Étiquette : Les inclassables

Je l’ai ouvert ce midi, il a commencé à en voir de toutes les couleurs et cela me fait déjà un bien fou !
Moi, la perfectionniste, adoratrice du papier…
Il se veut antichoc, antistress, anti-pluie, anticrise, antirides.
Il vise haut, mais pour notre bien !
Je compte sur lui pour faire tomber mes dernières barrières…

Sa devise : « détruire pour créer » .
Je trouve le concept tout simplement GENIAL !

Délires en tout genre, défis créatifs, imagination titillée, intellect stimulé…
Appropriez-vous le, lâchez prise et à vous de jouer !

Mot d’ordre : il ne doit plus ressembler au carnet tout-beau-tout-propre-tout-neuf que vous avez acheté…
Il doit vous ressembler à 200% !

Offrez-le aussi !
Parce que beaucoup ont besoin d’un peu d’aide…

Editions Larousse
9,90 € dans toutes les bonnes librairies        

 

Difficile d’en dire plus après cette soirée mémorable racontée dans un de mes précédents articles « La Terrasse de Gutenberg (et les rencontres littéraires de Carole Zalberg) ».

Je vous invite donc à le lire, ou le relire, tout simplement…

Belle lecture à tous !

Editions Théâtre Ouvert

Dans un monde de plus en plus superficiel et insipide, « L’éloge de l’ombre » se révèle être une bouffée d’oxygène si tant est que l’on soit attiré par la culture asiatique (ce qui est mon cas).

L’esthétique de la pénombre face à celle de l’éclairage outrancier occidental : comme une claque de caresses…

Belle lecture éclairée à tous !

Editions Verdier

Prenez un mot, et couchez par écrit ce que vous ressentez à son évocation…
Tel pourrait être le résumé de ce livre, haut en odeurs et admirablement bien écrit !

Une lecture plaisir, qui donne envie de décrire ces parfums qui nous touchent tant…

Voici quelques jolies phrases relevées :

« Tenace, même dans son absence »

« Ambre solaire. On dirait le titre d’une poésie »

« Je leur prêterai cette odeur. Je suis enfin prêt. J’enfourche mon vélo. Je fonce. Le vent me renifle. J’ai 10 ans. Le présent est un cadeau somptueux »

« De grandes heures paisibles, et durant lesquelles la lecture et l’écriture atteignent un degré de délice qui s’accorde avec une forme fragile et miraculeuse de retour à la vie »

« Si le sentir est difficile, c’est en bouche qu’il se délivre. Le respirer le condamne, le goûter l’amnistie. Derrière ses allures de Quasimodo, de vilain canard ou de galeux, c’est un prince qui pour apparaître attend qu’on veuille bien l’apprécier. On se trompe si souvent, sur les fromages ou sur les êtres »

« Voyager, c’est se perdre, se défaire du connu pour renaître sans repères et laisser ses sens apprivoiser la terre »

« Aligner des noms, respirer leurs syllabes, c’est écrire le grand poème du monde et celui de ses profonds désirs »

« Chaque lettre a une odeur, chaque verbe un parfum, chaque mot diffuse dans la mémoire un lieu et ses effluves. Et ce texte qui peu à peu se tisse aux hasards conjugués de l’alphabet et de le remembrance, devient alors le fleuve merveilleux, mille fois ramifié et odorant, de notre vie rêvée, de notre vie vécue, de notre vie à venir, qui tour à tour nous emporte et nous dévoile »

Belle lecture à tous !

Editions Stock

 

Interview fictive, mais dont les phrases de l’écrivain récoltées de-ci de-là (et mises en forme avec intelligence) sont bien les siennes…

Sa voix raisonne…
L’on imagine aisément sa mèche, ses yeux, ses attitudes si particulières…

Un très joli écho…

Belle lecture à tous !

Editions Jean-Jacques Pauvert