À la fin de l’été, tous les animaux s’affairent pour l’arrivée de l’automne, mais petite oie se sent bien inutile. Que faire quand l’automne est là? Petite oie erre dans la nature et cherche la réponse à sa question, quand passe au-dessus d’elle une majestueuse formation d’oies en pleine migration… Sans plus attendre, elle s’envole alors avec ses semblables vers de chaudes et lointaines contrées.
Au XVIIIe siècle mourir d’empoisonnement n’était pas détectable comme sait le mettre en exergue depuis le milieu du XIXe siècle la toxicologie médicolégale.
Sarah Penser nous plonge dans cet univers, à Londres à deux périodes données.
Ce roman-enquête est un véritable page turner que vous dévorerez dès les premières pages lues ! Et il va falloir me croire parce que je ne vous en dirai pas plus afin de ne rien dévoiler…
Filez donc vous le procurer sans plus tarder et belle lecture à tous !
Je craignais au départ d’être dérangée par un côté trop féministe (que j’exècre) mais au final pas du tout !
« Je jure solennellement devant Dieu, Créateur de toutes choses, de ne jamais administrer de poisons… » A ce serment prêté jadis par les apothicaires, Nella ne souscrit plus depuis longtemps. Belladone, ellébore, arsenic : on peut se procurer toutes sortes de poisons dans sa boutique du 3, Back Alley – à condition qu’un homme violent en soit la victime… Et il y en beaucoup, des hommes violents, dans le Londres de 1791… Deux siècles plus tard, une mystérieuse petite fiole ressurgit dans la boue de la Tamise aux pieds de Caroline, une Américaine au cœur brisé. Et avec elle, toute une histoire de femmes, trop longtemps oubliée…
Grosse, très grosse panne de lecture depuis un moment. Rien de grave cela peut arriver aux meilleurs !
Une amie a eu le « culot » (ceux qui me connaissent savent que je n’aime pas ce genre littéraire) de m’offrir cette mini série de trois mangas : “Le chat aux sept vies”.
Au final cela s’est révélé être une excellente idée. Comme quoi sortir de sa zone de confort fait du bien !
Elle a su éveiller quelque chose en moi parce que : – cette histoire traite des chats errants et de leurs relations avec les humains (sujet ô combien intéressant pour la comportementaliste félin que je suis), – il se dégage de ces livres une belle philosophie et une poésie que les japonais manient à la perfection, – cette histoire échappe à tout degré profond de débilité que je peux exécrer en la matière.
Je ne peux donc que vous inviter à vous plonger dedans si ce n’est pas déjà fait.
Nanao et Machi sont deux chats qui vivent dans la rue. Ils se remplissent le ventre grâce aux “tables” que leur servent les humains, et vivent au quotidien au contact de la mort. À leurs yeux, les humains n’existent que pour les nourrir. Sauf qu’un beau jour, ils font la rencontre de Yoshino Narita, une jeune femme membre de cette espèce qu’ils exècrent tant. Pour elle comme pour eux, la première impression est catastrophique. Mais à terme, cette rencontre changera radicalement leurs vies à tous les trois…
L’indépendance vaut-elle qu’on y sacrifie la moitié de son espérance de vie ? Ce récit en trois volumes suivra avec un regard tendre mais objectif les destins croisés de chats et d’humains et la réalité qu’ils vivent au jour le jour. Loin des caricatures des mascottes félines, tous les personnages sont décrits ici avec minutie grâce aux traits sensibles de Gin Shirakawa. Un récit universel pour mieux connaitre nos compagnons.
Un des merveilleux livres que m’a offert Mon Brun ce week-end…
Des photos sublimes de Fabrice Milochau , des textes d’Eve Gandossi qui invitent à la réflexion sur notre rapport à la nature et aux sylves en particulier…
Il y a tout ce que j’aime dans cet album graphique de Dominique Mermoux d’après le récit éponyme d’Édouard Cortès : de la réflexion, un voyage (intérieur), un choix de (nouvelle) vie plus en accord avec ses convictions, un souffle de liberté, des illustrations naturalistes à tomber…
Comment retrouver de l’air quand le quotidien et son rythme infernal nous étouffe ? Edouard Cortès a choisi, pour se libérer du « monde d’en bas », d’aller vers celui « du haut » : au bord du gouffre, il va quitter femme et enfants pendant plusieurs mois pour vivre dans une cabane de sa propre construction, nichée dans un arbre en pleine forêt. Loin des réseaux sociaux et du tumulte de la société, il trouve une échappatoire dans le silence et la contemplation solitaire, et redécouvre des sensations essentielles au bien-être de chacun. Après avoir retranscrit son histoire en roman, il laisse à Dominique Mermoux le soin d’adapter avec justesse et sensibilité cet étonnant récit de vie.
Sur l’île de Storholmen au large de Stockholm il y a un petit café, Ett Glas, et le manoir de la famille Gussman où Emma Lindhal est embauchée pour effectuer un inventaire de leurs biens familiaux. Neuf ans auparavant, le lieu a vécu un destin funeste : une jeune adolescente y a été découverte pendue. Le modus operandi s’est révélé effrayant et l’histoire semble étrangement se répéter…
Ce thriller polyphonique à l’intrigue bien ficelée et complexe est un véritable page turner. Je l’ai lu dans le cadre d’un club de lecture « Froid / Hiver / Neige » et sans mauvais jeu de mots il fait vraiment froid dans le dos…
« Le coeur battant, Emma Lindahl cogne à la porte du manoir dressé sur une petite île au large de Stockholm. Experte en art, elle doit procéder à l’inventaire des biens de la famille Gussman, quatrième plus grande fortune de Suède. L’île et son manoir ont une réputation sulfureuse depuis que, neuf ans plus tôt, une adolescente a été découverte pendue à un arbre du domaine, tuée dans des conditions affreuses. Son assassin n’a jamais été retrouvé. Emma se rend vite compte que son travail va lui prendre des mois, seule dans ces immenses pièces où elle ne croise jamais personne, car les Gussman ont expressément refusé de la voir et lui imposent des horaires stricts. Bien qu’elle ne soit pas impressionnable, l’ambiance ici lui glace le sang. C’est alors qu’une nouvelle jeune fille est découverte, morte, dans la mer gelée, et tout laisse penser qu’elle a été victime du même tueur…
Un thriller aussi effrayant que captivant, enraciné dans les rites vikings et les sombres amours »
“Les heures insouciantes” est le premier tome d’une nouvelle grande saga amicale, familiale et historique au souffle romanesque qui a tout pour plaire… française qui plus est s’il vous plaît !
Suivez Pauline et Nathalie (et toutes celles et ceux qui les entourent au fil des pages) à la veille de la Seconde Guerre Mondiale entre Paris et Berlin !
La mise en place des différents protagonistes rend l’histoire d’ores et déjà complètement addictive. Certains sont bien mystérieux et il me tarde d’en savoir plus ! La plume de Carole Declercq est toujours aussi agréable à lire et documentée.
Bref ne passez pas à côté de ce premier opus et vivement la suite en novembre prochain !
Pauline Kermadec et Nathalie de Tresnel ont grandi ensemble. À dix-neuf ans, malgré des personnalités opposées, elles sont inséparables.
Pauline, fille de diplomate réservée, pose un regard curieux et angoissé sur une Europe au bord du gouffre. Nathalie, issue d’une famille désargentée de la noblesse, lutte avec panache contre les préjugés et les convenances de son milieu.
L’actualité de l’été 1938 les rattrape. Pauline doit suivre son père à Berlin, au chevet d’une paix toujours plus fragile. Au milieu des élites politiques européennes, elle fait la connaissance d’un séduisant éditeur allemand. Nathalie n’est pas en reste : un jeune officier fait battre son coeur, n’en déplaise à leurs familles respectives.
Dans un monde aux portes de la guerre la plus dévastatrice que va connaître l’humanité, l’avenir des deux amies est incertain. Pourtant, armées de la vigueur et de la détermination de la jeunesse, elles entendent imposer leurs choix et conquérir leur indépendance.
“Les heures insouciantes” est le premier tome d’une nouvelle grande saga amicale, familiale et historique au souffle romanesque qui a tout pour plaire… française qui plus est s’il vous plaît !
Suivez Pauline et Nathalie (et toutes celles et ceux qui les entourent au fil des pages) à la veille de la Seconde Guerre Mondiale entre Paris et Berlin !
La mise en place des différents protagonistes rend l’histoire d’ores et déjà complètement addictive. Certains sont bien mystérieux et il me tarde d’en savoir plus ! La plume de Carole Declercq est toujours aussi agréable et documentée.
Bref ne passez pas à côté de ce premier opus et vivement la suite en novembre prochain !
Belle lecture à tous !
Carole Declercq est agrégée de lettres et de langues anciennes. Elle enseigne le français dans un collège nord-isérois. Elle a déjà écrit plusieurs livres. J’ai le plaisir de la suivre depuis son tout premier roman “Ce qui ne nous tue pas…”.
« Pauline Kermadec et Nathalie de Tresnel ont grandi ensemble. A dix-neuf ans, malgré des personnalités opposées, elles sont inséparables.
Pauline, fille de diplomate réservée, pose un regard curieux et angoissé sur une Europe au bord du gouffre. Nathalie, issue d’une famille désargentée de la noblesse, lutte avec panache contre les préjugés et les convenances de son milieu.
L’actualité de l’été 1938 les rattrape. Pauline doit suivre son père à Berlin, au chevet d’une paix toujours plus fragile. Au milieu des élites politiques européennes, elle fait la connaissance d’un séduisant éditeur allemand. Nathalie n’est pas en reste : un jeune officier fait battre son coeur, n’en déplaise à leurs familles respectives.
Dans un monde aux portes de la guerre la plus dévastatrice que va connaître l’humanité, l’avenir des deux amies est incertain. Pourtant, armées de la vigueur et de la détermination de la jeunesse, elles entendent imposer leurs choix et conquérir leur indépendance. »