Blogueuse & Artiste voyageuse.
Jamais sans un livre, un thé, mes pinceaux, nos poilus et Mon Brun ! (dans le désordre)
Passion Asie, éléphants, pandas, licornes, dragons et lapin (d'Alice)
Du fait de mes différentes activités ces derniers mois qui m’ont pas mal accaparée et au lieu de le fermer complètement je suis en train de réfléchir à un nouveau site !
Beaucoup de choses sont en cours de suppression… pour pouvoir en proposer de nouvelles !
Sur l’île de Storholmen au large de Stockholm il y a un petit café, Ett Glas, et le manoir de la famille Gussman où Emma Lindhal est embauchée pour effectuer un inventaire de leurs biens familiaux. Neuf ans auparavant, le lieu a vécu un destin funeste : une jeune adolescente y a été découverte pendue. Le modus operandi s’est révélé effrayant et l’histoire semble étrangement se répéter…
Ce thriller polyphonique à l’intrigue bien ficelée et complexe est un véritable page turner. Je l’ai lu dans le cadre d’un club de lecture « Froid / Hiver / Neige » et sans mauvais jeu de mots il fait vraiment froid dans le dos…
« Le coeur battant, Emma Lindahl cogne à la porte du manoir dressé sur une petite île au large de Stockholm. Experte en art, elle doit procéder à l’inventaire des biens de la famille Gussman, quatrième plus grande fortune de Suède. L’île et son manoir ont une réputation sulfureuse depuis que, neuf ans plus tôt, une adolescente a été découverte pendue à un arbre du domaine, tuée dans des conditions affreuses. Son assassin n’a jamais été retrouvé. Emma se rend vite compte que son travail va lui prendre des mois, seule dans ces immenses pièces où elle ne croise jamais personne, car les Gussman ont expressément refusé de la voir et lui imposent des horaires stricts. Bien qu’elle ne soit pas impressionnable, l’ambiance ici lui glace le sang. C’est alors qu’une nouvelle jeune fille est découverte, morte, dans la mer gelée, et tout laisse penser qu’elle a été victime du même tueur…
Un thriller aussi effrayant que captivant, enraciné dans les rites vikings et les sombres amours »
Suite au « Défi 6 jours de dessin méditatif » du 31 janvier au 5 février 2023 organisé par Théodora (Dessin Calme – Calmer son esprit par le dessin), je me suis prise au jeu et je n’arrive plus à m’arrêter : c’est complètement addictif et c’est un bon compromis si vous êtes du genre à préférer méditer différemment parce qu’activement.
Des petits carrés, des ronds… Des traits, des motifs, du gribouillage… Des couleurs, du noir et blanc… Des feutres, des crayons, de la peinture… Chaque jour, chaque semaine… Une dizaine de minutes, 1h, beaucoup plus… Bref CE QUE VOUS VOULEZ !
Le but ? VOUS DÉTENDRE (un moment pour vous, rien que pour vous) et… VOUS FAIRE PLAISIR !
Ne pas rechercher la perfection mais le lâcher prise… Peu importe que vous sachiez dessiner ou pas !
Je le continue pour l’instant avec une amie à distance. Cela nous fait beaucoup de bien.
Cela vous dit ?
N’hésitez pas à me partager en commentaires vos créations si vous vous y mettez !
Défi 6 jours de dessin méditatif :
Depuis… :
Dessin méditatif Dessin intuitif L’espoir création Céline Huet-Amchin
“Les heures insouciantes” est le premier tome d’une nouvelle grande saga amicale, familiale et historique au souffle romanesque qui a tout pour plaire… française qui plus est s’il vous plaît !
Suivez Pauline et Nathalie (et toutes celles et ceux qui les entourent au fil des pages) à la veille de la Seconde Guerre Mondiale entre Paris et Berlin !
La mise en place des différents protagonistes rend l’histoire d’ores et déjà complètement addictive. Certains sont bien mystérieux et il me tarde d’en savoir plus ! La plume de Carole Declercq est toujours aussi agréable et documentée.
Bref ne passez pas à côté de ce premier opus et vivement la suite en novembre prochain !
Belle lecture à tous !
Carole Declercq est agrégée de lettres et de langues anciennes. Elle enseigne le français dans un collège nord-isérois. Elle a déjà écrit plusieurs livres. J’ai le plaisir de la suivre depuis son tout premier roman “Ce qui ne nous tue pas…”.
« Pauline Kermadec et Nathalie de Tresnel ont grandi ensemble. A dix-neuf ans, malgré des personnalités opposées, elles sont inséparables.
Pauline, fille de diplomate réservée, pose un regard curieux et angoissé sur une Europe au bord du gouffre. Nathalie, issue d’une famille désargentée de la noblesse, lutte avec panache contre les préjugés et les convenances de son milieu.
L’actualité de l’été 1938 les rattrape. Pauline doit suivre son père à Berlin, au chevet d’une paix toujours plus fragile. Au milieu des élites politiques européennes, elle fait la connaissance d’un séduisant éditeur allemand. Nathalie n’est pas en reste : un jeune officier fait battre son coeur, n’en déplaise à leurs familles respectives.
Dans un monde aux portes de la guerre la plus dévastatrice que va connaître l’humanité, l’avenir des deux amies est incertain. Pourtant, armées de la vigueur et de la détermination de la jeunesse, elles entendent imposer leurs choix et conquérir leur indépendance. »
Jeudi 30 juin : je termine en beauté Le mois anglais en vous parlant du “Cirque des merveilles” !
Nellie Moon est une enfant au physique peu ordinaire. Un jour, son père la vend à un directeur de cirque, Jasper Jupiter, pour vingt dollars…
Comme pour “La fabrique des poupées”, Elizabeth Macneal nous plonge dans l’Angleterre victorienne de la fin du XIXe siècle et a su une nouvelle fois retenir toute mon attention de lectrice.
Les “phénomènes de foires”, les “bêtes curieuses” ont connu malheureusement leur heure de gloire à une époque. Sans parler de la maltraitance animale. L’écrivain nous immerge dans ce contexte de manière extrêmement réaliste. Même si parfois c’est dérangeant il est utile de parler de ce type d’agissements condamnables qui ont existé pour ne plus jamais les revivre.
Dans la lignée de son premier roman l’écrivain dissèque la solitude, la dépendance, la possession, l’emprise, l’amitié, l’amour, la jalousie, la réalisation de soi-même, le succès, le pouvoir. Elle décrit ainsi avec brio tout une palette d’émotions et campe une atmosphère aussi angoissante que fascinante au fil des pages.
Une nouvelle réussite. Vivement le prochain.
Vous appréciez Dickens, Hugo ? Ce livre est pour vous.
Belle lecture à tous !
Un grand merci renouvelé à Aurélia qui se reconnaîtra.
« Angleterre, 1866. Nell vit rejetée de tous à cause des taches de naissance qui constellent son corps. Lorsque le Cirque des Merveilles de Jasper Jupiter plante son chapiteau non loin de chez elle, son existence bascule : son père la vend au propriétaire comme nouveau phénomène de foire. Contre toute attente, la jeune fille voit son horizon s’élargir. Elle se lie d’amitié avec les autres artistes et se prend d’affection pour Toby, le « photographiste ». Elle qui n’a connu que l’obscurité entre enfin dans la lumière et c’est un véritable triomphe. Mais que lui arrivera-t-il le jour où son succès menacera d’éclipser celui de l’homme qui l’a achetée ? »