Mon septième livre du challenge des 68 premières fois !
Irène Montès, Professeur à L’Ecole des Hautes en Sciences Sociales, est découverte morte dans un hôtel new yorkais. A côté d’elle, une poupée gonflable.
Débute alors une enquête des plus particulières sur sa personnalité à travers son mari Léon Garry.
La couverture et la note de l’éditeur se veulent « érotico-sulfureuses ».
Après l’Affaire DSK, l’Affaire du Soho Grand Hotel où l’homosexualité d’Irène serait un élément déterminant.
Ah…
Les thèmes principaux abordés ? Les fantasmes inassouvis, l’emprise d’une femme sur un homme (après avoir été le contraire au départ de la relation) et ses conséquences, le couple.
Au final ? Une fin anticipable étant donné la construction du roman.
Bon, ben voilà…
Quelle est la part de réalité, de fiction dans ce que raconte Léon ?
« Suivre Irène. Comprendre ». « Les hallucinations. Les faits. Tout semble advenir sur le même plan ».
C’est bien le seul intérêt que j’ai trouvé à cette « littérature » Crunch que l’on s’enfile même si elle n’est pas terrible et que l’on regrette après coup avec le sentiment d’avoir perdu son temps.
Editions Julliard
Et bien pour moi c’est un gros coup de coeur ! Je l’ai dévoré et je l’ai trouvé tout dans la douceur et l’évocation, avec une psychologie bien menée 🙂
Chacun ses goûts en matière de littérature… 😉
Bon ben voila… C’est exactement mon sentiment aussi après la lecture de ce petit roman.
Si j’ai trouvé la première partie globalement intéressante, on ne peut pas en dire autant de la seconde bien plus confuse à mon gout…
Je ne sais d’ailleurs pas encore trop comment je vais rédiger ma chronique 🙁
Content de lire que je ne suis pas le seul dans l’embarras!
Tu sais quoi ? Tu me rassures !!! 😉