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  • “Les bouées jaunes” de Serge Toubiana…

    “Les bouées jaunes” de Serge Toubiana…

    “Ecrire pour être à ses côtés
    et prolonger le bonheur d’avoir vécu auprès d’elle.
    Ecrire pour combler le vide, l’absence.
    Pour raconter le film de sa vie.
    Et faire en sorte qu’il ne soit jamais interrompu.”

    Cet homme m’avait émue jusqu’aux larmes lors de la présentation de “L’hiver Littéraire des Editions Stock”  le 23 janvier dernier.
    Il me tardait de me plonger dans ses lignes.

    Se souvenir…
    Se raccrocher à ce que l’on peut…
    La voir ainsi revenir…
    La sentir vivante….
    Ce besoin viscéral, encore et pour toujours.

    Comment vivre l’absence ?
    Comment vivre sans son grand Amour ?

    Elle c’est Emmanuèle Bernheim, romancière, essayiste et scénariste.
    Lui c’est Serge Toubiana, journaliste et critique de cinéma.

    Le Cinéma donc.
    L’Art aussi.
    Et la Littérature, qui les réunit désormais à jamais.

    Le portrait d’une femme remarquable se dégage, à tous points de vue.
    Une femme que l’on aurait aimé connaître et que l’on a envie de découvrir par les écrits qu’elle a laissés.

    Un livre d’une élégance folle. A la fois digne, émouvant et bouleversant.
    Le livre d’un homme qui a aimé une femme. Eperdument.

    Et une transmission précieuse : “Profiter de tout, jusqu’au dernier instant.”

    Très belle lecture à tous !

    Note de l’éditeur (Stock) :

    “Durant les derniers mois de sa vie, un thème motivait secrètement Emmanuèle, dont elle me parlait à peine. C’était trop intime, difficilement formulable, même entre nous. Un jour, elle me dit qu’elle désirait écrire sur le bonheur. J’ignore ce qu’aurait été ce livre et je donnerai cher pour le savoir. Cette question du bonheur la hantait, elle la plaçait au coeur de tout. Le simple fait de poser la question prouvait sa force de caractère et son incroyable sérénité. J’en étais bouleversé. “Et toi, tu vas tenir ?” Un homme écrit sur la femme qu’il a aimée et perdue. Emmanuèle Bernheim était un grand écrivain. Serge Toubiana raconte leurs vingt-huit ans de vie commune, dans un texte où la sobriété le dispute à l’émotion.”

  • “Les amants polyglottes” de Lina Wolff…

    “Les amants polyglottes” de Lina Wolff…

    Je considère ce livre comme une espèce d’ovni olni qui risque de ne pas plaire à tout le monde.
    Personnellement son originalité m’a sacrément titillée !

    L’humour est corrosif et la lecture parfois inconfortable.
    Mais la littérature sert aussi à cela : nous sortir de notre fameuse zone de confort.

    Trois personnages principaux…
    Va se tisser entre eux une relation aussi bizarre que nécessaire pour chacun étrangement…

    Nous sommes Ellinor : tout aussi dégoûtée que fascinée.
    Elle fait de nous des voyeurs parce que nous voulons savoir, comprendre, étudier, analyser le lien étrange qui se construit au fur et à mesure entre eux.
    Le lecteur est avalé dans l’étrange spirale qu’est leur relation si particulière.

    Des lignes qui m’ont fait penser dans le style à Amélie Nothomb et où l’on croise Michel Houellebecq.

    Je n’en dis pas plus.
    Vous me faites confiance ?

    Lina Wolff est une romancière et traductrice suédoise.
    Elle a remporté le Prix August en 2016 pour ce roman qui est son second.

    Note de l’éditeur (Gallimard) :

    “Ellinor, la trentaine bien entamée, sait charger un fusil et se battre au corps-à-corps. Autant dire que les hommes ne lui font pas peur. Pourtant, elle aimerait trouver l’amour. C’est sur un site de rencontres qu’elle fait la connaissance de Calisto, critique littéraire obèse et imprévisible. Il lui révèle avoir en sa possession un manuscrit – inédit, exceptionnel et rédigé par son auteur favori.
    Max, écrivain en panne, cherche lui aussi l’âme sœur, en même temps que l’inspiration. Selon ses critères, la femme idéale est polyglotte, comme lui, et dotée d’une forte poitrine, mais elle ne court pas les rues. Une réceptionniste rencontrée lors de ses errances littéraires le met sur la voie : il va écrire Les amants polyglottes, l’histoire familiale de Lucrezia, une aristocrate romaine ruinée.
    Le manuscrit, qui n’est autre que celui détenu par Calisto, va lier étroitement tous les personnages et leur faire subir les affres d’une fatalité semblant les observer en riant.”

    Un GRAND MERCI à C.D qui se reconnaîtra…

  • “Les tribulations d’un chinois en Chine” de Jules Verne…

    “Les tribulations d’un chinois en Chine” de Jules Verne…

    Jules Verne, j’en garde un souvenir particulièrement ému.
    Il fait écho à mon enfance parce qu’il a éveillé mon imaginaire comme personne et que j’ai enfin compris à plus de quarante ans  pourquoi j’adorais Harry Potter, Le Seigneur des anneaux, Star Wars… les films de Tim Burton et de Wes Anderson… mais également l’Art !

    Me replonger dans son univers et dans un des ses romans que je n’avais pas lu à l’époque m’a tout simplement ravie.
    Sans parler des illustrations qui sont magnifiques !

    Pour ceux qui me connaissent, mon choix final qui s’est porté sur “Les tribulations d’un chinois en Chine” dans le cadre du Reading Classics Challenge 2018 n’étonnera pas.
    L’Asie, encore et toujours !

    Une fois de plus la magie de cet écrivain hors norme a opéré comme il se doit.
    Il m’a complètement embarquée, baladée dans son histoire incroyable.

    Seule différence notable : mon expérience de lectrice m’a permis d’apprécier encore plus son écriture que j’ai trouvée fabuleuse.
    C’était un conteur né, de ceux que l’on n’oublie jamais…

    Belle lecture à tous !

    Note de l’éditeur (Le Livre de Poche) :

    “Le richissime Chinois Kin-Fo vient de se trouver soudainement ruiné. La vie, qui lui paraissait jusqu’alors insipide, lui devient insupportable. Il contracte une assurance-vie de 200 000 dollars en faveur de sa fiancée, Lé-ou, et du philosophe Wang, son mentor et ami, à qui il demande de le tuer dans un délai de deux mois, tout en lui remettant une lettre qui l’innocentera de ce meurtre.
    Avant le délai imparti, Kin-Fo recouvre sa fortune, doublée. Il n’est plus question pour lui de renoncer à la vie. Mais Wang a disparu avec la lettre et il n’est pas homme à rompre une promesse ! Voilà donc Kin-Fo condamné à mort, par ses propres soins !
    Une seule ressource : retrouver Wang. Et Kin-Fo de se lancer dans le plus haletant des périples au pays du Céleste Empire.
    Récit alerte à l’intrigue parfaitement menée, Les Tribulations d’un Chinois en Chine est un des joyaux des « Voyages extraordinaires » du grand Jules Verne.”

    Illustrations de l’édition originale Hetzel.

  • « La désertion » d’Emmanuelle Lambert…

    « La désertion » d’Emmanuelle Lambert…

    Ce roman, j’aurais aimé l’aimer.

    Lorsque Valentine Layet de chez Stock en a parlé sur Instagram avant sa parution, je me disais que ce livre (voyageur : fabuleux concept au passage qui m’a fait découvrir le blog Books, moods and more et Sonia que je vais rencontrer en vrai demain -trop contente je suis !-) était écrit « pour moi » : un mystère instauré par un titre prometteur , le sujet (une disparition)…

    Si j’ai trouvé l’écriture intéressante à plusieurs titres, l’histoire en elle-même m’a hélas laissée complètement sur le côté.
    J’avoue m’être quelque peu perdue dans les témoignages et l’espace spacio-temporel…

    Même si ce n’est pas du tout mon genre dans l’absolu je retentirai certainement sa lecture.
    Parce qu’un livre qui dérange autant ne peut pas laisser indifférent !

    Note de l’éditeur (Stock) :

    « Le premier jour d’absence il était descendu à l’heure du déjeuner pour l’attendre dans le parc, caché derrière l’arbre d’où il observait la sortie de ses subordonnés. Il avait ensuite vérifié les registres de la badgeuse. Aucune trace d’elle. » Un jour, Eva Silber disparaît volontairement. Pourquoi a-telle abandonné son métier, ses amis, son compagnon, sans aucune explication ? Tandis que, tour à tour, ses proches se souviennent, le fait divers glisse vers un récit inquiétant, un roman-enquête imprévisible à la recherche de la disparue.

  • “La Princesse de Montpensier” de Madame de Lafayette…

    “La Princesse de Montpensier” de Madame de Lafayette…

    Se replonger dans les Classiques grâce au Reading Classics Challenge 2018 fait du bien, beaucoup de bien !

    Tout d’abord côté écriture : retrouver les belles Lettres de naguère bien qu’un tant soit peu surannées est un vrai bonheur. Vraiment ! Je regrette que notre si belle langue se fracasse un peu trop sur l’autel de la rue et des dérives contemporaines. Il ne faut pas jamais l’oublier, il faut absolument la faire perdurer.
    Ensuite côté Histoire : se frotter de nouveau à celle de France est une bonne piqure de rappel. On oublie malheureusement vite les faits que l’on ne côtoie plus assez. Même si Madame de Lafayette prend quelques libertés non négligeables.

    Cette lecture m’a remémorée certains souvenirs. Toujours présents. Parfois un peu douloureux même si je ne regrette rien concernant mon parcours.
    Fût un temps je caressais l’espoir d’aller étudier les Lettres Classiques à la Sorbonne (où j’avais été prise) pour devenir Professeur. Je ferai finalement mon Droit…

    Nouvelle qui date de 1662, on y croise outre la Princesse le Duc de Guise, le Comte de Chabannes, le Duc d’Anjou et j’en passe…
    Elle relate le destin tragique de Mademoiselle de Mézières sur fonds de passions, de devoirs, de rivalités politiques…

    Belle lecture à tous !

    Note de l’éditeur (Livre de Poche) :

    “A la fin de la Renaissance, le duc de Guise s’éprend de Mlle de Mézières. Mais bien qu’elle l’aime aussi, la jeune fille est contrainte d’épouser le prince de Montpensier. Trois ans plus tard, un jour qu’il a perdu son chemin près du château de la princesse, le duc la rencontre au bord d’une rivière où elle est venue se reposer : elle rougit à sa vue, et lui-même comprend aussitôt que sa propre passion n’est pas morte.”

  • « Fugitive parce que Reine » de Violaine Huisman…

    « Fugitive parce que Reine » de Violaine Huisman…

    Hier a paru aux Editions Gallimard un très bon premier roman : « Fugitive parce que Reine » de Violaine Huisman que j’ai eu la chance de pouvoir lire avant (merci à C.D qui se reconnaîtra).

    Dès sa réception (surprise), j’ai trouvé d’emblée le titre de bonne augure parce que très beau.

    « Une fois qu’un être s’est compris lui-même,
    il peut comprendre tous les humains » 

    Et dès l’entrée dans les lignes, j’ai su très vite que c’était un livre qui allait (me) marquer…

    Non seulement par l’histoire (l’amour maternel quoi qu’il arrive, quoi qu’il est dit et l’amour filial malgré les imperfections de cette mère parce qu’elle fait de son mieux : deux amours permanents, constants, inconditionnels) mais aussi par la construction que j’ai trouvée originale (point de vue des filles, biographie de la mère puis la mort de celle-ci) et l’écriture (aussi douce et bienveillante que « brut de décoffrage »).

    Portrait d’une femme aussi beau que tragique,  mère aimée adorée à qui  l’on pardonne tout, ce roman ne pourra pas vous laisser indifférent de par ces qualités indéniables et je prédis à ce nouvel écrivain un bel avenir.

    « Maman !
    Je t’aime, maman chérie !
    Je t’aime à la folie pour toute la vie et pour l’éternité du monde entier. »

    Belle lecture à tous !

    Note de l’éditeur (Gallimard) :

    « Maman était une force de la nature et elle avait une patience très limitée pour les jérémiades de gamines douillettes. Nos plaies, elle les désinfectait à l’alcool à 90 °, le Mercurochrome apparemment était pour les enfants gâtés. Et puis il y avait l’éther, dans ce flacon d’un bleu céruléen comme la sphère vespérale. Cette couleur était la sienne, cette profondeur du bleu sombre où se perd le coup de poing lancé contre Dieu.»

    Ce premier roman raconte l’amour inconditionnel liant une mère à ses filles, malgré ses fêlures et sa défaillance. Mais l’écriture poétique et sulfureuse de Violaine Huisman porte aussi la voix déchirante d’une femme, une femme avant tout, qui n’a jamais cessé d’affirmer son droit à une vie rêvée, à la liberté.

  • « 4 3 2 1 » de Paul Auster…

    « 4 3 2 1 » de Paul Auster…

    Alors alors, que vaut le dernier Paul Auster ?

    Tout d’abord, il faut que vous sachiez deux choses importantes sur « 4 3 2 1 » :
    – il pèse 1,259 kg ! Oui, oui, vous avez bien lu… Au début je l’ai promené avec moi dans les transports mais franchement là, et ce n’est pas dans mes habitudes, je vous recommande de le prendre en ebook sur liseuse parce qu’il est lourd et ce même pour chez soi sur le canapé.
    – il comporte 1 016 pages ! Oui, oui, vous avez bien lu aussi… Pour ceux qui aiment se plonger dans plusieurs ouvrages à la fois ou qui pensent s’arrêter pour faire autre chose, je vous le déconseille. Ce qui fait l’essence même de ce roman fait qu’il vaut mieux se l’enfiler d’une traite au risque de ne plus savoir qui on est ni où on crèche ! Alors préparez vos yeux et votre tête en conséquence. Perso, cela m’a pris le week-end mais j’étais motivée par la rencontre de samedi.
    Et puis la nouvelle sélection des livres du Grand Prix des Lectrices ELLE 2018 va me parvenir donc, je n’avais pas trop le choix pour ne pas prendre de retard…

    Et donc et donc…….. sinon ?

    Cela faisait sept ans que l’écrivain n’avait rien proposé à ses lecteurs.
    Avec ce quinzième roman, nul doute qu’il fait un retour remarqué !

    Que serait devenue votre vie si … ?

    Voici la question que pose ce livre.

    L’écrivain nous propose quatre versions de la vie d’Archibald sur quatre périodes différences, ponctuées toutefois de quelques éléments persistants (Amy, l’écriture…).

    1.0
    1.1
    1.2
    1.3
    1.4

    Ou comment une circonstance, complètement anodine, peut bouleverser une existence…

    A quel point cela ressemble à Paul Auster lui-même ?
    Nous sommes en droit de nous poser la question laquelle, je l’espère, sera abordée à La Grande Librairie jeudi soir ou lors de la rencontre orchestrée par François Busnel à laquelle je vais assister samedi au Théâtre du Rond-Point.

    Ce livre m’a fait penser à un film que j’avais beaucoup aimé et qui m’avait marquée en son temps (1998) : « Sliding Doors » (« Pile et face » en français).
    On peut aussi faire un parallèle (sans doute facile mais pas si idiot que ça à la réflexion à mon avis) avec un autre film que j’adore : « Forrest Gump ».
    Pourquoi ? Eh bien lisez-le et vous comprendrez certainement à quoi je fais allusion !

    Je suis loin d’avoir découvert toute l’oeuvre de l’écrivain.
    En revanche je peux affirmer et je pense que je ne serai pas la seule à le dire que c’est un roman qui marquera par la force littéraire qui s’en dégage tant du point de l’histoire que de la construction et de l’écriture.

    Belle lecture à tous !

    NDLR. Une autre façon de le lire (ou de le relire) ? Vous pouvez vous plonger dans chacune des quatre histoires de manière séparée (la mention des chapitres vous permet de le faire de cette façon).

    Note de l’éditeur (Actes Sud) :

    À en croire la légende familiale, le grand-père nommé Isaac Reznikoff quitta un jour à pied sa ville natale de Minsk avec cent roubles cousus dans la doublure de sa veste, passa Varsovie puis Berlin, atteignit Ham- bourg et s’embarqua sur l’Impératrice de Chine qui franchit l’Atlantique en essuyant plusieurs tempêtes, puis jeta l’ancre dans le port de New York au tout premier jour du XXe siècle. À Ellis Island, par une de ces bifurcations du destin chères à l’auteur, le nouvel arrivant fut rebaptisé Ferguson. Dès lors, en quatre variations biographiques qui se conjuguent, Paul Auster décline les parcours des quatre possibilités du petit-fils de l’immigrant. Quatre trajectoires pour un seul personnage, quatre répliques de Ferguson qui traversent d’un même mouvement l’histoire américaine des fifties et des sixties. Quatre contemporains de Paul Auster lui-même, dont le “maître de Brooklyn” arpente les existences avec l’irrésistible plaisir de raconter qui fait de lui l’un des plus fameux romanciers de notre temps.

    En France, toutes les livres de Paul Auster sont édités chez Actes Sud.

    A noter l’admirable traduction par Gérard Meudal.

  • « Les petites cellules grises »

    « Les petites cellules grises »

    Je me suis offert ce livre sur les bons conseils de la journaliste littéraire et cinéma que j’adoooooooooooore suivre sur Instagram depuis un bon moment désormais, je veux parler de Nicky Depasse.

    Pour toutes celles et ceux qui, comme moi, sont des fans absolus d’Agatha Christie et d’Hercule Poirot en particulier…

    Une bien jolie édition pour des citations finement relevées qui donnent envie de se replonger dans toutes les enquêtes que le p’tit homme à moustache (que l’on ne présente plus) a résolu !

    Editions Livre de Poche

  • « Chacune de ses peurs » de Peter Swanson…

    « Chacune de ses peurs » de Peter Swanson…

    Peter Swanson, qui est une découverte pour moi (je ne l’avais jamais lu alors qu’il en est à son troisième), nous offre avec ce livre une intrigue psychologique haletante aux personnages bien plantés mêlant le passé et le présent et oscillant entre Londres et Boston.

    J’ai tout simplement passé un très bon moment et beaucoup aimé.
    Je vous le recommande vivement !

    Note de l’éditeur (Calman-Lévy noir) :

    Lorsque Corbin propose à Kate d’échanger leurs appartements respectifs de Boston et de Londres, Kate, récemment victime d’un ex à la jalousie pathologique, pense que cela l’aidera à remonter la pente et accepte avec joie la proposition de son cousin américain.Malheureusement, à peine arrivée, elle apprend qu’une Voisine, Audrey Marshall, a été assassinée. Troublée, elle se pose aussitôt des questions sur Corbin, d’autant qu’elle s’aperçoit rapidement que ce cousin, locataire fort sympathique au demeurant, se montre très énigmatique sur sa relation avec Audrey… Alors quand l’ex-petit ami de la victime l’accuse clairement à son tour, et que le mystérieux Corbin disparaît brusquement…

    Livre lu dans le cadre du Jury du Grand Prix des Lectrices ELLE 2018 dont je fais partie !