Mon septième livre du challenge des 68 premières fois !
Irène Montès, Professeur à L’Ecole des Hautes en Sciences Sociales, est découverte morte dans un hôtel new yorkais. A côté d’elle, une poupée gonflable.
Débute alors une enquête des plus particulières sur sa personnalité à travers son mari Léon Garry.
La couverture et la note de l’éditeur se veulent « érotico-sulfureuses ».
Après l’Affaire DSK, l’Affaire du Soho Grand Hotel où l’homosexualité d’Irène serait un élément déterminant.
Ah…
Les thèmes principaux abordés ? Les fantasmes inassouvis, l’emprise d’une femme sur un homme (après avoir été le contraire au départ de la relation) et ses conséquences, le couple.
Au final ? Une fin anticipable étant donné la construction du roman.
Bon, ben voilà…
Quelle est la part de réalité, de fiction dans ce que raconte Léon ?
« Suivre Irène. Comprendre ». « Les hallucinations. Les faits. Tout semble advenir sur le même plan ».
C’est bien le seul intérêt que j’ai trouvé à cette « littérature » Crunch que l’on s’enfile même si elle n’est pas terrible et que l’on regrette après coup avec le sentiment d’avoir perdu son temps.
Editions Julliard
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