Au XVIIIe siècle mourir d’empoisonnement n’était pas détectable comme sait le mettre en exergue depuis le milieu du XIXe siècle la toxicologie médicolégale.
Sarah Penser nous plonge dans cet univers, à Londres à deux périodes données.
Ce roman-enquête est un véritable page turner que vous dévorerez dès les premières pages lues !
Et il va falloir me croire parce que je ne vous en dirai pas plus afin de ne rien dévoiler…
Filez donc vous le procurer sans plus tarder et belle lecture à tous !
Je craignais au départ d’être dérangée par un côté trop féministe (que j’exècre) mais au final pas du tout !
©Céline Huet-Amchin
Note de l’éditeur (Pocket) :
« Je jure solennellement devant Dieu, Créateur de toutes choses, de ne jamais administrer de poisons… » A ce serment prêté jadis par les apothicaires, Nella ne souscrit plus depuis longtemps. Belladone, ellébore, arsenic : on peut se procurer toutes sortes de poisons dans sa boutique du 3, Back Alley – à condition qu’un homme violent en soit la victime… Et il y en beaucoup, des hommes violents, dans le Londres de 1791…
Deux siècles plus tard, une mystérieuse petite fiole ressurgit dans la boue de la Tamise aux pieds de Caroline, une Américaine au cœur brisé. Et avec elle, toute une histoire de femmes, trop longtemps oubliée…