Rose va ouvrir les portes de l’inconnu : le monde merveilleux de la littérature. »

  • « La première fois que Bérénice vit Aurélien, elle le trouva franchement con » de Sarah Sauquet…

    « La première fois que Bérénice vit Aurélien, elle le trouva franchement con » de Sarah Sauquet…

    Le titre est à lui seul tout un poème : aussi drôle qu’original et surtout suffisamment couillu audacieux pour attirer la lectrice que je suis. 😉

    Sarah Sauquet…
    Je la découvre à l’envers. Mais le principal est de ne pas passer à côté !
    Après son dernier né paru dont je vous avais parlé « Un prénom d’héroïne et de héros » – « Un prénom de héros et d’héroïne » , j’avais emporté ce livre pour contrer ma peur panique en avion lors de notre dernier voyage en Asie du Sud-Est. Et cela a parfaitement fonctionné !

    L’écrivain a vraiment le chic pour infiltrer, distiller les Classiques là où on ne les attend pas du tout.

    Ce « coaching littéraire pour séduire en 7 étapes » où l’on croise Marcel Proust, Molière, Maupassant, Chaderlos de Laclos, Victor Hugo, Racine, Emily Brontë, Flaubert et bien d’autres nous donne non seulement envie de nous replonger une nouvelle fois dans leurs oeuvres mais encore permet d’aborder un sujet considéré comme léger d’une façon intelligente.
    Ne pas avoir compris cela à la lecture c’est être passé complètement à côté du livre selon moi.

    Justesse des propos, humour…
    Avec Sarah, auteure créative, la Littérature connaît un souffle inédit : les Classiques connaissent une seconde vie sans jamais perdre leur essence. Ils n’ont jamais été aussi modernes et faciles d’accès.

    J’en redemande !

    ©Céline Huet-Amchin

    Note de l’éditeur (Eyrolles) :

    « Rencontrer, séduire et garder l’ame-soeur
    Véritable outil d’autocoaching, ce guide positif en 7 étapes vous propose de vous appuyer sur les cas de la littérature pour vous épanouir dans votre vie amoureuse. Vous y découvrirez comment faire les bons choix dans Les Misérables, vous comprendrez l’importance de déclarer sa flamme dans Orgueil et Préjugés, et vous cesserez de vouloir reconquérir votre ex après avoir relu Gatsby le Magnifique !
    Plus encore, vous constaterez que les classiques de la littérature n’ont jamais été aussi modernes et que, s’ils l’avaient pu, d’Artagnan, Bel-Ami ou Manon Lescaut n’auraient probablement pas hésité à se connecter avec leur smartphone et à envoyer des textos enflammés… Du site de rencontres au relooking, en passant par les réseaux sociaux et la téléréalité, aucune des questions contemporaines n’est occultée.
    Une appli dédiée offerte : 21 textes supplémentaires »


  • « Tout n’est pas perdu » de Wendy Walker…

    « Tout n’est pas perdu » de Wendy Walker…

    Si l’idée d’être dans la tête d’un thérapeute a pu me plaire de prime abord, mon intérêt est malheureusement retombé comme un soufflet.

    J’avoue en effet m’être arrêtée aux alentours de la page 120 : trop de redondances, pas suffisamment profond psychologiquement parlant sur le fond (le coeur du sujet pourtant) et surtout coupable déjà trouvé ! (suspicion vérifiée et contrôlée en lisant les dernières pages – oui je sais, ce n’est pas bien – ). 

    J’ai appris à m’octroyer le droit d’abandonner un livre au profit d’un autre étant donné la taille de ma PAL.

    Il trouvera certainement ses lecteurs…

    Note de l’éditeur (Pocket) :

    « Alan Forrester est thérapeute dans la petite ville cossue de Fairview, Connecticut. Un jour, il reçoit en consultation une jeune fille, Jenny Kramer, qui présente des troubles inquiétants. Celle-ci a reçu un traitement post-traumatique afin d’effacer le souvenir d’une abominable agression dont elle a été victime quelques mois plus tôt. Mais si son esprit l’a oubliée, sa mémoire émotionnelle est bel et bien marquée.
    Bientôt tous les acteurs de ce drame se succèdent dans le cabinet d’Alan, confiant leurs pensées les plus intimes, laissant tomber le masque, et faisant apparaître les fissures et les secrets de la ville en apparence si tranquille… »

  • « I am I am I am » de Maggie O’Farrell…

    « I am I am I am » de Maggie O’Farrell…

    Je vous le révèle d’emblée : ce livre a été un vrai bonheur de lecture !

    La traduction de Sarah Tardy est une pure merveille, et cela a  contribué à mon plaisir sans aucun doute.

    Maggie O’Farrell n’en est pas à sa première publication, mais pour ma part je ne l’avais jamais lue.
    Je rattraperai assurément mon « retard » en la matière.

    Nous avons affaire ici à une autobiographie dont la construction est follement originale et peu conventionnelle.
    Elle est volontairement éclatée, que ce soit dans le temps et dans les illustrations qui figurent avant chaque chapitre.

    « Dix-sept rencontres avec la mort »

    Nous avons tous frôlé à un moment ou à un autre la mort, de manière très différente.
    C’est ce que nous propose l’écrivain : elle évoque en effet des souvenirs sur le fil du rasoir, diverses façons d’avoir échappé au pire.

    Ces pages forcent le respect et incitent le lecteur à VIVRE de la façon la plus complète, la plus entière possible.
    Malgré tout le tragique qui s’en dégage, c’est une ode viscérale à la vie, à l’inattendu.

    « I am I am I am » ce sont des émotions, des sensations, des réflexions à nulles autres pareilles.
    J’ai ressenti ces lignes, au sens strict du terme. Un peu à l’image du « Parfum » de Patrick Süskind lu il y a fort longtemps, bien que très différent : olfactivement concernant ce dernier, corporellement celui-ci.

    C’est un livre à part, qui aura une place de choix dans mes bibliothèques.

    Belle lecture à tous !

    J’ai eu l’occasion de rencontrer l’auteur en petit comité grâce au Picabo River Book Club (Léa) et Belfond.
    Un grand merci renouvelé à eux !

    Note de l’éditeur (Belfond) :

    « Après le succès d’Assez de bleu dans le ciel, Maggie O’Farrell revient avec un nouveau tour de force littéraire. Poétique, subtile, intense, une œuvre à part qui nous parle tout à la fois de féminisme, de maternité, de violence, de peur et d’amour, portée par une construction vertigineuse. Une romancière à l’apogée de son talent.
    Il y a ce cou, qui a manqué être étranglé par un violeur en Écosse.
    Il y a ces poumons, qui ont cessé leur œuvre quelques instants dans l’eau glacée.
    Il y a ce ventre, meurtri par les traumatismes de l’accouchement…
    Dix-sept instants.
    Dix-sept petites morts.
    Dix-sept résurrections.Je suis, je suis, je suis.
    I am, I am, I am. »
  • « Amour propre » de Sylvie Le Bihan…

    « Amour propre » de Sylvie Le Bihan…

    J’avoue avoir craint que le thème du livre ne soit pas du tout pour moi.
    Les enfants. Tout un poème… A l’évocation de ce mot, j’aurais plutôt tendance à fuir.
    J’ai fait le choix, complètement assumé, de ne pas en avoir. Cela ne m’a jamais posé de problème. Même si la vie du coup m’a éloignée inexorablement d’ami(e)s qui n’ont pas compris. Les moules ne sont pas faits pour moi.  Liberté chérie : ça et seulement ça je l’ai respecté à la lettre.Tout le monde n’est pas capable d’appréhender une telle prise de position, cette décision d’une vie souvent injustement interprétée comme de l’égoïsme alors qu’il n’en est rien.

    Cela étant dit, c’était sans compter sur Sylvie parce qu’aux siens, elle en a des choses à dire…

    Par un tour de force dont elle seule a le secret, l’écrivain aborde en effet un sujet tabou dans une atmosphère de liberté et de solitude malapartienne propice à la réflexion : la maternité donc, mais dans ce qu’elle a de moins lisse, dans toutes les complexités qu’elle peut engendrer (contraintes, doutes…) face à ses propres désirs et à la norme sociale imposée.

    Dans les pas d’une mère absente, disséquer le douloureux regret d’avoir eu des enfants (profondément aimés malgré tout) n’est pas chose aisée.
    Il faut d’abord l’accepter soi-même et puis (surtout ?) le faire comprendre aux autres.

    Et si par le truchement de toutes les questions posées elle pouvait trouver les réponses à sa propre quête identitaire ?

    Avec ce quatrième roman, Sylvie Le Bihan continue d’explorer ses combats intérieurs de femme de manière franche et directe qui ne peuvent que toucher le coeur.

    Le livre parait aujourd’hui.
    Belle lecture à tous !

    « Je suis là pour oublier la mère et renouer avec la femme »

    « Juger c’est nier l’intime »

    « Regretter ce n’est pas rejeter, c’est simplement penser au « si » « 

    « Il arrive, parfois, qu’on touche à ses rêves, qu’on se retrouve enfin, après un long chemin, à l’endroit qui nous a toujours semblé être le point, de départ ou final, de notre histoire »

    Note de l’éditeur (JC Lattès) :

    « Giulia n’a hérité de sa mère que son prénom, italien comme elle, et son amour pour Malaparte. Elle a grandi seule avec son père et avec les livres du grand écrivain. Elle est devenue mère, elle est devenue professeure d’université, spécialiste de Malaparte. Ses enfants ont grandi, ils ont encore besoin d’elle,  mais c’est elle qui a besoin de vivre sans eux maintenant  : elle ne fuit pas comme sa mère a fui dès sa naissance, elle fuit pour comprendre ce qu’elle a hérité de cette absente, ce qu’elle a légué, elle, mère si présente, à  ses enfants.
    Elle répond à l’invitation d’un ami universitaire et part seule à la Villa Malaparte à Capri pour écrire un livre. L’œuvre du grand écrivain, ce qu’elle lit, découvre de l’auteur dans cette maison mythique, sa solitude, le silence de la maison où sont passés tant d’hommes et de femmes qu’elle admire, tout cela sert sa quête  : quelle mère a-t-elle été, quelle éducation a-t-elle reçu et a-t-elle donné  ? Et une question plus grave et plus essentielle  peut-être  : a-t-elle aimé ses enfants  ? Les aiment-elles tout en regrettant la vie qu’elle aurait pu avoir sans eux  ? Etait-elle faite pour être mère ou est-elle faite comme sa mère pour la liberté, l’absence de responsabilités ? »

  • « Les grands espaces » de Catherine Meurisse…

    « Les grands espaces » de Catherine Meurisse…

    Plonger dans ce livre, c’est avoir rendez-vous avec les doux souvenirs d’enfance de l’auteur.

    Campagne, vieilles pierres, odeurs, apprentissages en tout genre, liberté, nature… le tout parsemé d’une bonne dose de graines littéraires finement choisies.

    Au-delà de l’authenticité cultivée et de la poésie, cet album est également un plaidoyer sur tout ce qui ne convient pas à ce jour.

    Que ce soit le graphisme ou le texte, c’est très réussi.
    J’ai vraiment BEAUCOUP aimé.

    N’oubliez jamais d’ouvrir, quel que soit votre âge, la porte imaginaire dont vous avez la clef depuis la nuit des temps.

    Belle lecture à tous !

    Note de l’éditeur (Dargaud) :

    « Catherine Meurisse a grandi à la campagne, entourée de pierres, d’arbres, et avec un chantier sous les yeux : celui de la ferme que ses parents rénovent, afin d’y habiter en famille. Une grande et vieille maison qui se transforme, des arbres à planter, un jardin à imaginer, la nature à observer : ainsi naît le goût de la création et germent les prémices d’un futur métier : dessinatrice. Avec humour et tendresse, l’auteure raconte le paradis de l’enfance, que la nature, l’art et la littérature, ses alliés de toujours, peuvent aider à conserver autant qu’à dépasser. Les Grands Espaces raconte le lieu d’une enfance et l’imaginaire qui s’y déploie, en toute liberté. »

  • « Parfaite » de Caroline Kepnes…

    « Parfaite » de Caroline Kepnes…

    Ou comment se retrouver dans la tête d’un psychopathe…

    La lecture est addictive et en même temps très vite inconfortable. 

    Je vous explique pourquoi...

    L’emploi du « je » et du « tu » fait que nous avons l’impression d’être à la fois le libraire fou, le chasseur donc, et le chassé en tant que lecteur lorsqu’il parle de Beck.
    Non non non… je ne suis pas cinglée !
    C’est une double impression très étrange mais bigrement efficace.

    Après avoir refermé le livre, retrouvé toute votre tête et récupéré une activité normale, réfléchissez à ce que vous laissez comme empreinte (parfois indélébile) sur les réseaux sociaux.
    Des fois que Joe passerait par là…

    Perso,  le côté fan, groupie, obsessionnel de quelqu’un me fait flipper !
    C’est bien pour cela que je me suis éloignée de certaines micro-communautés à l’intérieur d’autres…
    CQFD si cela était encore nécessaire.

    Je n’ai pas encore eu l’occasion de voir la série « You » tirée du livre mais j’y songe.

    Belle lecture à tous !

    Note de l’éditeur (Pocket) :

    « Je sais tout de toi.
    Tu es parfaite.
    Je t’aimerai
    à la vie
    à la mort.
    Tu es à moi
    pour toujours. »