Étiquette : Romans étrangers

  • « L’odeur des clémentines grillées » de Lee Do-woo…

    « L’odeur des clémentines grillées » de Lee Do-woo…

    À la recherche d’une lecture réconfortante et de saison ?

    Plongez dans « L’odeur des clémentines grillées » de Lee Do-woo, une jolie histoire qui se déroule principalement dans une librairie où un un club de lecture se réunit et où les sentiments renaissent, se réinventent…

    J’avais déjà tenté ma chance avec la littérature coréenne à travers un thriller qui ne m’avait pas convaincu (je ne me souviens même plus du titre !). Pourtant, en tant qu’amoureuse de la littérature asiatique, et particulièrement japonaise, j’ai pris le temps de m’habituer aux codes de ce roman. Bien que ce ne soit pas un coup de cœur, j’ai passé un moment douillet et apaisant, parfait pour ce mois de novembre. 

    Belle lecture à tous ! 

    ©Céline Huet-Amchin

    Note de l’éditeur (Decrescenzo éditeurs) : 

    « Haewon quitte son emploi de professeur de dessin à Séoul et retourne au village de Bookhyun où elle a vécu lorsqu’elle était adolescente. Elle retrouve son ancien camarade de classe, Eun-seop, qui gère la petite librairie Goodnight. Rapidement, elle fait la connaissance des membres hétéroclites qui composent le club de lecture. Au fil des livres qu’ils partagent et d’un journal pas si intime, le quotidien de la librairie va se confronter à des secrets ensevelis et des sentiments qui ne tardent pas à refaire surface.

    L’Odeur des clémentines grillées est une histoire de pardon et de guérison, une ode à l’amitié, à la tendresse et aux livres qui nous rassemblent. »

    (traduit par Lee So-yeong et Crystel Pinçoonat)

  • « Va là où la rivière te porte » de Shelley Read…

    « Va là où la rivière te porte » de Shelley Read…

    L’histoire de Victoria Nash, dix sept ans, aurait pu perdurer ainsi : sa vie quotidienne à la ferme familiale située dans le Colorado, des pêchers ancestraux à cultiver, un père taiseux mais aimant, un frère et un oncle alcooliques et violents… C’était sans compter sur sa rencontre avec Wilson Moon qui va changer et forger son destin, à tout jamais !

    Shelley Read nous propose un magnifique premier roman sur la reconstruction. L’histoire romanesque nous emporte, nous transporte et la nature, décrite avec le plus grand soin devient, au fil des pages, un véritable personnage.
    Elle arrive à éviter de nombreux écueils et nous livre des lignes d’une grande beauté et d’une force à nulle autre pareille à travers une héroïne que nous, lecteurs, ne sommes pas prêts d’oublier, à l’instar de Kya (« Le chant des écrevisses » de Delia Owens) et dans un tout autre genre Turtle (« My absolute darling » de Gabriel Tallent).

    Bonne lecture à tous !

    ©Céline Huet-Amchin

    Note de l’éditeur (Robert Laffont) : 

    Victoria Nash a dix-sept ans, et elle gère d’une main de maître le verger de pêches de son père, à Iola, petite ville du Colorado nichée entre les montagnes de la Big Blue Wilderness et la rivière Gunnison. Lorsqu’elle rencontre par hasard Wilson Moon dans les rues d’Iola, la vie semble lui sourire. Wil est un jeune vagabond au passé mystérieux, à la peau brune et aux yeux aussi noirs et brillants que des ailes de corbeau. L’étincelle qui s’allume entre eux va déclencher autant de passion que de malheurs.

    Au coeur des lacs, des montagnes, des rivières, Victoria doit faire face aux changements de son temps tout en sauvant sa propre vie et celle de son verger.

    Va où la rivière te porte est un premier roman lumineux et envoûtant. Ce destin de femme est marqué par une histoire d’amour et façonné par une nature qui fascine autant qu’elle submerge.

  • « La maison de l’orchidée » de Lucinda Riley…

    « La maison de l’orchidée » de Lucinda Riley…

    Après un tragique événement Julia se réfugie à Wharton Park où elle a jadis vécu ses plus merveilleux souvenirs, en particulier aux côtés de son grand-père, jardinier de la somptueuse serre abritant des plantes exotiques au cœur de ce vaste domaine. Ce retour aux sources réveille les ombres enfouies, dévoilant une cascade de secrets suite à la découverte du journal intime de son aïeul…

    Lucinda Riley, magicienne des voyages immobiles et des émotions éprouvées, nous emporte une fois de plus dans une histoire envoûtante, où les fils du temps s’entremêlent entre l’Angleterre et la Thaïlande, deux pays qui ont conquis mon cœur depuis longtemps. Même si les contours de ces décors vous sont étrangers ses descriptions détaillées, imprégnées d’une connaissance historique minutieuse, vous plongeront corps et âme dans cette fresque envoûtante.

    Pour celles et ceux en quête de personnages inoubliables, de lieux qui ont une âme, cette lecture au souffle romanesque sans pareil est pour vous !

    Belle lecture à tous ! 

    ©Céline Huet-Amchin

    Note de l’éditeur (Charleston Poche) : 

    Wharton Park… Julia Forrester n’a jamais oublié les étés idylliques de son enfance, passés à arpenter la somptueuse propriété où son grand-père prenait soin des plantes exotiques, si rares dans cette région du Norfolk. Aussi est-ce tout naturellement qu’elle vient y chercher refuge après le terrible drame qui a bouleversé sa vie.

    Mais si ces terres sont chargées de souvenirs, Julia ne tarde pas à découvrir qu’elles abritent également bien des secrets. C’est dans le journal intime tenu dans les années 1940 par son aïeul qu’elle perce peu à peu le mystère d’une histoire d’amour qui a presque détruit le domaine plus de cinquante ans auparavant…

    À travers les destins croisés de deux familles ravagées par la guerre, un roman étourdissant entre Europe et Asie, comme sait si bien nous les offrir Lucinda Riley.

  • « La Reine des lectrices » d’Alan Bennett…

    « La Reine des lectrices » d’Alan Bennett…

    La Reine d’Angleterre se prend d’une soudaine passion pour la lecture, au point d’en bouleverser le légendaire protocole qui entoure sa fonction et de délaisser…….. ses corgis !

    GOD GRACIOUS
    Que va-t-il donc se passer ?
    Jusqu’au cela va-t-il donc aller ?

    Aussi jouissif que truculent ce petit livre est à déguster comme le meilleur des bonbons.

    Une lecture efficace qui fait du bien !

    Et ce final, on en parle ? (pour celles et ceux qui l’ont lu)

    ©Céline Huet-Amchin

    Note de l’éditeur (Folio) : 

    Que se passerait-il outre-Manche si Sa Majesté la Reine se découvrait une passion pour la lecture ? Si, d’un coup, rien n’arrêtait son insatiable soif de livres, au point qu’elle en vienne à négliger ses engagements monarchiques ? Du valet de chambre au prince Philip, tous grincent des dents tandis que la royale passion littéraire met sens dessus dessous l’implacable protocole de la maison Windsor.
    Un succès mondial a récompensé cette joyeuse farce qui, par-delà la drôlerie, est aussi une belle réflexion sur le pouvoir subversif de la lecture.

  • « La liste des regrets » de Mikki Brammer…

    « La liste des regrets » de Mikki Brammer…

    NE RATEZ PAS CETTE PARUTION DU JOUR !

    Des pages qui parlent joliment de la mort, ce n’est pas fréquent…

    Mikki Brammer nous conte l’histoire de Clover, une thanadoula (personne qui vous accompagne jusqu’à votre dernier souffle).

    Ce livre nous permet de mieux connaître (et de comprendre !) ce métier et, sans aucun doute, de modifier notre vision trop occidentale du deuil.

    J’ai passé un excellent moment.

    Belle lecture à tous !

    NDLR. À noter la sublime traduction d’Emmanuelle Urien. 

    Merci à Pauline (qui se reconnaîtra) pour la réception de ce roman avant sa parution (livre offert). 

    ©Céline Huet-Amchin

    Note de l’éditeur (Eyrolles) : 

    La mort, Clover connaît bien. En tant que thanadoula, elle aide des inconnus à vivre leurs derniers jours dignement. Elle recueille les confidences de ses patients, et les accompagne jusqu’au grand saut. Un métier sur-mesure pour cette grande introvertie, qui fuit la compagnie des vivants et leur préfère celle de George, son adorable bouledogue.

    Mais la rencontre de Clover avec une nouvelle patiente chamboule tout. Claudia est une vielle dame pleine de fougue, hantée par le souvenir d’une ancienne histoire d’amour. Pour l’aider à tourner la page, Clover part sur les traces de l’amoureux perdu…

  • « La petite boutique aux poisons » de Sarah Penner…

    « La petite boutique aux poisons » de Sarah Penner…

    Au XVIIIe siècle mourir d’empoisonnement n’était pas détectable comme sait le mettre en exergue depuis le milieu du XIXe siècle la toxicologie médicolégale.

    Sarah Penser nous plonge dans cet univers, à Londres à deux périodes données.

    Ce roman-enquête est un véritable page turner que vous dévorerez dès les premières pages lues !
    Et il va falloir me croire parce que je ne vous en dirai pas plus afin de ne rien dévoiler… 

    Filez donc vous le procurer sans plus tarder et belle lecture à tous !

    Je craignais au départ d’être dérangée par un côté trop féministe (que j’exècre) mais au final pas du tout ! 

    ©Céline Huet-Amchin

    Note de l’éditeur (Pocket) : 

    « Je jure solennellement devant Dieu, Créateur de toutes choses, de ne jamais administrer de poisons… » A ce serment prêté jadis par les apothicaires, Nella ne souscrit plus depuis longtemps. Belladone, ellébore, arsenic : on peut se procurer toutes sortes de poisons dans sa boutique du 3, Back Alley – à condition qu’un homme violent en soit la victime… Et il y en beaucoup, des hommes violents, dans le Londres de 1791…
    Deux siècles plus tard, une mystérieuse petite fiole ressurgit dans la boue de la Tamise aux pieds de Caroline, une Américaine au cœur brisé. Et avec elle, toute une histoire de femmes, trop longtemps oubliée…

  • « Sous la porte qui chuchote » de T.J. Klune…

    « Sous la porte qui chuchote » de T.J. Klune…

    « Bienvenue dans notre salon de thé La Traversée de Charon.
    Le thé y est chaud, les scones bien frais et les morts, juste de passage. »

    Après l’excellent « La maison au milieu de la mer céruléenne », T.J Klune nous plonge une nouvelle fois dans une histoire peu commune où il parle de thé, de mort, de deuil, de seconde chance (ou pas !), de souvenirs… le tout avec beaucoup de finesse et de délicatesse grâce aux personnages créés.

    Si vous aimez les lectures différentes qui peuvent vous éveiller à un thème réputé compliqué en littérature et vers lequel tout un chacun peut craindre de se projeter, vous allez adorer laisser infuser cette Traversée de Charon !

    ©Céline Huet-Amchin

    Éditions De Saxus 

  • « Les sept soeurs » de Lucinda Riley…

    « Les sept soeurs » de Lucinda Riley…

    J’ai résisté pendant longtemps…
    Je me méfie toujours en effet des livres qui ont beaucoup de succès !

    Lors d’un Club de lecture une personne en a tellement bien parlé que j’ai tenté. 

    Force est de constater que, si finalement vous décidez comme moi de vous plonger dedans, vous êtes fichu(e)s !

    Cette saga est complètement addictive. Non seulement vous vous attacherez aux personnages (et à leurs histoires) mais encore vous voyagerez !

    Vivement le 11 mai prochain avec la parution de “Atlas, l’histoire de Pa Salt” : nous apprendrons enfin qui est ce père énigmatique… 

    ©Céline Huet-Amchin

    Éditions Le Livre de Poche

  • « Le chant des écrevisses » de Delia Owens…

    « Le chant des écrevisses » de Delia Owens…

    Dans un marais une petite fille, Kya, se retrouve seule. Elle va apprendre à survivre, à vivre…

    Que celle ou celui qui ne l’a pas encore lu file en librairie ou le sorte immédiatement de sa PAL !

    Un GRAND, un TRÈS BEAU roman aux multiples thèmes abordés.

    L’intrigue est captivante (je l’ai lu pratiquement d’un trait en une journée), les personnages sont inoubliables et la nature tient une place essentielle.

    Il fait désormais assurément partie de mes livres préférés !

    Belle lecture à tous ! 

    ©Céline Huet-Amchin

    Note de l’éditeur (Points) : 

    Les rumeurs les plus folles courent sur « la Fille des marais » de Barkley Cove, en Caroline du Nord. Pourtant Kya n’est pas cette créature sauvage et analphabète que tous imaginent et craignent. Abandonnée à l’âge de dix ans par sa famille, c’est grâce au jeune Tate qu’elle apprend à lire et à écrire, découvre la science et la poésie. Mais Tate, appelé par ses études, doit partir à son tour. Et lorsque l’irréparable se produit, elle ne peut plus compter que sur elle-même…

    Delia Owens est née en 1949 en Géorgie, aux États-Unis. Diplômée en zoologie et biologie, elle a vécu plus de vingt ans en Afrique. Véritable phénomène d’édition vendu à des millions d’exemplaires dans le monde entier, Là où chantent les écrevisses est son premier roman.

    Traduit de l’anglais (États-Unis) par Marc Amfreville