Étiquette : Feel Good & Romances

  • « La vie n’est pas un roman de Susan Cooper » de Stéphane Carlier…

    « La vie n’est pas un roman de Susan Cooper » de Stéphane Carlier…

    Imaginez… Vous êtes un écrivain de polars et de thrillers à succès. Un jour, en lisant vos messages sur Instagram, une personne vous écris en vous disant : “Je l’ai tué, aidez-moi s’il vous plaît.” 

    Et voici le début de l’histoire dans laquelle Stéphane Carlier nous invite à nous plonger avec son nouveau roman ! 

    L’écrivain a décidément le don de nous faire apprécier ses personnages et tout ce qui leur arrive, de nous faire rire… Impossible de nous ennuyer ne serait-ce qu’un instant et du coup nous n’avons de cesse de vouloir tourner les pages pour connaître tout ce qu’il va advenir.

    Un véritable plaisir de retrouver cet auteur découvert avec « Clara lit Proust » ! Je vais forcément continuer dans ma lancée, sans oublier toutefois les autres livres qui m’attendent. 

    Belle lecture à tous !

    ©Céline Huet-Amchin

    Note de l’éditeur (Le Cherche Midi) : 

    « Je l’ai tué, aidez-moi s’il vous plaît. » 
     
    Susan Cooper, romancière britannique établie à Paris, écrit des polars lus dans le monde entier. Alors qu’elle s’apprête à se rendre au Salon du livre de Monaco, une jeune femme qu’elle ne connaît pas la contacte via Instagram et lui annonce qu’elle a tué un homme quelques heures plus tôt. Que répondre à cet étrange message ? D’ailleurs, faut-il y répondre ? Le plus sage serait sans doute de l’ignorer. Mais, c’est bien connu, les écrivains sont par nature des gens curieux…
     
    À la fois polar et comédie, précis d’humour anglais et manuel à l’usage des romanciers en herbe, La vie n’est pas un roman de Susan Cooper s’amuse des rapports entre la fiction et la réalité tout en déployant une intrigue sans temps mort qui le rend impossible à lâcher.

  • « Clara lit Proust » de Stéphane Carlier…

    « Clara lit Proust » de Stéphane Carlier…

    Un client oublie son livre chez un coiffeur… Marcel Proust va entrer dans la vie de Clara, et elle ne s’y attendait pas, mais alors pas du tout !

    JU.BI.LA.TOIRE.

    Cette lecture avalée en 2h est tout simplement irrésistible et m’a fait beaucoup rire. Que vous aimiez Proust ou pas peu importe. Et si vous faites partie de celles et ceux qu’il insupporte je prends le pari que vous allez tout de même adorer ce roman! Peut-être même que vous changerez d’avis au final le concernant… 

    Paru aux éditions Gallimard en 2022, j’étais complètement passée à côté de ce livre qui mérite vraiment le détour. À peine refermé je le conseille déjà vivement.

    Belle lecture à tous ! 

    ©Céline Huet-Amchin

    Note de l’éditeur (Folio) : 

    « À la lecture de ces pages, quelque chose d’un peu magique s’est passé qui, pour la première fois, lui a laissé penser que les livres pouvaient être meilleurs que la vie. »

    Clara est coiffeuse dans une petite ville de Saône-et-Loire. Son quotidien, c’est une patronne mélancolique, un copain beau comme un prince de Disney, un chat qui ne se laisse pas caresser. Le temps passe au rythme des histoires du salon et des tubes diffusés par Nostalgie, jusqu’au jour où Clara rencontre l’homme qui va changer sa vie : Marcel Proust.

  • « La petite librairie de Riverside Drive » de Frida Skybäck…

    « La petite librairie de Riverside Drive » de Frida Skybäck…

    Jeune veuve suédoise Charlotte débarque à Londres afin d’hériter d’une librairie : celle de sa tante Sara. Si elle vient dans l’optique de la revendre, c’est sans compter sur les deux salariés Martinique et Sam, William un écrivain en résidence et Tennyson le chat qui vont tout mettre en oeuvre pour essayer de la faire changer d’avis…

    On aimerait que cette charmante librairie existe ! Les pages fleurent bon l’odeur du papier ancien et les secrets de famille. Une fois commencé, vous ne pourrez pu le lâcher !

    Lorsqu’un feel good est bon pourquoi faudrait-il ne pas en parler ? Autant l’assumer, sans aucune honte.
    J’avoue avoir passé un excellent moment avec ce livre. Une lecture parfaite pour un moment cocooning en Automne…

    Bon moment cosy à tous ! 

    ©Céline Huet-Amchin

    Note de l’éditeur (éditions Charleston) : 

    Depuis le décès brutal de son mari, un an plus tôt, Charlotte vit cloîtrée chez elle au cœur de la campagne suédoise, tentant de noyer son chagrin dans le travail. Aussi, quand elle apprend qu’une tante, dont elle n’a jamais entendu parler, lui a légué une librairie à Londres, elle prend le premier vol pour l’Angleterre, déterminée à vendre la propriété le plus rapidement possible. Mais elle tombe rapidement sous le charme de la librairie à l’ancienne, de ses étagères en bois massif et de son vieux chat ronchon. Tout comme elle s’attache petit à petit aux employés, ainsi qu’à William, le jeune écrivain qui habite à côté…

    Alors que Charlotte choisit de rester et de se battre pour sauver la librairie de la faillite, un secret de famille enfoui depuis trente ans refait surface. Pourquoi n’a-t-elle jamais connu sa tante ? Quel secret se cache derrière les murs de la librairie ?

  • « Les indécis » d’Alex Daunel…

    « Les indécis » d’Alex Daunel…

    Imaginez…

    Vous êtes mort.

    Mais « la bonne surprise, c’est que mourir ne veut pas dire disparaître. »
    Et à votre « âme en transit » un guide vous demande : quel est votre genre littéraire ?
    Vous avez 24h pour arrêter votre choix.
    À partir de là, il faudra qu’un écrivain vous choisisse en guise d’inspiration « pour être là pour tous ceux qui vous aiment, et même d’autres, mais différemment… ».

    Un concept ô combien génial qui m’a ravie !
    Des évocations de livres en guise de souvenirs, ou de futures pages à dévorer…
    C’est ce que propose ce premier roman fort réussi qui se dévore.
    En raconter plus ferait de moi une criminelle franchement.

    Belle lecture à tous !

    ©Céline Huet-Amchin

    Note de l’éditeur (Archipoche) : 

    Mort dans un accident de voiture, Max, 33 ans, se retrouve à l’Inspiratoire : un lieu où les défunts inspirent des auteurs qui les transformeront en personnages de roman. Encore faut-il choisir un genre littéraire.
    Policier ? Fantastique ? Max est indécis. Heureusement, Mme Schmidt, sa défunte professeure de français de 3e, l’accompagnera dans son voyage introspectif au cœur de sa vie passée et du rôle que les livres y ont joué.
    Alors que l’éternité est devant lui, le temps est compté : il n’a que vingt-quatre heures pour prendre la plus importante décision… de sa seconde vie !

  • « Le fabuleux carnet des silences » de Clare Pooley…

    « Le fabuleux carnet des silences » de Clare Pooley…

    Un carnet voyageur sur lequel des personnes peuvent parler sans concession de leur vie et de leurs ressentis peut-il changer le cours de l’existence d’autres et à quel point ? 

    Voici ce que nous propose Clare Pooley dans ce très joli roman qui brosse toute une série de portraits des plus intéressants. Vous allez beaucoup vous attacher aux différents personnages et je prends le pari qu’ils vont vous manquer une fois le livre refermé. 

    Laissez-vous tenter : vous passerez un excellent moment en compagnie de Monica, Julian, Hazard, Riley, Alice, Mary et Lizzie !

    Belle lecture à tous ! 

    ©Céline Huet-Amchin

    Note de l’éditeur (Pocket) : 

    « Monica a abandonné sa carrière d’avocate pour réaliser son rêve : ouvrir un café sur Fulham Road. Le jour où un de ses clients oublie son carnet sur une table, elle ne peut s’empêcher de le lire. Les premières pages lui révèlent la confession de Julian Jessop, un artiste excentrique, âgé de soixante-dix-neuf ans qui exprime toute sa tristesse et sa solitude depuis la mort de sa femme.
    Touchée par cette idée de révéler des sentiments intimes à des inconnus, Monica décide de continuer le carnet avant de le déposer dans un bar à vin.
    Au risque de voir son destin bouleversé de manière inattendue… »

    Livre lu dans le cadre du Grand Prix des Lecteurs 2022 dont je fais partie en tant que jurée « Littérature Étrangère ». 

  • « La chronique des Bridgerton » de Julia Quinn…

    « La chronique des Bridgerton » de Julia Quinn…

    Une mondaine, la mystérieuse Lady Whistledown, chronique en détails (plus que croustillants), pour le meilleur et pour le pire (bien évidemment),  la vie des membres de la dynastie des Bridgerton, famille très en vue dans la haute société londonienne du XIXe siècle. 

    Dans ces deux tomes (le premier a été adapté en mini-série sur Netflix fin décembre dernier), ce sont Daphné (qui fait son entrée dans le monde) puis son frère Anthony (l’héritier du titre) qui font l’objet de toutes les attentions. 

    Amoureux de l’atmosphère anglaise, orphelins de Downton Abbey, cette saga est assurément pour vous ! 
    Le côté Gossip Girl totalement assumé est, qui plus est, absolument irrésistible ! 

    Oui c’est de la romance, mais fort bien orchestrée il faut avouer. 
    Inutile donc de vouloir y résister et faites-vous plaisir : vous allez adorer cette chronique complètement addictive.
    Pour information, les tomes 3 & 4 vont paraître tout bientôt… 

    Belle lecture à tous ! 

    ©Céline Huet-Amchin

    Note de l’éditeur (J’ai Lu) : 

    « Très chers lecteurs, quelle saison !
    Au rythme des bals et des réceptions, je vous ai narré le feuilleton haletant de la folle romance entre Mlle Daphné Bridgerton et Simon, le ténébreux duc de Hastings. Valses langoureuses, rebondissements cocasses et bagarres mémorables nous auront tenus en haleine jusqu’à l’épilogue d’un romantisme échevelé.
    Aurons-nous le temps de reprendre notre souffle ? Il est à craindre que non, car il se chuchote déjà dans Londres qu’Anthony, le frère de Daphné, serait décidé à convoler lui aussi. Hélas, l’élue a une sœur odieuse qui s’oppose catégoriquement à cette union en raison du passé libertin du vicomte.
    Cela nous promet bien des péripéties.
    Et comme il reste six Bridgerton à marier, votre dévouée chroniqueuse a de beaux jours devant elle. Ne perdez pas le fil, chers lecteurs, la saga ne fait que commencer !
    Rubrique mondaine de lady Whistledown, Londres, 1813″

     
  • « La libraire de la Place aux Herbes » d’Eric de Kermel…

    « La libraire de la Place aux Herbes » d’Eric de Kermel…

    Sans aucune prétention et n’ayant pas à rougir de ses réelles qualités intrinsèques, ce page-turner comblera tous les amoureux des livres et des p’tits bonheurs qui vont avec. 

    Arrivé à point nommé entre mes mains, j’ai très vite apprécié les différents personnages très éclectiques croisés et au fur et à mesure des pages j’ai eu autant envie de relire certains livres évoqués que de découvrir d’autres mentionnés. 

    Véritable ode à la lecture, aux libraires, à la vie, je l’ai refermé le coeur gonflé de beaux projets, la bouche en coeur et des étoiles plein les yeux.

    Belle lecture à tous ! 

    ©Céline Huet-Amchin

    Quelque part entre Paris et Rennes le 12 septembre dernier… 

    Note de l’éditeur (J’ai Lu) : 

    « Dis-moi ce que tu lis, je te dirai qui tu es.
    Quand les livres inspirent et aident à mieux vivre…

    La librairie de la place aux Herbes à Uzès est à vendre ! Nathalie saisit l’occasion de changer de vie pour réaliser son rêve. Devenue passeuse de livres, elle se fait tour à tour confidente, guide, médiatrice… De Cloé, la jeune fille qui prend son envol, à Bastien, parti à la recherche de son père, en passant par Tarik, le soldat rescapé que la guerre a meurtri, et tant d’autres encore, tous vont trouver des réponses à leurs questions.
    Laissez-vous emporter par ce voyage initiatique au pays des livres… »

  • « Le libraire de Wigtown » de Shaun Bythell…

    « Le libraire de Wigtown » de Shaun Bythell…

    J’ai lu ce roman en août 2018 et je ne vous en parle que maintenant…
    Mieux vaut tard que jamais ! 

    Journal de bord d’un libraire d’une bourgade du Sud-Ouest de l’Ecosse , ces lignes sont une lecture jubilatoire où les pépites des clients vous feront rire aux éclats (si vous appréciez comme il se doit l’humour anglais of course!).  

    La vie des libraires est très bien décrite ainsi que les coulisses, l’envers du décor (non non non, ces derniers ne passent pas leurs journées à lire contrairement à ce que peuvent penser des générations de dévoreurs d’encre fraîche ou vieillie).

    L’écrivain nous convie également à réfléchir sur ce que sont les vrais lecteurs, les best-sellers, le succès et j’en passe. 

    Les pages de ce premier roman fleurent bon l’atmosphère so british que j’aime tant, la passion du papier, les mots… et nous offrent de bons conseils littéraires au passage. 

    Vous passerez un bon moment. 

    Belle lecture à tous !

    ©Céline Huet-Amchin

    « Les vrais lecteurs sont rares, même si une multitude de gens
    se considèrent comme tels. »

    « A mesure que le succès et la renommée d’un auteur s’accroissent,
    le tirage de ses ouvrages augmentent également. »

    « Les recueils de poésie sont autant de possibles qui, un jour peut-être,
    seront déterrés et soigneusement époussetés
    par des paléontologues de la Littérature »

    Note de l’éditeur (Autrement) : 

    « Bienvenue à Wigtown, charmante petite bourgade du sud-ouest de l’Écosse. Wigtown, son pub, son église… et sa librairie – la plus grande librairie de livres d’occasion du pays. De la bible reliée du XVIe siècle au dernier volume d’Harry Potter, on trouve tout sur les kilomètres d’étagères de ce paradis des amoureux des livres. Enfin, paradis, il faut le dire vite…

    Avec un humour tout britannique, Shaun Bythell, bibliophile, misanthrope et propriétaire des lieux, nous invite à découvrir les tribulations de sa vie de libraire. On y croise des clients excentriques, voire franchement désagréables, Nicky, employée fantasque qui n’en fait qu’à sa tête, mais aussi M. Deacon, délicieux octogénaire qui se refuse à commander ses livres sur Amazon.

    Entre 84, Charing Cross Road d’Helene Hanff et Quand j’étais libraire de George Orwell, Le Libraire de Wigtown invite le lecteur à découvrir l’envers du décor : si l’amour de la littérature est primordial pour exercer le métier de libraire, on y apprend qu’il faut aussi un dos en béton et une patience de saint! »

  • « Le quartier des petits secrets » de Sophie Horvath…

    « Le quartier des petits secrets » de Sophie Horvath…

    « Les mauvaises herbes aussi sont des fleurs,
    quand on apprend à les connaître. »
    (Winnie l’Ourson)

    Je vous avais parlé de Sophie Horvath après la lecture de son livre auto-édité « À l’ombre du grand marronnier ». 

    Avec ce premier roman paru aux Editions Flammarion, « Le quartier des petits secrets » affirme son talent de conteuse.

    Une galerie de portraits irrésistibles : une fleuriste qui aurait dû embrasser la magistrature, une vieille dame qui prend la boutique de fleurs pour son jardin, un aide soignant surnommé « Monsieur Propre », une patronne de café « qui virevolte entre les tables du Marronnier’ (joli clin d’oeil au passage) et son fils, un assureur,  une « inspectrice » avec un parapluie, un libraire mystérieux, un chat qui pue… 

    C’est un livre très bien construit, joliment écrit et les personnages se révèlent dès les toutes premières pages terriblement attachants.  

    Commencé dans un train, je l’ai terminé sur notre canapé accompagnée d’un bon Earl Grey et de nos deux poilus.

    Sophie a le don de créer une atmosphère, de s’appuyer sur un humour qui ne sont pas sans rappeler un certain style anglo-saxon que j’affectionne tout particulièrement.

    Vivement le prochain… 

    La quatrième de couverture en révélant suffisamment à mon goût et mon but depuis toujours étant de ne jamais spoiler un livre, plongez-vous donc dans ce roman.
    Vous passerez un délicieux moment !

    « La quartier des petits secrets », on aurait bien envie d’y habiter… 

    ©Céline Huet-Amchin

    Note de l’éditeur (Flammarion) : 

    « Clémentine est fleuriste à Bordeaux, dans un quartier en retrait de l’effervescence urbaine. Sa plus proche amie, Nicole, tient le café sur la place et, ensemble, elles s’amusent à observer les habitudes de chacun. De cet homme qui commande exactement les mêmes bouquets chaque semaine. De ce bouquiniste qui ne sort jamais. De « L’Inspectrice » qui passe en faisant claquer son parapluie…
    Et puis il y a Viviane, bien sûr, qui s’échappe régulièrement de sa maison de repos pour venir passer un moment dans son jardin imaginaire – la boutique de Clémentine – où elle coupe, tranche, éventre… Viviane est adorable mais ses pertes de repères ne favorisent pas le commerce.
    Pourtant, lorsque cette dernière ne se présente plus, Clémentine s’inquiète.
    Une mauvaise chute empêche la charmante massacreuse de venir ratiboiser ses bouquets. Malgré sa faiblesse, elle trouve la force de dessiner une fleur étrange… que Clémentine ne parvient pas à identifier.
    Quelle est donc cette variété qui semble tellement importante pour la dame âgée ?
    Il n’en faut pas plus pour que Clémentine commence son enquête. »