Anne quitte l’Île du Prince Edouard pour rentrer à l’Université en compagnie de Priscilla, Charlie et Gilbert. Là-bas elle va nouer de nouvelles amitiés, voire plus…
Ce troisième tome nous plonge de nouveau avec délice dans l’atmosphère tant appréciée des deux premiers.
Partir de Green Gables, lieu si cher à son coeur, pour s’exiler dans une ville inconnue le temps d’études supérieures souhaitées. Anne va devoir faire face à des choix qui auront forcément un impact sur son destin de femme.
Une lecture toujours aussi réjouissante ! Voir grandir et surtout mûrir Anne se révèle fort intéressant. Vivement le prochain opus !
Note de l’éditeur (Monsieur Toussaint Louverture) :
« Après Anne de Green Gables et Anne d’Avonlea, voici le troisième volume des aventures d’Anne Shirley, accompagné d’un journal inédit ! Nouvelle traduction du livre précédemment publié sous le titre Anne quitte son île. »
« Je n’ose ni parler ni bouger de peur que toute cette merveilleuse beauté s’évanouisse comme un silence brisé. » — Anne de Redmond
Vingt cinq ans après sa toute première enquête, Jessica Fletcher est de nouveau sur le pont pour résoudre le meurtre d’une jeune femme dont le lien de parenté fait resurgir un certain passé.
Grady, Amos Tupper, Mortimer Metzger, Seth Hazlitt, Cabot Cove… Tous ces noms vous disent-ils quelque chose ? Si oui c’est vous étiez donc fans de la série Arabesque (Murder, she wrote) et ce livre est obligatoirement pour vous ! Vous allez en effet adorer retrouver tous ces personnages mythiques et vous vous rendrez compte ô combien ils vous manquaient et que cela fait un bien fou !
Installez-vous confortablement. Ce cosy mystery se dévore d’un seul coup et je vous challenge: tentez de résoudre le crime avant Jessica !
« Auteure de romans policiers à succès, Jessica Fletcher se trouve toujours au mauvais endroit au mauvais moment : là où elle passe, il y a toujours quelqu’un qui trépasse ! Un jour, elle donne une interview à une jeune journaliste et le lendemain, celle-ci est retrouvée morte, une balle dans la tête.
Il ne faut pas longtemps à Jessica pour découvrir que la jeune femme était la fille de la victime du premier meurtre sur lequel elle avait enquêté, vingt-cinq ans plus tôt. La première fois que le crime s’était invité dans sa vie !
Rattrapée par son passé, Jessica prend les choses en main, car elle en est certaine : le meurtrier va encore frapper. Heureusement, la détective amateur a non seulement une plume acérée, mais aussi l’esprit affûté et plus d’un tour dans son sac pour démasquer le coupable… »
Bienvenue à Highmoor, superbe manoir sur lequel soufflent les embruns. Les filles du Duc Thaumas semblent confrontées à un funeste sort : elles meurent les unes après les autres… Est-ce vraiment dû à la malédiction comme semble le marteler la rumeur ou autre chose ? Qui est derrière tous ces meurtres ?
Au-delà de cette histoire qui joue avec nos nerfs, Erin A.Craig campe une atmosphère incroyable. Entre rêve et réalité le lecteur est plongé dans une histoire terriblement addictive et a hâte de comprendre le pourquoi du comment. Les suppositions vont bon train tout au long des pages tournées.
Roman jeunesse ? Thriller ? Roman fantastique ? « La malédiction de Highmoor » est un peu aux confins de tout cela. Si vous aimez l’air iodé, les lieux et les personnages énigmatiques, laissez-vous envoûter !
« Au manoir de Highmoor, isolé au milieu d’un vaste océan, le duc Thaumas a déjà perdu quatre de ses filles dans de dramatiques circonstances : noyade, chute, maladie… L’une d’elles, Annaleigh, refuse de croire à la folle rumeur selon laquelle elles seraient toutes maudites. En enquêtant sur le tragique accident de sa sœur Eulalie, Annaleigh découvre un passage caché dans la falaise. Une porte mystérieuse ouvre sur un royaume qui fait oublier tous leurs soucis aux jeunes duchesses. Noyées dans la joie et les fêtes, elles dansent jusqu’à l’aube, comme envoutées. Seule Annaleigh réussit à s’arracher à ces bals hypnotiques, déterminée à comprendre la puissante malédiction de Highmoor, au risque comme ses sœurs d’y perdre la vie…
Librement inspiré du conte des frères Grimm Le Bal des douze princesses, ce roman de fantasy aux accents horrifiques rappelle les films de Guillermo del Toro et l’atmosphère vénéneuse de Rebecca de Daphné du Maurier. »
Tout part d’une carte postale anonyme reçue glissée au beau milieu des traditionnels voeux en janvier 2003. Elle n’est pas récente. Au recto, l’Opéra Garnier. Au verso, quatre prénoms : Ephraïm, Emma, Noémie et Jacques. Quatre prénoms connus, gravés à jamais dans l’histoire familiale et dont les échos reviennent de terribles profondeurs. Ils vont chambouler le présent. La mère d’Anne, la narratrice, lui raconte une histoire : la sienne, la leur…
Anne Berest nous plonge une nouvelle fois avec toute la justesse qui la caractérise au coeur de ses liens de parenté par le biais d’une enquête incroyable qui aboutit à ce livre. L’immersion dans la seconde guerre mondiale permet des années plus tard de continuer de s’interroger sur la judéité et l’antisémitisme.
L’Histoire dans une histoire. Nous retrouvons ici des thèmes certes maintes fois abordés en littérature mais qui sont toujours aussi nécessaires parce que trop souvent (tristement) d’actualité. Passionnant.
« C’était en janvier 2003. Dans notre boîte aux lettres, au milieu des traditionnelles cartes de voeux, se trouvait une carte postale étrange. Elle n’était pas signée, l’auteur avait voulu rester anonyme. L’Opéra Garnier d’un côté, et de l’autre, les prénoms des grands-parents de ma mère, de sa tante et son oncle, morts à Auschwitz en 1942. Vingt ans plus tard, j’ai décidé de savoir qui nous avait envoyé cette carte postale. J’ai mené l’enquête, avec l’aide de ma mère. En explorant toutes les hypothèses qui s’ouvraient à moi. Avec l’aide d’un détective privé, d’un criminologue, j’ai interrogé les habitants du village où ma famille a été arrêtée, j’ai remué ciel et terre. Et j’y suis arrivée. Cette enquête m’a menée cent ans en arrière. J’ai retracé le destin romanesque des Rabinovitch, leur fuite de Russie, leur voyage en Lettonie puis en Palestine. Et enfin, leur arrivée à Paris, avec la guerre et son désastre. J’ai essayé de comprendre comment ma grand-mère Myriam fut la seule qui échappa à la déportation. Et éclaircir les mystères qui entouraient ses deux mariages. J’ai dû m’imprégner de l’histoire de mes ancêtres, comme je l’avais fait avec ma sœur Claire pour mon livre précédent, Gabriële. Ce livre est à la fois une enquête, le roman de mes ancêtres, et une quête initiatique sur la signification du mot « Juif » dans une vie laïque. »
Une femme parle de son mari, de son amour (complètement fou) pour lui, de son amour d’aimer et ce chaque jour de la semaine. Elle a bien évidemment tout pour être heureuse (enfin, aux yeux de certains): deux enfants, une magnifique maison, une destinée sociale assurée. Mais…
Ce livre est mon tout premier coup de coeur de la rentrée littéraire, et quel coup d’coeur !
L’écrivain, dont j’ai adoré l’audace et le grain de folie, aurait pu être belge ou anglaise… Et bien non : elle est française ! (comme quoi certains savent faire) Un humour truculent à souhait, des questionnements irrésistibles, un épilogue tout simplement génial… Il n’y a absolument rien à jeter.
Un premier roman original des plus réussis. Ne passez pas à côté et laissez-vous vite tenter !
Belle lecture à tous !
“Les souvenirs amoureux ne tombent pas du ciel. Il faut bien que l’un de nous deux se dévoue pour les fabriquer.”
« C’est une femme toujours amoureuse de son mari après quinze ans de vie commune. Ils forment un parfait couple de quadragénaires : deux enfants, une grande maison, la réussite sociale. Mais sous cet apparent bonheur conjugal, elle nourrit une passion exclusive à son égard. Cette beauté froide est le feu sous la glace. Lui semble se satisfaire d’une relation apaisée : ses baisers sont rapides, et le corps nu de sa femme ne l’émeut plus. Pour se prouver que son mari ne l’aime plus – ou pas assez – cette épouse se met à épier chacun de ses gestes comme autant de signes de désamour. Du lundi au dimanche, elle note méthodiquement ses « fautes », les peines à lui infliger, les pièges à lui tendre, elle le trompe pour le tester. Face aux autres femmes qui lui semblent toujours plus belles, il lui faut être la plus soignée, la plus parfaite, la plus désirable. On rit, on s’effraie, on se projette et l’on ne sait sur quoi va déboucher ce face-à-face conjugal tant la tension monte à chaque page. Un premier roman extrêmement original et dérangeant. »