« Contre nature » de Cathy Galliègue…

Trois femmes.
Une prison.
Trois destins reliés par une même catharsis : l’écriture !

Un uppercut littéraire viscéral, carcéral, qui ne peut pas laisser indifférent.

« L’ennui comporte de belles pages de rien entièrement consacrées à la réflexion.»

« Il faut avec les mots de tout le monde écrire comme personne. »

©Céline Huet-Amchin

Note de l’éditeur (Seuil) : 

« Trois femmes sont incarcérées dans la même prison. C’est là, dans la bibliothèque du centre pénitentiaire, que Pascale, Vanessa et Leïla se rencontrent.

Captives de leur condition humaine et des préjugés, elles ont chacune une manière différente de vivre leur détention. Il y a celle qui se pose en redresseuse de torts, celle qui voudrait faire oublier le sort réservé à ses bébés, celle qui imagine que les livres les sauveront toutes les trois. Sensibiliser Vanessa à la lecture et vaincre les réticences de Pascale, tels sont les défis que se lance Leïla.

Alors qu’elles n’ont rien en commun, qu’elles ne cherchent pas l’amitié, la pratique cathartique de l’écriture va leur donner l’occasion d’établir une relation, d’évoquer la violence qui les a conduites à l’enfermement. »

« Chat-Bouboule Fat and Furious #4 » de Nathalie Jomard…

Retrouvez les facéties, les acrobaties, les tribulations et autres comportements propres à l’espèce du célèbre Chat-Bouboule, de son humaine et des grumeaux composant la famille qui habite avec chez lui… 

Après « Chroniques d’un prédateur de salon », « La nuit, tous les chats sont gros » et « Intermittent de la sieste », l’illustratrice Nathalie Jomard récidive avec « Fat and furious » pour notre plus grand plaisir. 

Toujours aussi fort à propos, juste et surtout réaliste (c’est une libraire comportementaliste félin qui vous l’affirme), fous rires garantis ! 

©Céline Huet-Amchin

Note de l’éditeur (Michel Lafon) : 

« Le huitième jour, Chat-bouboule fit la sieste dans le tambour de la machine à laver et vit que cela était con « . Chatoyante fresque hagiographique du père fondateur de l’église chapostolique du Bouboulisme Croquettopaganique, cet ouvrage vous révèlera l’éblouissant parcours lymphatique d’un champion incontesté de la ronflette duirne ou du 100 mètres crottocul. Plongez dans une allégorie flamboyante de la condition féline au milieu domestique qui vous mènera aux portes de la révélation ultime ainsi formulée par Bouffon Chargaryen, Mère des Chattons, suzeraine des Sept Litières et Protectrice de la Boite à Croquettes :  » Rhaaaaa ! Il a encore vomi sur mes chaussons !  »

Vous l’avez compris, le félin charismatique de la République bananière et autoproclamée du Grumeauland est bel et bien de retour pour notre plus grand plaisir ! »

« Le cercle des derniers libraires » de Sylvie Baron…

Emma, libraire à Saint-Flour dans le Cantal, a créé Le cercle des derniers libraires. Trois de ses membres ont trouvé la mort dans des circonstances plus que suspectes. En parallèle de l’enquête de police, Adrien Darcy, journaliste, est envoyé sur place… 

Outre les clins d’oeil littéraires à Jane Austen (et à d’autres écrivains), ce polar qui fleure bon le terroir est un joli éloge aux livres et aux libraires.
Le lecteur rentre très vite dans l’histoire, ne peut que s’attacher aux différents personnages et joue à Hercule Poirot jusqu’aux dernières pages qui nous livrent le dénouement final. 

Loin de cette rentrée littéraire terriblement morose, bien au chaud chez vous, sous une couverture douille-douille accompagné(e) d’une tasse de thé fumante et des ronrons de votre chat, vous passerez un excellent moment. 

Belle lecture à tous ! 

 

©Céline Huet-Amchin

Note de l’éditeur (J’ai Lu) : 

« À Saint-Flour, Emma est une jeune libraire dynamique, créatrice d’une association de défense de la librairie indépendante, le Cercle des derniers libraires.
Victime d’un accident de vélo, Adrien Darcy n’est pas près de se remettre en selle. Mais quand le rédacteur en chef de La Montagne lui propose de mener l’enquête sur de mystérieux meurtres commis sur des libraires, le jeune homme, d’abord réticent, accepte de relever le défi.
Premier indice : les trois victimes appartenaient au Cercle des derniers libraires. Qui se cache derrière cette association ? Qui lui en veut au point d’en supprimer ses membres ? C’est ce que Darcy compte bien découvrir !

Une déclaration d’amour aux livres et à ceux qui les font vivre : les libraires. »

« Il était deux fois » de Franck Thilliez…

 Julie, la fille du lieutenant de gendarmerie Gabriel Moscato disparaît en 2008. Son enquête le mène à l’Hôtel de la Falaise où il s’endort une nuit dans la chambre 29. Il se réveille le lendemain matin dans la chambre 7 et apprend qu’il est en 2020… 

Une fois encore, Franck Thilliez joue avec les nerfs des lecteurs comme il sait si bien le faire en les embarquant dans une histoire complètement dingue dont il a le secret. 

Si vous n’avez pas lu « Le manuscrit inachevé », rien de grave vous comprendrez parfaitement l’intrigue. Mais l’écrivain vous obligera à vous plonger dedans afin de pouvoir accéder aux toutes dernières pages ! (si toutefois vous ne trichez pas). J’ai trouvé absolument géniale cette imbrication de deux histoires qui rend le tout aussi ingénieux qu’intelligent ! 

Si vous commencez ce livre ne prévoyez rien pendant environ 4h : vous ne pourrez pas le lâcher. 
JOUISSIF !

©Céline Huet-Amchin

Note de l’éditeur (Fleuve noir) : 

« En 2008, Julie, dix-sept ans, disparaît en ne laissant comme trace que son vélo posé contre un arbre. Le drame agite Sagas, petite ville au cœur des montagnes, et percute de plein fouet le père de la jeune fille, le lieutenant de gendarmerie Gabriel Moscato. Ce dernier se lance alors dans une enquête aussi désespérée qu’effrénée.
Jusqu’à ce jour où ses pas le mènent à l’hôtel de la Falaise… Là, le propriétaire lui donne accès à son registre et lui propose de le consulter dans la chambre 29, au deuxième étage. Mais exténué par un mois de vaines recherches, il finit par s’endormir avant d’être brusquement réveillé en pleine nuit par des impacts sourds contre sa fenêtre…
Dehors, il pleut des oiseaux morts. Et cette scène a d’autant moins de sens que Gabriel se trouve à présent au rez-de-chaussée, dans la chambre 7. Désorienté, il se rend à la réception où il apprend qu’on est en réalité en 2020 et que ça fait plus de douze ans que sa fille a disparu… »

« Un thé à l’eau de parapluie » de Karen Hottois & Chloé Malard…

Depuis quelques jours une des plus belles saisons a débuté : l’Automne.
Ok il pleut.
D’accord les températures baissent et le froid commence à s’installer.
Mais ne déprimez pas et faites comme Elmo : buvez un thé………… à l’eau de parapluie » ! (cela ira tout de suite mieux !)

Que vous soyez petit ou grand, plongez-vous dans cet album qui enveloppe le lecteur d’une bulle de douceur aux saveurs exquises. 

Un joli éloge de la pluie, du thé, de l’amitié, du temps à s’accorder… 
Un livre dont l’auteure aurait pu être Béatrix Potter… 

Belle lecture à tous !

©Céline Huet-Amchin

Note de l’éditeur (Seuil Jeunesse) : 

« Elmo a le cœur lourd, l’automne est là, la pluie ruisselle derrière ses fenêtres, l’été s’en est bel et bien allé… Mais Elmo a un truc. Quand il a le moral en berne, il prépare un thé à l’eau de parapluie. La recette est simple : il suffit de se placer sous un gros nuage, un gros nuage plein de mer évaporée, chargé de soleil, de sauterelles et de coquelicot, et lorsque le nuage crève, lorsque la pluie se met à tomber, la récolter ! Savourer ce thé avec des amis chers de préférence, fermer les yeux, sentir les vacances couler dans sa tasse, savourer ce breuvage chaud et doux, et une fois qu’on a repris des forces, qu’on est gonflé à bloc, profiter enfin des joies sauvages de l’automne ! »