« Le livre qui ronronne » de Gilles Diederichs…

Ronronthérapie, chat-thérapie… C’est bien connu vivre à côté d’un petit félin nous fait du bien ! Encore plus lorsque nous prenons le temps de l’observer. Et s’il était un exemple à suivre ?

L’auteur qui est sophrologue, relaxologue et musicothérapeute revient sur les effets positifs des ronronnements qui sont prouvés scientifiquement. 
Quinze
 sont mentionnés (dont 5 à l’écoute) pour lâcher prise, accéder à la sagesse, être heureux… 
À lire pourquoi pas avant de se coucher (il favorisera l’endormissement), pour calmer un enfant un peu trop actif, etc. 
Un p’tit quiz ludique ponctue cette lecture :  « De quel type de chat êtes-vous le plus proche ? »

Adoptez-le sans hésiter et apprenez à ronronner ! 

©Céline Huet-Amchin

Note de l’éditeur (Larousse) : 

« Le chat nous fait du bien et est devenu un modèle de zénitude et de pensée positive. Il est démontré scientifiquement que son ronronnement a des effets apaisants sur l’homme, stimule les cellules osseuses, masse les muscles et soulage les difficultés respiratoires… la ronronthérapie est née ! Mais ce livre va plus loin encore, en explorant les mystérieux mécanismes du ronronnement et ses vertus thérapeutiques sur notre bien-être physique, mais aussi mental. »

« Bretzel & beurre salé » de Margot et Jean Le Moal…

Cathie Wald pensait vraiment couler des jours tranquilles en s’installant en Bretagne. Un matin elle descend se baigner et découvre avec stupeur un nouveau corps ! Il n’en faut pas moins pour que certains se disent que depuis l’arrivée de la charmante quinqua alsacienne il se passe des choses vraiment incroyables dans ce paisible (tout du moins en principe) coin breton… 

Et c’est reparti pour un tour : retrouvailles avec les embruns de Locmaria, la pointe de Kerbrat, Cathie, Yann et tous les habitants du village dans le cadre d’un nouveau meurtre et donc d’une nouvelle enquête made in Breizh !

Un second opus que vous dévorerez jusqu’à la dernière page !
Une lecture toujours aussi agréable et efficace que je vous recommande vivement.

©Céline Huet-Amchin

Note de l’éditeur (Calmann Lévy) : 

« Locmaria, tranquille petite station balnéaire ? Cathie Wald commence sérieusement à en douter quand elle découvre sur la plage proche de sa maison un cadavre rejeté par la mer.

Il n’en faut pas plus pour relancer les rumeurs les plus folles à propos de notre joyeuse quinquagénaire : après tout, avant l’arrivée de Cathie il n’y avait jamais eu de mort suspecte ici. De plus, n’est-il pas curieux que son arrivée coïncide avec un tout nouveau trafic de drogue ?
Et voilà la machine à ragots qui s’emballe.
Quand les forces de l’ordre arrêtent un proche de Cathie et qu’elle-même subit des menaces, elle n’a plus d’autre choix que d’enquêter. Aidée par des amies enthousiastes et par Yann, le journaliste secrètement amoureux d’elle, elle va affronter des ennemis sans scrupule. Et leur montrer que rien ne peut faire plier une Alsacienne à la tête d’une troupe de Bretons ! »

« 1991 » de Franck Thilliez…

Tout jeune inspecteur de police, Franck Sharko débarque au mythique 36 Quai des Orfèvres.  Ses débuts aux archives pour reprendre une ancienne affaire va le mener dans une enquête de bien plus grande envergure… 

Pour les fans, la toute première enquête de Sharko qui nous immerge avec brio dans les années 90 !
Pour ceux qui ne se sont pas encore plongés dans tous les précédents livres de Franck Thilliez, c’est une superbe porte d’entrée ! 

Une fois commencée la première page, vous dévorerez le livre jusqu’au dénouement final. Inutile de résister je vous promets que vous ne le lâcherez pas ! C’est une lecture complètement addictive que nous propose encore une fois cet écrivain de polars qui fait partie de mes chouchous.

Belle lecture ! 

 

©Céline Huet-Amchin

Note de l’éditeur (Fleuve noir) : 

« En décembre 1991, quand Franck Sharko, tout juste sorti de l’école des inspecteurs, débarque au 36 quai des Orfèvres, on le conduit aux archives où il est chargé de reprendre l’affaire des Disparues du Sud parisien. L’état des lieux est simple : entre 1986 et 1989, trois femmes ont été enlevées, puis retrouvées dans des champs, violées et frappées de multiples coups de couteau. Depuis, malgré des centaines de convocations, de nuits blanches, de procès-verbaux, le prédateur court toujours.
Sharko consacre tout son temps à ce dossier, jusqu’à ce soir où un homme paniqué frappe à la porte du 36. Il vient d’entrer en possession d’une photo figurant une femme couchée dans un lit, les mains attachées aux montants, la tête enfoncée dans un sac. Une photo derrière laquelle a été notée une adresse, et qui va entraîner le jeune inspecteur dans une enquête qui dépassera tout ce qu’il a pu imaginer… »

« Bal tragique à Windsor » de S.J. Bennett

La Reine reçoit au Château de Windsor. À la suite d’une soirée, le corps d’un pianiste russe est retrouvé dans une des chambres. Pendu dans un placard. OH MY DEAR! Et il y  a pire : il est (pratiquement) nu.  SHOCKING! (à en faire tomber sa cup of tea) Ni une ni deux The Queen herself, à l’aube de ses 90 printemps, décide de prendre en main l’enquête à sa façon… 

L’histoire de ce livre truffé d’humour so british est tellement efficace que le lecteur s’en délecte de manière complètement décomplexée.
Cerise sur le muffin : on a même l’impression au fil de sa lecture de rentrer dans l’intimité de cette famille royale qui nous fascine tant. 

C’est le premier tome d’une série cosy mystery intitulée « Sa majesté mène l’enquête ».
Il est totalement irrésistible.
Vivement le second tome ! 

Belle lecture à tous !

©Céline Huet-Amchin

Note de l’éditeur (Les Presses de la Cité) : 

« Retrouvez Elizabeth II dans une nouvelle série de cosy crimes : «Sa Majesté mène l’enquête»
Quand Miss Marple rencontre The Crown !
 
Windsor, printemps 2016. La reine Elizabeth II s’apprête à célébrer ses 90 ans et attend avec impatience la visite du couple Obama. Mais au lendemain d’une soirée dansante au château, un pianiste russe est découvert pendu dans le placard de sa chambre, quasiment nu.Shocking!
Lorsque les enquêteurs commencent à soupçonner son personnel d’être impliqué dans cette sordide affaire, Sa Majesté, persuadée qu’ils font fausse route, décide de prendre les choses en main. Mais être reine a ses inconvénients, et notamment celui de ne pas passer inaperçue. C’est donc Rozie, sa secrétaire particulière adjointe, qui va l’aider à démêler ce sac de noeuds… God save the Queen du cosy crime ! »

« La claque » de Nicolas Robin…

La violence part souvent d’une « simple » claque. Puis elle s’infiltre dans le quotidien, insidieusement… 

Avec toute la sensibilité qui le caractérise, Nicolas Robin s’empare d’un sujet ô combien délicat et à contre-courant : les agressions conjugales subies par un homme de la part de sa compagne. Des voix que nous entendons peu… 
Il dissèque avec beaucoup de justesse et d’intelligence le processus implacable et croissant des sévices infligés, les émotions qui en découlent et fait de la honte un des problèmes à combattre.
L’emploi du « tu » que j’ai trouvé fort à propos met le lecteur au coeur même de l’histoire. 

Dans cette société aux multiples dérives ultra féministes mais sans jamais mettre dos à dos les différents combats, « La claque » est un livre éloquent et nécessaire, à lire absolument ! 

©Céline Huet-Amchin

Note de l’éditeur (éditions Anne Carrière) : 

Jean-Michel est très heureux, en apparence : il a une femme brillante, un enfant éveillé, une belle carrière dans l’immobilier. Pourtant, ce bonheur est illusoire. Les bleus sur sa joue pourraient être imputables à un mauvais coup au rugby. S’il n’ose pas en parler, c’est parce que la vérité est dérangeante. Un homme battu, c’est le déshonneur, mais battu par sa femme, c’est l’extrême soumission, la castration au ciseau à bois. Jean-Mi endure les gifles et reste avec sa femme, jusqu’au jour où une rencontre improbable lui ouvre les yeux sur sa vie de couple. « La violence est apparue incolore, insidieuse, avant d’éclabousser nos murs. D’abord une remarque désobligeante, ensuite des reproches, puis des gifles distribuées entre mes manquements et mes oublis. Je croyais que ce serait passager, que tu allais redevenir comme avant. Et plus tard, un coup de pied, un cendrier lancé à la figure. Tu me cognes pour canaliser la tempête qui prend toute la place dans ta tête. Parce que c’était plus qu’une claque, Marylène, c’était l’hôpital et des points de suture. Une gueule de mec brisé. »