Étiquette : Premiers romans

  • « L’Odyssée de Sven » de  Nathaniel Ian Miller…

    « L’Odyssée de Sven » de  Nathaniel Ian Miller…

    Ce premier roman nous plonge dans l’aventure glacée d’un homme en quête de liberté et de solitude (malgré quelques amitiés tout au long de son périple) au cœur du Spitzberg.

    Roman d’aventure, inspiré d’une histoire vraie dont les détails exacts restent flous (l’auteur s’est basé sur des récits historiques et des figures emblématiques de l’exploration arctique comme Fridtjof Nansen et Salomon August Andrée), il offre une immersion fascinante dans les paysages grandioses et hostiles du Grand Nord.

    La plume fluide et très immersive de Miller nous transporte efficacement dans l’univers de Sven, un personnage complexe et attachant. L’auteur parvient à créer une atmosphère captivante, où la nature sauvage devient un personnage à part entière, omniprésente et toute-puissante.

    Ce livre offre une lecture prenante et dépaysante. Les amateurs de récits d’aventure et de nature writing y trouveront leur compte, à condition d’être préparés à affronter certaines réalités brutales de la vie dans ces contrées reculées.

    Une odyssée qui ne peut pas laisser indifférent.

    Belle lecture à tous ! 

    ©Céline Huet-Amchin

    Note de l’éditeur (J’ai Lu) : 

    1916. Lassé de sa vie à Stockholm et d’un travail qui lui broie l’âme, le jeune Sven décide de rejoindre le Spitzberg pour assouvir son désir d’exploration. Là-bas, la nuit arctique règne en maîtresse. Les éléments et les animaux y sont aussi grandioses que mortels. Sven rencontre un géologue excentrique, un trappeur finlandais socialiste, un chien plus utile qu’il n’en a l’air et bien d’autres compagnons. Il assiste à la naissance d’un iceberg et apprend l’art de la chasse. Seul face à lui-même, il va explorer ses propres limites pour mieux retrouver la compagnie des hommes.
    Une bouleversante aventure, hymne à la nature, aux familles qu’on quitte, à celles qu’on se crée et à celles qui nous retrouvent, même au coeur de l’inhabitable.

  • « Bienvenue à la librairie Hyunam » de Hwang Bo-reum…

    « Bienvenue à la librairie Hyunam » de Hwang Bo-reum…

    Il est grand temps que je vous parle de mes derniers livres lus parce que j’ai pris du retard sur mon blog…

    Aujourd’hui, je vous emmène dans un voyage littéraire avec « Bienvenue à la librairie Hyunam« , un roman coréen qui a su me captiver dès les premières pages.

    Imaginez un lieu où les livres prennent vie, où chaque étagère recèle des trésors insoupçonnés, et où le parfum enivrant du papier se mêle à celui du café fraîchement moulu.
    C’est dans ce cadre enchanteur que l’auteur nous invite à découvrir la librairie Hyunam, un véritable havre de paix pour les amoureux des mots et de la caféine.

    Au cœur de cette histoire, nous suivons le parcours de plusieurs personnages, dont la passion (fleurissante parfois) pour les livres est contagieuse. La rencontre avec les clients (habitués ou juste de passage), chacun porteur d’une histoire unique, tisse une toile narrative riche en émotions.

    Au-delà de son intrigue, ce roman nous invite à réfléchir sur le rôle des livres dans nos vies. Comment peuvent-ils nous transformer, nous guérir, nous faire voyager ? Il y a également une réflexion des plus intéressantes sur le travail et le métier de libraire. L’auteur aborde ces questions avec finesse, sans jamais tomber dans le cliché et manie la plume afin de créer une véritable atmosphère où l’on se sent bien.

    « Bienvenue à la librairie Hyunam » est le genre de livre qui vous donne envie de vous blottir dans un fauteuil confortable avec une tasse de café (thé me concernant) fumante et de vous plonger dans ses pages pendant des heures.

    Si vous aimez les histoires qui célèbrent l’amour des livres et le pouvoir de la littérature, ce roman est fait pour vous. Il vous laissera avec une envie irrésistible d’aller rendre visite à votre libraire préféré…

    Belle lecture à tous ! 

    ©Céline Huet-Amchin

    Note de l’éditeur (éditions Picquier) : 

    Elle est entrée dans sa librairie. Elle se sentait bien ; son cœur se réjouissait, son corps entier se détendait, elle s’abandonnait au plaisir de retrouver son lieu de travail. La journée commençait.

    Quand certains ont imaginé le paradis comme une bibliothèque, d’autres choisiront sans hésiter une librairie. En garnissant les rayonnages de sa nouvelle librairie, Yeong-ju y met tout son cœur, comme si elle essayait, avec les livres, de renouer avec une amie perdue de vue depuis sa jeunesse. Elle répond aux demandes des lecteurs, même les plus surprenantes, elle cherche un livre pour dégeler le cœur et glisse parfois dans les volumes de petites notes de la taille d’une paume, qu’elle conclut par « ce roman m’a donné ce plaisir ».

    Elle découvre aussi le plaisir d’organiser des rencontres avec des écrivains, d’animer un club de lecture, d’accueillir un atelier d’écriture, de conseiller des livres avec la joie d’éteindre souvent des chagrins avec une heure de lecture. La librairie devient rapidement le cœur battant du petit quartier de Hyunam où se nouent des amitiés, des interrogations sincères sur le sens de la vie et le pouvoir des livres.

    Il y a à ses côtés le barista Min-jun, qui trie les grains de café comme les mauvaises pensées, Jimi la torréfactrice passionnée, sans compter les habitués qui ont élu domicile parmi les livres, comme Jeong-seo qui tricote des éponges en forme de pain de mie entre les bibliothèques.

    Une belle déclaration d’amour à la librairie.

     

  • « Créatures fantastiques » de Kiyash Monsef…

    « Créatures fantastiques » de Kiyash Monsef…

    À la mort de son père qui était vétérinaire la jeune Marjan se voit hériter de la clinique et des secrets qui enveloppaient le quotidien de ce dernier auprès de créatures sommes toutes peu ordinaires en ce qui concerne certaines…

    Avec ce livre Kiyash Monsef nous plonge au cœur d’un univers envoûtant et mystérieux. L’un des aspects les plus remarquables de ces pages réside dans la richesse de son bestiaire: des êtres mythiques, légendaires ou énigmatiques aux animaux un peu plus terrifiants, chaque rencontre est une invitation à l’émerveillement et à l’évasion. L’auteur parvient avec brio à insuffler une vie palpable à ces créatures, les dotant d’une profondeur et d’une complexité plus que fascinantes. Derrière cette façade fantastique se cache également une réflexion subtile sur la condition humaine et notre rapport au monde qui nous entoure. L’auteur explore les thèmes universels de la peur, du courage, de la quête de vérité et de la découverte de soi. Ainsi, au fil des rencontres, nous sommes amenés à nous interroger sur notre propre existence et sur les mystères qui jalonnent notre chemin.

    Un premier roman réussi !

    Pour les jeunes adultes et ceux qui, à un âge plus ou moins avancé, ont su garder précieusement leur âme d’enfant.

    Belle lecture à tous ! 

    ©Céline Huet-Amchin

    Note de l’éditeur (De Saxus) : 

    Bienvenue dans un monde de créatures fantastiques, cachées à la vue de tous…
    Marjan ne pensait pas que les contes racontés par son père étaient réels… jusqu’à ce qu’elle se retrouve nez à nez avec un griffon blessé dans un manoir anglais. On lui annonce alors que son père, récemment assassiné, n’était pas un vétérinaire ordinaire : il veillait sur les créatures fantastiques, cachées à l’insu des humains.
    Sous le choc, Marjan apprend qu’elle doit prendre sa place. Mais plus elle soigne ces animaux particuliers, plus elle se rapproche d’une vérité dérangeante…

  • « Encabanée » de Gabrielle Filteau-Chiba…

    « Encabanée » de Gabrielle Filteau-Chiba…

    Vous aussi vous en avez assez de votre vie urbaine étriquée de plus en plus déplaisante au quotidien ?

    Imaginez : vous vivez à Montréal, vous prenez le strict minimum et vous partez au fin fond du Kamouraska. Là, à -40°, dans votre petite cabane en bois chauffée au feu de bois que vous coupez vous-même (parfois à vos risques et périls), vous réfléchissez à la nature qui vous entoure et vous couchez dans des petits carnets toutes vos pensées… C’est ce que vous propose Anouk ! 

    “Encabanée” est une petite merveille littéraire comme je les aime ! Dès les premières lignes vous voyagez. Son écriture, sa poésie, son humour.. Je vous promets que ces 110 pages, vous allez les adorer !

    Si comme moi vous aviez beaucoup aimé Dans les forêts de Sibérie de Sylvain Tesson, partez cette fois au Canada !

    Ode à la nature et à notre rapport avec elle, vous serez conquis par cette quête écologique qui démarre. Ce livre est en effet le tout premier d’une trilogie : vous attendent également “Sauvagines” et “Bivouac” que personnellement je ne vais manquer de lire pour rien au monde. 

    Belle lecture à tous ! 

    ©Céline Huet-Amchin

    Note de l’éditeur (Folio) : 

    « Il n’y avait pas de mots assez souples et multicolores. Les couleurs de cette nuit blanche ont réveillé en moi une palette d’espérance, bien plus que tous les amants du monde. L’hiver me sembla chaque jour plus doux, plus lumineux, plus riche en apprentissages. »

    Lassée par un quotidien aliénant, Anouk quitte son appartement de Montréal pour une cabane abandonnée dans la région du Kamouraska, là où naissent les bélugas. « Encabanée » au milieu de l’hiver, elle apprend peu à peu les gestes pour subsister en pleine nature. La vie en autarcie à -40 °C est une aventure de tous les instants, un pari fou, un voyage intérieur aussi. Anouk se redécouvre. Mais sa solitude sera bientôt troublée par une rencontre inattendue…

     

  • « Mon mari » de Maud Ventura…

    « Mon mari » de Maud Ventura…

    Une femme parle de son mari, de son amour (complètement fou) pour lui, de son amour d’aimer et ce chaque jour de la semaine.
    Elle a bien évidemment tout pour être heureuse (enfin, aux yeux de certains): deux enfants, une magnifique maison, une destinée sociale assurée.
    Mais… 

    Ce livre est mon tout premier coup de coeur de la rentrée littéraire, et quel coup d’coeur ! 

    L’écrivain, dont j’ai adoré l’audace et le grain de folie, aurait pu être belge ou anglaise… Et bien non : elle est française ! (comme quoi certains savent faire)
    Un humour truculent à souhait, des questionnements irrésistibles, un épilogue tout simplement génial… Il n’y a absolument rien à jeter.

    Un premier roman original des plus réussis. Ne passez pas à côté et laissez-vous vite tenter ! 

    Belle lecture à tous !

    “Les souvenirs amoureux ne tombent pas du ciel.
    Il faut bien que l’un de nous deux se dévoue pour les fabriquer.”

    ©Céline Huet-Amchin

    Autre roman à lire de l’auteur : « Célèbre« .

    Note de l’éditeur (L’Iconoclaste) : 

    « C’est une femme toujours amoureuse de son mari après quinze ans de vie commune. Ils forment un parfait couple de quadragénaires : deux enfants, une grande maison, la réussite sociale. Mais sous cet apparent bonheur conjugal, elle nourrit une passion exclusive à son égard. Cette beauté froide est le feu sous la glace. Lui semble se satisfaire d’une relation apaisée : ses baisers sont rapides, et le corps nu de sa femme ne l’émeut plus. Pour se prouver que son mari ne l’aime plus – ou pas assez – cette épouse se met à épier chacun de ses gestes comme autant de signes de désamour. Du lundi au dimanche, elle note méthodiquement ses « fautes », les peines à lui infliger, les pièges à lui tendre, elle le trompe pour le tester. Face aux autres femmes qui lui semblent toujours plus belles, il lui faut être la plus soignée, la plus parfaite, la plus désirable.
    On rit, on s’effraie, on se projette et l’on ne sait sur quoi va déboucher ce face-à-face conjugal tant la tension monte à chaque page. Un premier roman extrêmement original et dérangeant. »

  • « Chasseurs de livres » de Jennifer Chambliss Bertman…

    « Chasseurs de livres » de Jennifer Chambliss Bertman…

    Imaginez un jeu grandeur nature où vous cachez des livres lus dans un lieu public, où vous postez des énigmes et des indices sur un site dédié (Book Scavenger) afin de mettre les autres joueurs sur la voie , où vous gagnez des points pour monter en grade (niveau initial  Encyclopedia Brown, puis Alice Roy, Sam Spade, Miss Marple, Auguste Dupin et enfin Sherlock Holmes) afin de débloquer des bonus, des messages secrets, des jeux, de faire des achats sur la boutique des éditions Bayside… 

    Embarquez dans les aventures d’Émily (fraîchement arrivée à San Francisco) et de ses amis, orchestrées d’une main de maître par M. Garrison Griswold. Mais lorsque ce dernier est agressé, les joueurs se retrouvent-ils vraiment dans une nouvelle chasse livresque ou dans quelque chose de bien plus dangereux ?

    Premier roman à succès de l’écrivain. Vivement le second tome !
    Un livre qui se dévore, que vous ayez 12 ans ou (bien) plus…  😉
    Belle lecture à tous ! 

    ©Céline Huet-Amchin

    Note de l’éditeur (PKJ) : 

    « Émily est une passionnée de la Chasse aux livres, un jeu qui consiste à décrypter des messages codés pour trouver l’emplacement de livres cachés. Mais alors qu’elle emménage avec ses parents à San Francisco, patrie de la Chasse aux livres, elle apprend que le créateur du jeu, M. Griswold, a été agressé juste avant de lancer une nouvelle quête livresque d’une ampleur inédite. À elle et à ses amis de jouer !

    Le premier tome d’une série pour tous les amoureux des livres et des énigmes.

    Un best-seller aux États-Unis depuis sa parution. »

  • « Le gardien des choses perdues » de Ruth Hogan…

    « Le gardien des choses perdues » de Ruth Hogan…

    Le titre est magnifique et la couverture à tomber.
    C’est ce qui a fait que je me le suis offert et grand bien m’en a pris !

    Un vieil homme lègue à sa fidèle assistante sa maison et tous les trésors qu’elle contient à savoir des objets perdus dont elle devra retrouver les propriétaires, ce qu’il s’était promis de son vivant. 

    Ce livre au doux parfum anglais, littéraire, poétique et théiné a su me séduire et me conquérir dès les premières pages !
    Les personnages sont très bien brossés et la construction typiquement anglo-saxonne : deux histoires se côtoient pour se rejoindre au moment propice correspondant au dénouement de l’histoire. 

    Premier roman de très belle facture, Ruth Hogan plonge le lecteur dans une atmosphère qui fait du bien, assurément.

    Belle lecture à tous ! (avec une excellente tasse d’Earl Grey of course)

    ©Céline Huet-Amchin

    Note de l’éditeur (Babel) : 

    « Parce qu’il a égaré le médaillon que sa fiancée adorée, trop tôt disparue, lui avait confié, rompant ainsi la seule promesse qu’elle lui ait jamais demandé de tenir, Anthony Peardew a passé la moitié de sa vie à collecter les objets trouvés au hasard de ses promenades, dans l’espoir de pouvoir un jour les restituer à leurs propriétaires.

    Désormais âgé de soixante-dix-neuf ans, le vieil homme décide de léguer sa demeure victorienne et les “trésors” qu’elle recèle à sa fidèle assistante Laura, qu’il pense être la seule à même d’accomplir la mission qu’il s’est donnée. En exprimant ses dernières volontés, il est loin de se douter de leurs répercussions et de l’heureuse suite de rencontres qu’elles vont provoquer…

    Histoire d’amour et de rédemption, Le Gardien des choses perdues célèbre la magie des objets, le sens qu’ils donnent à nos vies et les liens inattendus qui nous unissent aux autres. Un premier roman enchanteur, à l’humour et au charme irrésistiblement british. »

  • « La fabrique des poupées » d’Elizabeth MacNeal…

    « La fabrique des poupées » d’Elizabeth MacNeal…

    Voici mon nouveau coup de coeur en tant que tueuse en série de livres infiltrée en librairie ! 😉

    1850, à Londres. Silas et Iris se croisent lors de l’Exposition universelle au Crystal Palace. Il est taxidermiste, elle est employée dans un magasin de poupées mais rêve de devenir peintre. Entre dans le tableau Louis Frost, jeune artiste préraphaélite. Iris devient son modèle à la condition qu’il lui enseigne son art. Leur relation se construit au fil des pages pour s’épanouir pleinement. Mais dans l’ombre Silas n’a qu’une idée en tête depuis sa rencontre avec Iris : la posséder ! 

    L’apprentissage de la liberté, l’épanouissement et la réalisation de soi-même, les désirs contrariés, la solitude, la jalousie, la dépendance aussi… voici tout ce que nous propose Elizabeth MacNeal dans ce premier roman fort réussi ! 

    Nous nous attachons dès les premières pages aux personnages principaux et secondaires. Nous sommes happés par l’intrigue qui flirte avec les codes du thriller grâce à Silas, être ambigu et mystérieux. Le lecteur est  immergé dans le Londres victorien où la place de la femme dans l’Art et la condition féminine de l’époque sont très bien décrits. 

    Si vous aimez Dickens avec un soupçon de Süskind, l’atmosphère anglaise, artistique et énigmatique, ce livre à la couverture sublime est pour vous ! 

    ©Céline Huet-Amchin

    Note de l’éditeur (Presses de la Cité) : 

    « Londres, 1850. L’Exposition universelle va bientôt ouvrir ses portes dans le tout nouveau Crystal Palace, et les badauds se pressent pour venir admirer cette merveille. Parmi eux, Iris, modeste employée dans un magasin de poupées, à la beauté mâtinée de difformité, qui rêve de devenir artiste peintre. Et puis il y a Silas, taxidermiste amateur de macabre et de curiosités, désireux d’y exposer ses créatures. Ces deux-là se croisent, et leurs destins en seront à jamais bouleversés. Iris accepte bientôt de poser pour Louis Frost, un jeune peintre préraphaélite. Avec lui, le champ des possibles s’élargit, et le modèle, avide de liberté, découvre peu à peu l’art et l’amour. Mais c’est compter sans Silas, qui rôde non loin de là, tapi dans l’ombre, et n’a qu’une idée : faire sienne celle qui occupe toutes ses pensées, jusqu’à l’obsession…

    Campée dans un Londres à la Dickens, La Fabrique de poupées met en scène la détermination d’une femme à s’affranchir de sa condition. C’est aussi un conte cruel, raffiné et résolument moderne, au suspense maîtrisé, qui explore avec une précision chirurgicale les frontières entre l’amour, le désir et la possession. »

  • « Mama Red » de Bren McClain…

    « Mama Red » de Bren McClain…

    Mama Red, c’est un livre à la fois original, percutant et émouvant, écrit avec le coeur…

    Mama Red, c’est le pari fou de se pencher sur la relation Homme-Animal, de mettre en parallèle des thèmes forts et variés : vache et attachement maternel, vache et masculinité, vache et violence, vache et pauvreté, vache et religion…

    Mama Red, c’est le premier roman de Bren McClain, écrivain américain, qui porte en elle une humanité tellement profonde qu’elle saura vous toucher.

    Mama Red existe. Elle coule des jours paisibles quelque part en Caroline du Sud et j’ai trop envie d’aller lui parler…

    Mama Red paraît aujourd’hui.
    Lisez-le et vous comprendrez !

    ©Céline Huet-Amchin

    Note de l’éditeur (Le nouveau pont) : 

    « Dans sa ferme de Caroline du Sud, Sarah élève seule un garçon qui n’est pas le sien. Veuve et sans le sou, elle craint de ne pas avoir l’instinct maternel nécessaire. Quand elle apprend qu’un garçon a gagné 680$ à la foire au bétail de 1951 grâce à un bœuf, elle inscrit son fils au concours et se procure un veau. La nuit suivante, à plusieurs kilomètres de là, la mère du veau brise sa clôture de barbelés et parvient à le rejoindre. Sarah décide de garder la vache, la baptise Mama Red et commence à observer les leçons d’amour maternel de l’animal. L’éleveur Luther Dobbins a lui aussi inscrit son fils au concours. Prêt à tout pour gagner, il inculque à son fils des valeurs viriles. N’est-il pourtant pas plus tendre, à l’intérieur ? Et qui se soucie du moment où ces petits garçons seront confrontés au destin ultime de leur animal ? Enhardie par son instinct maternel naissant, Sarah se destine elle aussi à la victoire. Mais sont-ils vraiment prêts à en assumer les conséquences ? » 

    Un GRAND MERCI à Léa (livre lu dans le cadre du Picabo River Book Club) et à toute la formidable équipe de la maison d’édition Le nouveau pont. La soirée d’hier restera assurément dans ma mémoire.