Étiquette : Nouvelles étrangères

  • « Sitka » de Gabrielle Filteau-Chiba…

    « Sitka » de Gabrielle Filteau-Chiba…

    Après “Encabanée”, “Sauvagines” et en attendant la parution de “Bivouac” en janvier prochain, pouvoir se replonger dans l’écriture, les petits dessins et l’atmosphère tant appréciés de Gabrielle Filteau Chiba a été un grand bonheur !

    “Le plus difficile, quand on aime un être,
    c’est de le laisser nous quitter.”

    ©Céline Huet-Amchin

    Notre de l’éditeur (XYZ éditions) : 

    « Sous ce toit, la douceur envers plus petit que soi est la règle d’or. Inversement, au sein de la meute qu’elle a quittée, les coups de crocs bien sentis étaient de mise. Les louveteaux mangeaient après le couple et les chasseurs, question de logique, question de survie. »

    Le cœur de Sitka bat fort, fait pulser dans ses veines un sang infusé de tourbe et de conifères, du souvenir d’un océan, d’une reine fragile à protéger. Sinueux est le chemin qui la mènera de l’autre côté de la peur, de l’autre côté du continent.

  • « L’étrange bibliothèque » d’Haruki Murakami…

    « L’étrange bibliothèque » d’Haruki Murakami…

    Imaginez…
    Vous pensez rentrer dans la salle de lecture d’une bibliothèque et finalement vous vous retrouvez dans une prison. Votre seule chance d’en sortir ? Apprendre trois livres par coeur en un mois et réussir l’examen ! 

    Rêve, cauchemar ou réalité ? 

    Une nouvelle de 73 pages pour les amoureux des livres qui apprécient les métaphores.

    Haruki Murakami m’a fait oublier « Kafka sur le rivage » et m’a donné envie de lui laisser une nouvelle nouvelle chance. 😉 
    Merci à mon apprentie collègue Camille qui me l’a conseillé. 

    Belle lecture à tous !

    ©Céline Huet-Amchin

    Note de l’éditeur (10/18) : 

    « Un jeune garçon se rend à la bibliothèque municipale. Jusqu’ici, rien que de très banal, le garçon est scrupuleux, il rend toujours ses livres à l’heure. Cette fois, pourtant, c’est d’abord l’employée qui l’envoie dans une salle qu’il ne connaissait pas. C’est un vieil homme, ensuite, qui le mène par les méandres d’un labyrinthe dans ce qui semble bien être une prison. C’est un homme-mouton qui l’y attend, qui aimerait bien l’aider mais qui redoute le pouvoir du gardien des livres. Enfin, c’est une frêle jeune fille muette qui va l’aider à se libérer de cette bien étrange bibliothèque… »

  • « Fugitives » d’Alice Munro…

    « Fugitives » d’Alice Munro…

    L’écrivain a eu beau recevoir le Prix Nobel de la Littérature en 2013, je ne cautionne pas avec cette seule (et unique lecture d’elle je l’avoue) son titre de « souveraine de l’art de la nouvelle contemporaine » ! (Wikipedia)
    Je suis pourtant une grande amatrice du genre…

    Je me suis littéralement ENNUYÉE et au final le livre m’est tombé des mains.

    Je reconnais néanmoins la force de ses descriptions minutieuses côté écriture, mais les histoires ne m’ont en rien intéressée ni les personnages touchée.
    Pire : les lignes m’ont paru terriblement froides.

    Pour ma part donc, à oublier et ce très vite !

    Je suis quoi qu’il en soit ravie de l’avoir découverte par le biais du Reading Classics Challenge 2018.
    Je ne serais jamais allée vers elle sinon je pense…

    Note de l’éditeur (Points) :

    « Elles fuguent. S’échappent. S’en vont voir ailleurs. Elles : des femmes comme les autres. Par usure ou par hasard, un beau matin, elles quittent le domicile familial ou conjugal, sans se retourner. En huit nouvelles, Alice Munro met en scène ces vies bouleversées. Avec légèreté, avec férocité, elle traque les marques laissées par le temps et les occasions perdues. »

  • « L’odeur du figuier » de Simonetta Greggio…

    « L’odeur du figuier » de Simonetta Greggio…

    « La plus française des italiennes » est loin de m’avoir convaincu, excepté dans sa maîtrise des descriptions…

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    Note de l’éditeur (Le Livre de Poche) :

    Cinq histoires dont le point commun est une odeur de figuier sauvage, une senteur d’été, d’enfance, de nostalgie, un parfum de délicieuse mélancolie, comme une chanson qui ramènerait à une époque oubliée. Et cette odeur, suspendue sur la vie des personnages, est là pour leur rappeler que la joie est admissible et recevable, qu’elle est tout près, qu’il faut la respirer, y croire, la laisser planer et s’en envelopper.